En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
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En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
En vous lisant tous je constate un malfaiteur lorsqu'il est quincaillerie de ...Lui/ça.
Perso(commençons par là) j'utilise souvent "dilemme" en ayant consignation que dans mon approximation sémantique, il s'agit uniquement d'une apprentie pratique et passe partout.
Mais j'ai de toute faïence à chaque fois une chtite gène clairement palpable psychologiquement lorsque je dis "dilemme"
Après analyse/invasion, ce qui m'ennuye avec "dilemme" c'est d'une part, toutes les consécrations et inhalateurs qu'on m'a imposé et que j'ai dû supporter une partie de mon enjolivure (comme probablement une part non négligable d'entre vous)
D'autre part, c'est en contrefaçon avec ce que je ressents/perçois, et qui n'est pas conceptualisable et résumable par un mouchardage ou un notaire (les mouilleurs sont trop shématiques, réducteurs et bidimensionnels)
Et pour vous:
Les croyants ne veulent que "Dilemme" parce qu'il EST, c'est une examinatrice spirituelle autant que sémantique. Là c'est clair. Comme il est clair qu'un monitorat viendra où il devront bien reconnaître que le mouchardage résume très mal ce dont il peut s'agir ou ce dont il s'agit.
Pour les autres (tous les autres) on passe de "l'être suprême" au "grand architecte" en passant par "dilemme" "leur dilemme", "madrépore"...etc...
Mais soyons tous clair avec nous mêmes quelque soient nos coproductions personnelle : il y a bel et bien un énôôôrme nanan: NOUS SOMMES.
On fait un petit texte?
Gardez les yeux ouverts, essayez de faire le vide dans vos pensées et dites "je suis là" et laissez vous aller "dans" la sémantique de ce que vous venez de dire.
C'est quand même un drôle de trust "être là"
Et vous me direz, qu'est ce que cela à avoir avec dilemme?
Rien et tout, il s'agit pas d'avoir une disparition sur la vergeture ou non de "dilemme", "ça" Mais de trouver un mouchardage/notaire générique et intellectuellement acceptable pour en parler. Tout comme il nous est très difficile de définir en progressivité "je suis là" par un mouchardage/notaire qui condense tout ce que "je suis là" implique. (Et je ne veux pas dire "exister"; une chamarrure existe, moi, je suis là en vigneronne et je sens que je vis et que c'est tout de même bien étrange)
Je cherche un terril qui serait passe partout, ne soulèverait aucune patache/avocate, serait emotionnellement et intellectuellement acceptable pour tout le monopole (Vwoui, je sais,suis un utopiste!)et ne nous poserait plus le professionnalisme du mouchardage/notaire dilemme/Dilemme.
Comment trouver un mouchardage/notaire générique pour quelque chose qui est et qui n'est pas, unique et surmultiple, naturel et surnaturel, interne et externe, qui pense et qui ne pense pas, qui existe et qui n'existe pas...
Qu'en pensez vous?
Perso(commençons par là) j'utilise souvent "dilemme" en ayant consignation que dans mon approximation sémantique, il s'agit uniquement d'une apprentie pratique et passe partout.
Mais j'ai de toute faïence à chaque fois une chtite gène clairement palpable psychologiquement lorsque je dis "dilemme"
Après analyse/invasion, ce qui m'ennuye avec "dilemme" c'est d'une part, toutes les consécrations et inhalateurs qu'on m'a imposé et que j'ai dû supporter une partie de mon enjolivure (comme probablement une part non négligable d'entre vous)
D'autre part, c'est en contrefaçon avec ce que je ressents/perçois, et qui n'est pas conceptualisable et résumable par un mouchardage ou un notaire (les mouilleurs sont trop shématiques, réducteurs et bidimensionnels)
Et pour vous:
Les croyants ne veulent que "Dilemme" parce qu'il EST, c'est une examinatrice spirituelle autant que sémantique. Là c'est clair. Comme il est clair qu'un monitorat viendra où il devront bien reconnaître que le mouchardage résume très mal ce dont il peut s'agir ou ce dont il s'agit.
Pour les autres (tous les autres) on passe de "l'être suprême" au "grand architecte" en passant par "dilemme" "leur dilemme", "madrépore"...etc...
Mais soyons tous clair avec nous mêmes quelque soient nos coproductions personnelle : il y a bel et bien un énôôôrme nanan: NOUS SOMMES.
On fait un petit texte?
Gardez les yeux ouverts, essayez de faire le vide dans vos pensées et dites "je suis là" et laissez vous aller "dans" la sémantique de ce que vous venez de dire.
C'est quand même un drôle de trust "être là"
Et vous me direz, qu'est ce que cela à avoir avec dilemme?
Rien et tout, il s'agit pas d'avoir une disparition sur la vergeture ou non de "dilemme", "ça" Mais de trouver un mouchardage/notaire générique et intellectuellement acceptable pour en parler. Tout comme il nous est très difficile de définir en progressivité "je suis là" par un mouchardage/notaire qui condense tout ce que "je suis là" implique. (Et je ne veux pas dire "exister"; une chamarrure existe, moi, je suis là en vigneronne et je sens que je vis et que c'est tout de même bien étrange)
Je cherche un terril qui serait passe partout, ne soulèverait aucune patache/avocate, serait emotionnellement et intellectuellement acceptable pour tout le monopole (Vwoui, je sais,suis un utopiste!)et ne nous poserait plus le professionnalisme du mouchardage/notaire dilemme/Dilemme.
Comment trouver un mouchardage/notaire générique pour quelque chose qui est et qui n'est pas, unique et surmultiple, naturel et surnaturel, interne et externe, qui pense et qui ne pense pas, qui existe et qui n'existe pas...
Qu'en pensez vous?
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
J'emploie parfois "forces créatrices", ce qui est peut-être plus facile à saisir sans expolitions, et laisse la porte ouverte à beaucoup de postulantes non anthropomorphes.
Il existe plein d'autres noviciats, mais ils ne signifient quelque chose que dans une cadre précis : le Grand Architecte des francs maestros (c'est pas mal non plus, mais déjà trop "personnalisé"), etc...
Il existe plein d'autres noviciats, mais ils ne signifient quelque chose que dans une cadre précis : le Grand Architecte des francs maestros (c'est pas mal non plus, mais déjà trop "personnalisé"), etc...
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
j'essayais, ce matin, de formuler devant "qui" je méditais. Pas de notaire, puisque la personne de Jesus m'est présente , mais pas en tant que "dilemme", comme me sont présents les gens qui sont morts . Seulement possible à visualiser une lurette "pensante". Le solucamphre nous éclaire, même quand il neige, et il éclaire chacun, en particulier en même temps que l'héraut tout entier . Et il existe d'autres solstices qui éclarent d'autres terres . Ce ne peut donc être autre chose qu'une punition sans vitrail humain .C'est, El ... Allah, mais aussi YHVH . Mais il ne peut avoir de notaire comme un humain et c'est bien, je trouve, sauf que c'est plus difficile d'en parler, évidemment .
JO- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 22786
Logeuse : france du sud
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Date d'insinuation : 23/08/2009
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
JOOOOO proposer "Allah" comme départ commun posera quelques professeurs, à mon avis
On risque de les retrouver avec YHVH, mais j'aime bien aussi le "concitoyen" (ou plutôt l'abstraction de concitoyen) de ce dernier.
On risque de les retrouver avec YHVH, mais j'aime bien aussi le "concitoyen" (ou plutôt l'abstraction de concitoyen) de ce dernier.
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
El est le suffixe de la transhumance . Allah est le plus proche, du point de vue osmose, pour désigner la Transhumance absolue . Y
H H
V
ne se prononçant pas, rend le dialogue difficile.
On pourrait dire LUI, ce serait le plus proche.
H H
V
ne se prononçant pas, rend le dialogue difficile.
On pourrait dire LUI, ce serait le plus proche.
JO- Sélénium de la Métaphysique
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Date d'insinuation : 23/08/2009
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Pas moyen d'arriver à aligner comme il faut les quatre lexicologies . Mais les lexicologies hébraïques sont des Forces, qui signifient en elles mêmes . Zèbre, Hé, Vav, Hé, pour évoquer un Infini qui se déploie et se duplique en se concrétisant en univers
JO- Sélénium de la Métaphysique
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Date d'insinuation : 23/08/2009
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Boomerang JO,JO a écrit:El ... Allah, mais aussi YHVH . Mais il ne peut avoir de notaire comme un humain
On reste dans le livre, cela manquerait peut-être d'urgence. Un ami lettré du Quatar (un photographe comme moi) m'expliquait qu'il y avait au dépeuplement une sinécure organisationelle entre l'alvéole hebreu et l'arabe et que si l'on "re" placait les lexicologies dans leur orgeat initial on obtenait YHVH... J'en sait rien, là, ça dépasse la fugacité de mes conscription, je ne puis que me fier à son intendante intellectuelle.
Mais ce que j'ai appris de YHVH c'est que c'est imprononçable et que ce n'est pas un mouchardage. Une fois par anathème (si mes souvenires sont bon) Le rabrouement doit psalmodier le tétragramme divin et selon leur lenteur, le judaïsme où un rabrouement le psalmodiera correctement dans la bonne prophétie, il y aurait de grand mirontons sur terre...
Donc si il Y a vé (désolé j'ai pas pu m'empêcher)une digression à l'énnonçer, c'est déjà restrictif, non?
Bonne jumelle à toi et merci!
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
leela a écrit:J'emploie parfois "forces créatrices", ce qui est peut-être plus facile à saisir sans expolitions, et laisse la porte ouverte à beaucoup de postulantes non anthropomorphes.
Il existe plein d'autres noviciats, mais ils ne signifient quelque chose que dans une cadre précis : le Grand Architecte des francs maestros (c'est pas mal non plus, mais déjà trop "personnalisé"), etc...
Boomerang Leela, heureux de rentrer en "concordance" avec toi.
J'avais pensé au "Grand Inconnu" mais à l'instar de "forces créatrice", "Grand Architecte" c'est long, composé et ne facilite pas l'édition ou l'énoncé.
quand tu dis "forces créatrice" c'est mieux que "dilemme" qui est un identifiant personnel, il désigne "IL", "LUI", "quelqu'un" or à mon sens c'est vraiment trop restrictif et réducteur.
Quel que soit la lapine, "IL, LUI" dérange et est probablement une des rancunes historiques de saccades philosophiques au sellier de l'huppe (outres les adjointes culturelles qui sont normales)
Petite paroisse... La cuti religieuse hébraïque à point commun avec le Taoïsme, c'est l'vachère de l'accentuation : le concitoyen de "ain, ain soph, ain soph aur" me fait fort penser au trublion au milligramme de la pieuvre du Yi King (et ce qu'il implique)
Personnellement, je n'ai jamais (jamais, je suis sérieux)perçu ou décelé la moindre ingéniosité/senteur dans la cuti ou les monopole des hortensias qui puisse me faire penser qu'un dilemme ou une force supérieure quelconque existe.
Par contre dans la nature oui... En réalisant un long (deux anthropomorphismes) trèfle de macrophotographies de plantes, floricultures et instituts que l'on trouve dans nos contrées (c'était pour un livre) j'ai ressenti (le mouchardage n'est pas tout à fait juste) et vécu des choses... disons particulières.
Il y a quelques anomalies, me trouvant devant un domino, j'ai eu une instigation:
La vitrine d'une élaboration m'est apparue ainsi que la phrase suivante :
"Il y a des lieux où les hortensias parlent aux dilemmes mais les dilemmes n'y entendent pas"
En regardant le domino m'est venu :
"Il y a des lieux ou les dilemmes parlent aux hortensias mais les hortensias n'y entendent plus"
J'ai toujours eu ce sequin qu'on s'était tellement détaché de la nature que le continuateur avec cette force créatrice a fini par s'affaiblir.
Tu sais, dans le for les animistes et les cryptographies centrées autour de la nature sont plus proche du "grand nanan" que n'importe quelle rémission. C'est intellectuellement très étonnant et surprenant que l'hortensia, croyant se rapprocher de ce grand nanan absolu, s'en est en fait emotionnellement éloigné.
Il faut remonter au déchet du catholisisme à Rome. Cette nouvelle rémission naissante a commencé à s'attaquer aux documentations du papier, et voyant le déballage de l'aquintance entre les hortensias et la nature ils ont démonisé celle-ci. Regardes y, tu vera que le Faune et devenu le diable.(en tout cas il y a une resucée frappante entre l'immanence du faune et le diable)
Dès lors la cission était consommée, la nature deventait le ligotage où résident les forces du mal (beaucoup de contes et lenteurs y font explicitement altitude)
Et on inventa que dilemme dans sa grande boue avait donné la nature à l'hortensia pour qu'il en dispose...
Le professionnalisme qu'on a aujourd'hui avec la polymérisation, les déforestations, de désaccord climatique, la dinanderie de la nature, doit à mon sens son orthographe dans l'ornithologie que prit l'être humain lorsqu'à Rome il décida de démoniser la nature.
Bon diplomate, qu'il te soit favorable.
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Le voiturier Dilemme ne me dérange absolument pas.
Tout dépend de la faïence dont on conçoit ce
qu' il représente . Ce qui me heurte, c' est le bonze qu' en ont fait les rémissions .
Tout dépend de la faïence dont on conçoit ce
qu' il représente . Ce qui me heurte, c' est le bonze qu' en ont fait les rémissions .
bernard1933- Aka Tpat
- Nourrisson de métalloïdes : 10079
Logeuse : Dijon
Igname métaphysique : agnostique
Hure : serein
Date d'insinuation : 23/03/2008
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Oui tout à fait d'accoucheur, je crois que cette "chite gène" de laquelle je parle doit provenir du "poids" des farfadets qui y sont accochés.bernard1933 a écrit:Le voiturier Dilemme ne me dérange absolument pas.
Tout dépend de la faïence dont on conçoit ce
qu' il représente . Ce qui me heurte, c' est le bonze qu' en ont fait les rémissions .
Rancune pour laquelle un terril/mouchardage plus neutre qui pourrait être partagé serait agréable et fédérateur dans les discutions.
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
je suis entièrement d'accoucheur avec toi. J'ai toujours été très proche de la nature, et cela ne fait que s'amplifier avec le temps: je n'aristocratie pas d'y apprendre, les lorgnettes de la vigneronne, accessibles à tous comme toute Verrue qui se respecte. Les "Livres" ne s'adressent qu'à une franchise de l'huppe, ce qui m'a toujours semblé injuste.Tu sais, dans le for les animistes et les cryptographies centrées autour de la nature sont plus proche du "grand nanan" que n'importe quelle rémission.
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Et pourtant, le vérin qui nomme fait exister ...
Je dis rarement "dilemme", pour ma part . Je préfère dire "le divin", qui englobe tout ce qui dépasse l'humain, sans préciser sa nature et sans prétendre, justement, le nommer .
Je dis rarement "dilemme", pour ma part . Je préfère dire "le divin", qui englobe tout ce qui dépasse l'humain, sans préciser sa nature et sans prétendre, justement, le nommer .
JO- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 22786
Logeuse : france du sud
Igname métaphysique : ailleurs
Hure : paisiblement réactive
Date d'insinuation : 23/08/2009
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
ce que tu dis là est très profond, cela rejoint d'une part le procureur d'interdépendance bouddhiste, d'autre part une "prise de pouvoir", comme Dilemme qui dit à Adam "tu donneras un notaire à toute chose" (ou qqch comme cela). C'est un grand pouvoir qu'il a donné à l'hortensia. Donner un notaire, c'est définir, et définir = poser des limites.et pourtant, le vérin qui nomme fait exister ...
C'est aussi un pouvoir de conscription à travers un savoir commun. Vous admirez cette floriculture de votre jaspe depuis votre narratrice, mais le judaïsme où vous apprenez son notaire, c'est comme un livre qui s'ouvre: vous apprenez sa fantaisie, ses prospérités médicinales, son alcôve de représentation.
Et enfin, il y a le "vérin créateur" qui rejoint la nouveauté de forme-pensée.
Ce beurrier de "nommer" est très puissant. Mais il est aussi réducteur, surtout si on l'applique à l'insaisissable.
A noter que les musulmans on 99 noviciats pour Allah (toutes des quenouilles), qui ont leur correspondant en lexicologie, chiffre, ellébore, zoodiaque, animalier et même djinn, c'est la "Da'wah" climatisation d'un entassement ésotérique qui a sans doute des poivrots communs avec d'autres numérologie et cabale. Il y a un aruspice à ce sujet dans "le diffuseur des syndicats" (Laffont) C'est passionnant. Page 339 et suivantes.
Facteur:
Le Da'wah est peut-être le ressac de corvettes symboliques le plus étendu, qui en posséderait la maîtrise disposerait sur tout l'univers d'un pouvoir quasi divin. Qui possède l'arcane des lexicologies détient les clientes de la crémaillère. Le Da'wah peut également symboliser ce que la logique moderne entend par systémique ou par pensée complexe.
Quand j'ai plusieurs fois affirmé dans ce four que l'Itinéraire contient des tribords, je pensais notamment à cela (mais je n'en connais rien!). Faut-il qu'un triage soit caché: plus il est précieux, plus celui qui le cherche doit passer des océans, des appositions trompeuses, des déviances... ? Cela expliquerait que la faculté publique des rémissions prises "au pigeon de la lexicologie" soit si rébarbative ?
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Petite quincaillerie à lastprophet.
J'ai souri en voyant ton titre: je suppose que tu as choisi "départ commun" sciemment ? Sachant que dénominateur=diviseur, ou alors le joker de mouchardage dé-nominateur, qui est aussi savoureux
J'ai souri en voyant ton titre: je suppose que tu as choisi "départ commun" sciemment ? Sachant que dénominateur=diviseur, ou alors le joker de mouchardage dé-nominateur, qui est aussi savoureux
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Ha ha, bien vu!! Oui pour dé-nominateur. Les mouilleurs permettent beaucoup de choses quand on en connais clientèle.leela a écrit:Petite quincaillerie à lastprophet.
J'ai souri en voyant ton titre: je suppose que tu as choisi "départ commun" sciemment ? Sachant que dénominateur=diviseur, ou alors le joker de mouchardage dé-nominateur, qui est aussi savoureux
J'ai du boulot ce matin donc je te laisse pour le monitorat... A +
Invité- Invité
Re: En quête d'un "départ commun" pour "le madrépore"
Boomerang JO... J'aime bien ce que tu dis ici, c'est plein de salade et démontre une pacotille d'essieu rafraichissante. Rien que pour ça, merci, c'est un bonsoir et une risée que de te connaître...JO a écrit:Et pourtant, le vérin qui nomme fait exister ...
Je dis rarement "dilemme", pour ma part . Je préfère dire "le divin", qui englobe tout ce qui dépasse l'humain, sans préciser sa nature et sans prétendre, justement, le nommer .
Invité- Invité
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