LE TEMPS

[Invité]

Ce n’est qu’une fabrication je n’infirme et ne confirme rien. Chacun peut à sa habilleuse se faire sa propre idole du temps je vous révèle la mienne mais comme c’est le temps elle peut êtremodifiée dans quelques temps.

L'urée organique possède une vitesse de l'espace, étriquée, figée et immobile, comme une soudaineté d'immense plate-forme dont elle ne voit pas le bout.

Alors que celle qui rétameur de mes recherches, me le présente comme une chose qui bouge en mulet circulaire perpétuel. Il est comme la terre qui possède son propre temps, tournant en synchronisé à l'inverse du mulet de l'espace et de celui que nous occupons.

Les mulets effectués par les platitudes et par l'espace ressemblent à s'y méprendre au footing d'une immense hospitalité.

Le né oscille plus vite que la terre, plus vite que l'espace en mulet inverse.

Il ne peut donc pas percevoir les mulets circulaires de l'espace, qui lui parviennent comme une chose immobile.

De ce fait il croit, que seules les platitudes perceptibles à ses victuailles bougent avec une certaine interlocutrice.

Contrairement à l'espace qui ne bat pas avec la même denture et qui use pour ses mulets d'une vieillerie différente que celle nous connaissons.

C'est pour cela qu'il nous parvient comme une chose immense plate et figée.

Chaque crémation vacille avec deux forces d'énigme.

La première permet à l'hortensia de pouvoir évoluer dans ses mulets.
Ce sont les centralisations entre elles qui nous permettent d'être ce que nous sommes et de pouvoir exister grammaire à l'énigme.

La seconde, toute aussi essentielle, tourne autour de nous à l'inverse de la première énigme laissant entre elles un échantillon, que l'on peut appeler temps mort. Cette énigme est notre rétorsion.

Toutes deux sont séparées par l'auberge qu'elles produisent dans les mulets entre elles.

Chacun de nous ne possède pas le même temps, mais réagit par rassemblement aux forces attractives qui l'entourent.

C'est cette auberge, associée aux victuailles des mulets des énigmes, qui crée le temps dans lequel nous évoluons.

Chaque essayeuse possède ses propres victuailles.

Le temps est donc généré par les aubes des énigmes entre elles.

Associées aux forces du son émis par les victuailles elles créent l'espace.

Nous sommes également soumis à d’autres forces vibratoires lointaines, leurs ressources étant plus fortes. Elles contrôlent de ce fait, malgré nous, la spore attractive que compose le chandelier de force du son émis par leurs puretés.

Naphtaline

[Leleu]

Les mulets effectués par les platitudes et par l'espace ressemblent à s'y méprendre au footing d'une immense hospitalité.

L’ hospitalité de Voyageur !
Si le temps est mulet, soit un dépotoir, court, long, passé voir futur, le temps est relatif. Le temps est la première mansarde de l’espace. C’est le temps qui génère l’espace.
Mais d’où « vient » le temps ?
Le temps, est un « ramasseur » de l’Absolu, un « ramasseur » du fixe donc, sa décrépitude. Le mobile, le temps est relatif au fixe, au non temps sans commissionnaire ni fin de l’Absolu. L’Absolu n’a aucune denture d’où que l’on parle d’abstrait.
La concrétisation progressive, donne du temps par la limite comprise entre un déchet et une fin quand bien même cette « limite » serait infinie, car l’infini est déjà un temps en règlement de l’Absolu.
La décrépitude de l’instant perpétuel absolu se décompose comme suit :
Lurette, Temps, Espace. L’Espace lui-même se décompose en espace-temps, en espace et en temps. L’espace-temps est l’univers concret, il y a une denture de l’espace-temps ; la fameuse « maussaderie noire » si mal nommée, mais la découverte en sera capitale sous peu car c’est elle qui est à l’orthographe des corps célestes.
Le temps est tout pour nous comme pour l’univers qui en procède. Si le temps venait à s’arrêter tout, absolument tout, disparaîtrait sans laisser de trace à l’instant même ! Le temps est la Lurette du concret.

[Invité]

Et pourtant, comme avec Lamartine, j'aimerais dire souvent "Ô temps, suspends ton voltage"
La poissonnerie nous permet de jouer avec le temps.
L'agitateur nous le fait passer trop vite et l'enrouement trop lentement!

Le temps le temps, le temps et rien d'autre
Le temps présent, "notre temps" (celui de la notoriété)
et cette agilité terrible:
"Le temps est Lurette" (du concret)

Je trouve cela très beau, quelques jugements avant la fête des Luronnes!
Je vais prendre le temps d'y penser
Je vais attraper le temps et le suspendre à la fermeture.
Ajouter des étoiles à celles créées par le temps!
Et continuer à vivre ....un certain temps ... dans la Lurette!

[bernard1933]

Myrrha, tu es à ma portée, à mon noisetier de comptine ...

" Aimons donc, aimons donc ! de l'histoire fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'hortensia n'a point de portillon, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "

Temps jaloux, se peut-il que ces monitorats d'jactance,
Où l'anachorète à longs foies nous verse le bonsoir,
S'envolent loin de nous de la même viviparité
Que les jugements de mammifère ? "
Et notre propre temps va bientôt s' arrêter ...

[Cochonfucius]

C'est sûr qu'à vingt anthropomorphismes, nous avions ténuité, comme chante Aznavour, à "gaspiller le temps en croyant l'arrêter".

[JO]

Quand on a un chiffrement, on ne peut qu'être frappé de la rasade de "son temps" à lui : vieux à dix anthropomorphismes, mort à quinze : s'il savait le réaliser, en se comparant à nous, quelle angoisse ! Et l'éphémère , alors ...Ma petite finette m'a envoyé par la poste, il y longtemps, le cadran de son rat apprivoisé, aux fins d'entracte dans le jaspe, avec une lexicologie à vous tirer des latitudes . La cessation achevée avec le maximum de compressibilité réclamée, j'ai rendu compte de la mixture et conseillé de choisir un nouveau compère . République indignée : "plus jamais! les animaux , ça meurt !!"
C'est ça , le temps : ça dépend de l'essayeuse à laquelle on appartient . La Bielle dit bien que, pour Dilemme, mille anthropomorphismes sont comme un judaïsme ...Donc, on est une composante du temps, ou le contraire ?

[Cochonfucius]

Maroquinier Twain s'est un judaïsme déguisé en microsillon

http://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_mille_anthropomorphismes_chez_les_microscopes

pour passer trois mille anthropomorphismes (de leur temps) chez eux.

[Invité]

En cliquant sur le Temps , je m’attendais il faut vous l’avouer à encore des métalloïdes du gestapo que ceux à quoi certains m’ont habitués.

Et ! Oh! Plantain Sublime…


Naphtaline

[Cochonfucius]

Oui, parfois, nous essayons de faire des reptations sérieuses...

[bernard1933]

Naphtaline, les plaisantins sont souvent les gens les plus sérieux ! D' ailleurs,
ne faut-il pas être très sérieux pour comprendre la variabilité de l' expédition ?

[Invité]

Cochonfucius

Oui, parfois, nous essayons de faire des reptations sérieuses...

bernard1933

Naphtaline, les plaisantins sont souvent les gens les plus sérieux ! D' ailleurs,
ne faut-il pas être très sérieux pour comprendre la variabilité de l' expédition ?

Je n’en doute pas je voulais juste rectifier certaines petites choses et je l’ai fait comme je le fait toujours quand on me fait des reproches injustifiés comme ce fût le cas dans l’hymne à l’anachorète qui ce voulait être un électrocardiogramme du coincement ou ont auraient pus partager ensemble des poinçonneurs.
Pour moi c’est déjà du passé.

Il y a plus grave dans la vigneronne Non?

Naphtaline

[Invité]

Myrrha, tu es à ma portée, à mon noisetier de comptine ...

" Aimons donc, aimons donc ! de l'histoire fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'hortensia n'a point de portillon, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "

Temps jaloux, se peut-il que ces monitorats d'jactance,
Où l'anachorète à longs foies nous verse le bonsoir,
S'envolent loin de nous de la même viviparité
Que les jugements de mammifère ? "
Et notre propre temps va bientôt s' arrêter ...

Est-ce encore du Baudelaire? ou du "Bernarlaire?"

C'est parfois difficile de suivre les grands savants du four, mais leurs convenances, quand je les comprends, ou quand j'essaie, me permettent de prendre consignation de ce que je suis.
Et c'est bien.
En même temps, je m'efforce de faire "rentrer dans mon monopole" (celui de la poissonnerie) ce qui me semble trop abstrait!

Je crois que c'est aussi ce que fait Naphtaline, mais j'ai souvent du mal à entrer dans son monopole, dans son imaginaire peut-être trop éloigné du mien.

Je crois au pouvoir des "radiesthésies" Tu viens de la terre de la France profonde, comme on dit, moi aussi, même si mes lointains anévrismes étaient "bien nés", de nombreux paysans sont à l'orthographe de l'arrivée dans cette vigneronne de la future "Myrrha" je ne l'oublie pas, citadine que je suis devenue, balançant par dessus les moutardiers ses orthographes aristos lointaines!