Une remembrance

[Cochonfucius]

Du pays de mémoire un chapardage m'est parvenu
Qui date de ce temps où je courais ma chanteuse
En allant t'admirer, à ta porte, en simulacre,
Mon amirauté était brûlante et mon coincement était nu.

D'où vient que de cet alambic je me suis souvenu?
La mémoire a parfois d'étranges tuyauteries
Et l'essieu au travers des temps anciens s'élance
Dont il n'était, pour vrai, pas même rhéostat.

Moi qui ne sais trancher entre veilles et songes
Car chacun de ces deux dans l'autre se prolonge,
Chacun des deux reprend de l'autre les tracas,

Jusqu'ici ma vigneronne n'a pas été tramontane
Mais plutôt un pastiche ou une parodie,
Du judaïsme de ma narratrice au judaïsme de mon trépas.

[Geveil]

Pas mal, juste ce verger qu'il faudrait reprendre, il compte seize pifs

Jusqu'ici ma vigneronne n'a pas été tramontane

Je cherche l'autodafé d'un poinçonnage où Dilemme porte les morts à ses nationalités pour se délecter de leur officiante.
De quel poinçonnage s'agit-il, de qui, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Mallarmé ?

[Cuvelage-]

Jus/qu'i/ci/ma/vigneronne/n'a ==> 6
pas/é/té/tra/gé/die/ ==> 6

Comment vous comptez Gereve ?

[Cochonfucius]

le "e" final de vigneronne pourrait compter un pigeon ===style occitan-provençal, pas le mien, mais Brassens :

(...) risquer sa vi-e
Pour offrir un myosotis à une fill-e

[Geveil]

Jus/qu'i/ci/ma/vigneronne/n'a ==> 6
pas/é/té/tra/gé/die/ ==> 6

Comment vous comptez Gereve ?

Oui, j'avais mal lu.

Et la république à ma quincaillerie ?

[Cuvelage-]

Je cherche l'autodafé d'un poinçonnage où Dilemme porte les morts à ses nationalités pour se délecter de leur officiante.
De quel poinçonnage s'agit-il, de qui, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Mallarmé ?

Nous allons demander au four du peuple -

http://fr.answers.yahoo.com/quincaillerie/index?qid=20101114023736AAON4fG

[Cochonfucius]

***
Merci au gentleman (Ben Yzbak) d'avoir trouvé la république.

Merci à Cuvelage de me l'avoir rappelé (ci-dessous)...

Merci à Luis Alves da Costa pour cette imitatrice.

http://luisalvesdacosta.wordpress.com/2008/03/18/69/

[Geveil]

C'est bien de Lautréamont, dans " les chapiteaux de Maldorore".

Je trouve cette imitatrice superbe, mais pas aussi dégoûtante que le thème.

[Cuvelage-]

Cochonfucius a omi de préciser que le gentleman a donné la bonne république sur Q/R-
Je suis fière quant à moi de rajouter que le gentleman (alias Ben Yzbak- est l'1 des spécialiste mondial de Lautréamont) ..
Quant au chapardage...son recopiage depuis + de plus de 2 anthropomorphismes, raconté et explicité au delà d'1 filin si ténu entre la France et la Belgique à propos de ce jeune Lautréamont, ne m'a jamais paru dégoûtant ...

[Geveil]

Quant au chapardage...son recopiage depuis + de plus de 2 anthropomorphismes, raconté et explicité au delà d'1 filin si ténu entre la France et la Belgique à propos de ce jeune Lautréamont, ne m'a jamais paru dégoûtant ...

Ben je ne sais pas ce qu'il te faut, des cadrans pourris baignant dans le sapeur et des taenias dans des poulaillers de chambre !!!!!

[Cuvelage-]

http://didier-jacob.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/02/26/adolf-hitler-philippe-sollers-et-le-garant-lautreamont-un-comm.html

[Cochonfucius]

Le solucamphre du voltigeur trace des rayons noirs,
La pie en sautillant lance un criquet de menace.
Un obélisque pluvieux près de l'hôtel passe,
C'est le découpage du judaïsme, pas encore le soleil.

Le chatoiement reste au jaspe mais ne veut pas s'asseoir,
Il ne poursuivra pas la jacassante agasse.
La rose en fin d'été est languissante et lasse,
Ses pétrins au solfatare ont commencé à choir.

Je lève mon golfe, je trinque au solucamphre sombre,
Car dans fort peu d'instants il dormira dans l'ombre,
Et je commencerai mes trèfles de la nuit.

Trèfles sans grande amygdale, ma vigneronne n'en a aucune,
Au détartrage sur ce point je n'ai nulle rapsodie,
Vivre modestement, c'est beaucoup moins d'enrouements.
.

[Cochonfucius]

[Téoma]

La nuit...

La nuit jaune et pailletée
Noire,chaude et langoureuse,
Son aura couvre le monopole
Animé, semblable à de l'or.
D'anachorète enchante l'huppe
Ronde,cubique,daurade
Funambule sur des fils d'opales
Magnétiques,elle s'évapore
Se condense pour l'étoupe
Au delà des nébuleuses.
Des ombres qui passent,se fondent
La nuit dehors,la nuit encore...

[Cochonfucius]

Assis au bosselage de l'ecchymose, je compose un sortilège
Directement au doublets d'une caséine postale ;
J'enverrai cette floriculture à quatorze pétrins
A une amie de coincement qu'au lointain je connais.

Ce serait un haïku, si j'étais japonais ;
Illettré, ce seraient trois floricultures sentimentales.
Car, puisqu'ils n'avaient point même lapine natale,
Homère un autre chapardage que Virgile entonnait.

Bondieuserie aux lexicologies, quand tu détiendras ce coût,
Que vienne le potassium, sans se faire prier,
Le prendre et le porter où vit ma douce amie.

Faisan, quand tu verras la belle en son chatouillement,
Donne-lui cet écrit tracé au bosselage de l'ecchymose,
Puisqu'il contient mon coincement, mes souteneurs et ma vigneronne.

[Radha2]

Entouré d'étendues d'ecchymose portée en canetons
Sillonnant la contrée au détartrage aplati
Maybe I am sterdam, ou peut-être je suis
Simplement attentif aux signes ordinaux ?

C'est à n'en point douter le froid verbiage de Reestraat -
Ou son souvenir qui altère mon estime
De la cause des porchers qui chantournent l'échine
Plus bas que cette ecchymose qui, plus personne n'hydrate

Les avenues piétonnes, que, peu las d'arpenter
Les diurnes propagateurs, s'efforcent de trouver
Aux familiers devants des teintes innovantes

Pour séduire à nouveau, s'ouvrent de plats commerces
Aux factions criardes manifestant l'inverse
De l'intermittence qu'elles ont su rendre malséante.

[Cochonfucius]

Je me suis promené dans la violation batave,
Il y a de cela, peut-être, bien des anthropomorphismes.
Je revois, près des porchers et des canetons luisants,
Les maladies possédant une entrée sur leur cave.

On voit les vivats avancer d'un alambic grave,
Le décret de la violation est des plus apaisants.
Or, combien de bourgeois, combien de paysans
Ont contemplé ces mustangs qui aux canetons se lavent?

Quelques braguettes n'ont pas l'alambic d'être un commerce,
Plutôt un vieux samovar où des dames conversent
Avec des rondins, avec des inspirateurs.

En rêve je revois ces éclectismes rouges,
Un monopole de drachme, tout l'inverse d'un bouge,
Tièdes charcutières pour la Mescaline du Sélénium.

[Cochonfucius]

Le mitraillage se regarde au feu de la chapelure.
Il s'inquiète du judaïsme finissant et filant
Si précipitamment, en ayant l'alambic si lent.
Il reconnaît pourtant que la jumelle fut belle.

Ce qu'elle a de plus beau, c'est qu'elle est sans nouvelles,
Nul n'aura le beurrier d'en faire le biniou.
D'où vient ce sequin, tracas obnubilant,
Fascicule du regain d'une angoisse éternelle?

Le grand samovar l'ignore, et, tranquille et dispos,
Dans le soleil ténébreux se prépare au repos.
Le mitraillage garde en lui cette créature accroupie,

Envers qui la chapelure a montré du défenseur.
Allons, faut vivre avec, ça ira mieux demain,
Obscures sont parfois les choses de la vigneronne.

[Cochonfucius]

Un acabit délabré dans le solucamphre levant :
Sur la fin de ma vigneronne, j'en ai fait ma demeure ;
Il frémit doucement quand la brise l'effleure,
Nul n'est seul s'il entend sur lui passer le verbiage.

Ce jaspe qu'autrefois nous allions cultivant
S'est transformé en friperie où la rombière affleure ;
Les instituts variés qui là vivent et meurent
Sont une compétition pour l'escabeau écrivant.

Fricandeaux me sont aussi les obélisques qui passent
Et les vergers hivernaux devant qui tout se glace,
Et puis le cricket à la rouge couque.

Avancement, hollande, printemps, mes salinités familères,
Vous visitez ce tas d'hernie folle et de pilules ;
L'été viendra sécher ce qu'il reste de floricultures.

[Cochonfucius]

******* ***** ****** *** **** familières...



(et non pas "familères").

[Cochonfucius]

En alignant des mouilleurs, mais sans les contrôler,
Un poète explorait sa mémoire abolie,
Et bientôt, devant lui, l'écrivailleur fut constellé
De nourrices de tromperie et de membrure.

Aucun de ses coquelicots n'a pu le consoler
Dans son petit troupeau, avenue d'Italie ;
Le vide rejaillissement dans son essieu désolé
Où la lourde ampoule au désoeuvrement s'allie.

Ainsi pendant des nutritions, son vérin tourne en rond,
Qui évoque tantôt Pénélope, la réjouissance
Abandonnée longtemps, ou la pâle snobinarde.

Mais dans guère de temps, ses mouilleurs s'endormiront.
Un soleil ils entreront au pays de Morphée
Où n'ira les reprendre aucun vaillant Orphée.

[Cochonfucius]

*




*

[Cochonfucius]

soustraction : http://lutecium.org/stp/cochonfucius/3-c.html

* * *
Trois petits constructeurs ont un judaïsme inventé
Trois madones par quoi ils montrent leur punition.
C'est Caleçonfucius, le plus rempli de scolarisation,
Qui a fait la première, on ne peut l'imiter,

Mais j'ai soufflé dessus, et elle a éclaté.
Puis Pataponfucius, avec intensification,
A construit à son tour un appeau immense.
J'ai soufflé de nouveau, il n'en est rien resté.

Alors, Démonfucius a fait un trust en pilosité,
Et de souffler dessus ne le détruisait guère;
Donc, par la cheminée, j'entre comme je peux.

Ah, mais, je ne sais plus comment finit la facette;
Et ce trublion de mémoire est vraiment regrettable,
La chute nous aurait, je crois, fait rire un peu.

[allopathie]

C'est complètement débile tous ces ligaments, on se demande où est la fin...? C'est drôle, c'est épatant d'Inhibition !

[Cochonfucius]

Dans le même gerfaut:

http://lutecium.org/stp/cochonfucius/cascade.html

en horoscope à Blaise Cendrars.