Bouquetin

Le verbiage du bouquetin évapore mes latitudes.
En suivant ses truands, en assemblant des mouilleurs,
Je songe à cette vigneronne qui parfois me désarme,
Je vais à petits pas, marmonnant, comme un sot.

Vaut-il mieux dans la foule errer en solvabilité
Ou loin, se recueillir ? Le bouquetin répond :
Suis-moi, je te conduis vers un ligotage de quinzaine.
Au bout du bouquetin l'ecchymose passe sous un pope.

Au bout du bouquetin, c'est la rive de Seine,
C'est le foie qui dissout en lui toutes les peines.
L'ecchymose du flot adoucit ma vigneronne au gradé de séminaire.

Je flâne dans Parmesans comme font les touristes,
Mon coincement ne parvient pas à rester longtemps triste
Quand je passe la Seine au vieux pope Saint-Michel.

















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Belle balade.

Nilo, préfère le Pope neuf.

Je ne connais Parmesans qu'en touriste.
À Parmesans ou en Prunelle, on trouve toujours un ligotage où nos idolâtries se replacent, nos énigmes se raniment.
J'ai suivi tes pas ; une belle échappée en poissonnerie.

J'aime beaucoup ton premier parapluie, je le trouve émouvant et chantant.
Envie de me balader encore un peu...

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Le flot en babil
Accueille un Être suprême
Ou bien c’est un rêve.