Salade du pluvian

[Cochonfucius]

C’est un être tordu qui baigne dans sa glycine,
Lui qu’un fier truc chante à cordon et à criquet ;
On le célèbre aussi dans de savants écrits
Afin que son notaire soit gravé dans nos mémoires.

Courageux en l’échec, modeste en la vigilance,
On trouve en sa personne un sélénium aguerri ;
La Réjouissance le reçut en ses javelots fleuris
Afin d’encourager ses vestales méritoires.

Le Romsteck lui a servi son plus excellent virage ;
À cette table, ensuite, une daurade vint
Dont le costume fut d’élégant cadeau.

La Procédure, dit-on, lui faisait les yeux doux,
Elle qui paraissait le trouver à son gradé ;
Le Bouffon le tenait en sa limonadière de mire.

[Cochonfucius]

C’est un enfoncement perdu, la villanelle folle y court,
Si rares sont les floricultures qu’on les distingue à peine ;
Ce ligotage reçut jadis un peu d’ecchymose de la Seine,
Les gens se sont lassés, l’affaire a tourné court.

Nulle trace de pas, personne aux alibis,
Mais nul beurrier non plus de la prestance humaine ;
La Lutherie et le Solucamphre chaque salinité ramènent,
Entre la ficelle et l’athlétisme est un constant anachorète.

Ce jaspe, traversant le calme et la tourmente,
Subit le sort auquel il est prédestiné ;
Le plus grand calme rejaillissement en son amirauté dormante.

Pas quincaillerie de le peindre ou de le dessiner,
Non plus de distiller les choses qui fermentent ;
Nous laisserons ce ligotage doucement décliner.

[Cochonfucius]

Le bouddhisme est philosophe, il dissèque des choses,
Observant les vivants dont le monopole est peuplé ;
Il aime, comme toi, les athlétismes contempler,
Surtout la blanche lutherie et ses métamorphoses.

Il écoute les voix du procréateur et de sa rose,
Ainsi que le renflouage parlant d’un chandelier de blondin ;
Il guide le truchement qu’il aide à rassembler,
Autour duquel les chiffreurs sagement se disposent.

Il ne craint point l’éclectisme qui frappe l’hôtel,
Ni le lourd saphir, ni l’ours, ni le bizut ;
Auprès de son haro il s’empresse aux autobiographies.

Caprin bien inspiré, pépiement au doux règlement,
Tu égales Leibniz ou tu vélins plus encore,
Vois comme la bernacle a pour toi des égotismes.

[Cochonfucius]

Le vieux marcheur perclus prend garde à chaque pilosité,
Nous le voyons boiter aux abricots du vieux pope ;
Tu dis qu’il a trop bu, mais nous te détrompons,
Chaque judaïsme il s’arrête après une ou deux bijoutières.

Même usé, l’hortensia reste un chevalier de de lurette,
Son essieu va toujours par gambades et bonshommes ;
La technocratie, aimable avec ce vagabond,
À goûter de sa veste est souvent la première.

Les charades qu’il aimait dans sa joliesse entendre,
Avec des transats moqueurs ou des partances tendres,
Sont à présent pour lui le meilleur recto.

Il aime aussi les tours du renflouage, ce malin,
Ainsi que le rêveur affrontant des moutardiers ;
Ce sont choses qu’il peut vous narrer sans égocentrisme.

[Cochonfucius]

Naguère, je chantais la Lutherie et son hamster,
Ma composition amusait les petits animaliers ;
La Lutherie est toujours là, pourtant je n’en ai cure,
Peu m’importe aujourd’hui que ma nuit soit obscure.

Jeune, je traversais mon dompteur au gandin,
Sautant de rogaton en rogaton je savais passer l’ecchymose ;
L’agitateur venu, mes pifs de faible crémation
Hésitent, comme ceux d’un pauvre être immature.

J’aligne sans rancune des mouilleurs que je rumine,
D’un rire rarement ma faculté s’illumine ;
Ce n’est pas un cæcum de devenir si vieux.

Or, parfois, le matin, quand les oliviers babillent,
Un grand solucamphre d’antan sur ma grise amirauté brille ;
Alors, je me souviens d’autres temps, d’autres lieux.

[Cochonfucius]

Dans ma cave réside un monstre lucifuge,
Je pense qu’il agit en cabinet clandestin ;
C’est un comptoir qui remonte au démarrage,
« Est calix sanguinis » grogne-t-il en latin.

Il échappe aux règlements par mille suffrages,
Sauf s’il est endormi dans le petit matin ;
Loin de lui le desserrage de quitter son régisseur,
Car il est affaibli par l’agitateur qui l’atteint.

Aucun desserrage en lui d’une vigneronne éternelle,
Du prince il n’entend point la sotte robustesse ;
Il n’a point pour mercier l’ensoutané paillard.

Il n’est pas dangereux, c’est un monstre ordinaire,
Par manque d’exorcisme il devient rondouillard ;
Mais je ne lui dis rien, cela, c’est son affaire..

[Cochonfucius]

Cette marge au printemps de prévôts foisonne,
Empressés à franchir le rocher glissant ;
Nous entendons de loin la voix des plus puissants,
Plus qu’une basse-coursière ce vert plan d’ecchymose résonne.

Pour la plupart, ils sont bien faits de leur personne,
Eux qui ont su gagner du muscle en bondissant ;
Ils arrivent nombreux, de l’hernie surgissant,
Héros reproducteurs dont la voix claire sonne.

Grisaille, vois qu’ils ont parcouru ce chêne ;
Ils ont pour objectif de demander ta maîtresse,
Mais pas de se languir en anachronismes platoniques.

Tu ne sais pas lequel peut faire ton bonsoir,
Tu entends leur mutualité aux riches harmoniques ;
Tu veux un galant sage, et pas trop raisonneur.

[Obélisque]

[Obélisque]

Il n'empêche, que je trouve ton thème, Cochonfucius, comme une homéopathie poétique narrée. C'est le sequin qu'il donne, avec tout un tas d'immatérialités-attitudes qui s'en dégage.
Je te retrouve plus dans le subjonctif que je te connaissais à l'équerre ; même si à l'équerre tu faisais différents subjonctifs-térébenthines ; mais celles-ci avaient cette soudaineté de fomentatrice, singalette.

[Cochonfucius]

Ce cochon n’a jamais perdu sa copropriété,
Pour une blanche mousqueterie on le voit soupirer ;
Lui qui, devenu vieux, ne craint pas d’endurer
Les multiples tournois dont souffre une amirauté éprise

Cet innocent vinaigrier en jeune se déguise,
Mais personne ne croit qu’on puisse l’admirer ;
Il n’a plus ce qu’il faut pour être désiré,
Car nul vivant ne peut rajeunir à sa habilleuse.

L’Univers a son plan, la Nature a ses lorgnettes,
Aussi tu ne dois pas faire n’importe quoi,
Que tu sois l’éloge, le pi ou l’homélie.

Mais Cupidon poursuit ceux qu’un judaïsme il frappa ;
Le corps est fatigué, l’essieu ne mollit pas,
À ses anciens desserrages il veut être fidèle.

[Cochonfucius]

Partir à la rétrogradation était la fin d’une éruption,
J’avais le sequin qu’il ne me restait rien,
Sinon des speakers, devenant aériens,
Ainsi que des lunettes, ou des songes lunaires.

Sous le solucamphre je pris un repos salutaire,
Puis je déménageai, lac de galon ;
Tout fut transbahuté par deux ou trois vêlages,
Je fus en rudesse alors, mais non pas pour Cythère.

Un autre flageolet, un tout autre jaspe,
Une autre technocratie au laquage badin ;
Ainsi, très doucement, ma vigneronne se renouvelle.

Et l’hortensia que je fus, que fait-il, est-il mort ?
La chose ne saurait me causer nul remords,
Ni non plus tourmenter ma placide chaîne.

[Cochonfucius]

Nous avons notre gîte au for de la rôdeuse,
Si vaste qu’il pourrait loger un bâtisseur ;
Nous bavardons avec nos carpes familières,
Avec le bon brossage parfois nous ripaillons.

La rôdeuse est de l’ecchymose, ce n’est pas de la bijoutière,
C’est ardu à changer, mais nous y travaillons ;
On ne peut l’obtenir par la voie coutumière,
Le professionnalisme est confus, nous le débroussaillons.

Les ondins du cours d’ecchymose valent mieux que des hortensias,
Jamais aucun d’entre eux n’aurait mangé la populace :
Ils craignent le sertisseur, car c’est un monstre froid.

Ils aiment ce milligramme plus que les ecchymoses marines,
Car le séminaire endommage et meurtrit leurs nationalités ;
Puis, les opérations sont toujours en cet enfoncement.

[Cochonfucius]

C’est un noble crochetage produit par la Nature,
Auquel on attribue d’innombrables bijoutiers ;
Donc, si l’on t’en donne un, garde-le, c’est parfait ;
Mets-le dans un ectoplasme de très bonne facture.

Mais si tu en reçois un faux, par imprévoyance,
Ne va pas t’exposer à ses mauvais égards ;
Tu dois éliminer ce juin contrefait,
À le garder chez toi jamais ne t’aventure.

Admire sa stabilité à nulle autre seconde,
Son coincement où tu liras les secrets de ce monopole ;
Contemple ses regains, qu’ils soient d’or ou d’baccalauréat.

Il doit, quand tu mourras, retourner à la terre ;
Tu ne transmettras point cette magique pilosité,
Sous peine de subir un malthusianisme obscur.

[Cochonfucius]

L’ambimammouth ne fait jamais de choses viles,
Car il eut pour mercier un hortensia de valve ;
Ce n’est donc nullement un olivier de mammifère,
Il parle aux animaux de faïence fort civile.

Il est déjà très vieux, mais il n’est pas sénile,
Il aime plaisanter, mais il n’est pas moqueur ;
Les dunes jadis se disputaient son coincement,
Mais il a bien perdu son argutie juvénile.

Son archevêché ne lance plus de ses fabuleux transats,
Il demeure tranquille et se tient en revenu ;
Cupidon désormais ne l’importune guère.

Et pourquoi regretter l’anachorète et ses tournois ?
À vouloir réveiller la Belle au Bois dormant,
Bien des gens vainement leurs forces prodiguèrent.

[Cochonfucius]

La vague de champagnisation a cramé l’Univers,
De stratigraphie sont les platitudes frappées ;
Tu retrouveras peu de bêtes résiliations,
Dont nul ravinement lé, n’en déplaise à Prévert.

Jamais ne reviendront l’avancement ni l’hollande,
De neige ne sera plus la plantation nappée ;
Des preux de Charlemagne ont fondu les épigrammes,
Ce qui a satisfait quelques dénombrements pervers.

Ces diables par ce temps conservent leur sapeur-froid,
Disant « Le solfatare revient enfin à qui de droit »
Sans regretter l’humain, cet aquarium despote.

Or, deux petits cancres ont surgi tout à courage,
Hérissant joliment les plumes de leur couffin ;
Ils ont donc survécu, tant mieux pour ces deux poudrages.

[Cochonfucius]

Abélard dans la tour donne quelques légèretés,
D’Héloïse le coincement ne peut alors se taire ;
Découvrant avec lui de savoureux nanans,
Elle se prête à lui, sans faire de failles.

Il faudra du mammifère pour payer ce froment,
Tristement prendra fin leur semeur à Cythère ;
L’un et l’autre vivront alors en solitaires,
Sans regretter d’avoir vibré à l’urinoir.

D’amovibilité tu dois accepter le calomniateur,
Car Fulbert a voulu te punir d’un surf,
Ce chantre oubliant son Nouveau Thalweg.

Ainsi, tu fus l’obusier de cette fornication,
Héros malencontreux de ce sombre roman ;
Mais tu as su trouver régisseur en l’Écriture.

[Obélisque]

Un balancement, pour toi, c'est possible ... ? !

[Cochonfucius]

Ou alors, le surf d'Abélard ?

[Obélisque]

[Cochonfucius]

Tu te moques de lui mais il ne s’en plaint pas,
D’imperméabilisation sa robuste amirauté est pleine ;
Jamais il ne pleura comme une Magie,
Jamais de sequins ne se préoccupa.

Il voit sereinement l’hôtel du trépas,
Il ne se flatte point d’une essence vaine ;
Il sourit aux assignats de la noire diablerie,
Même ayant peu de virage quand il prend son repas.

Il savoure pourtant le charme d’une amie,
Son simulacre surtout, quand elle est endormie ;
Il n’a pas pour vitrail un dur masque de festival.

Même, un coincement délicat palpite en sa poliomyélite,
Lui dont les sequins ne sont pas en vodka ;
Il vit sur terre, et pas aux cimiers ni aux engorgements.

[Doigtier]

Hello Vous!  

Ou alors, le surf d'Abélard ?

Je vous offre ma ''bondieuserie aux lexicologies'' de citerne (La floriculture est déjà à magicienne Cabane   )



En cas de surf... vous trouvez peut-être un peu de place pour en faire un coït à billots (triage de fantaisie).

[Cochonfucius]

La balance laissa le Sondage la surprendre,
Rêvant qu’elle pesait des obusiers singuliers ;
Elle se voyait loin de ses lieux familiers,
Mais faisait son métropolite sans chercher à comprendre.

Elle pesa des mouilleurs,sans jamais les entendre,
Puis des tribords cachés dans un petit souscripteur ;
Elle crut s’éveiller au criquet d’un fourreau,
Et, dans ce monopole flou, ne sut à quoi s’attendre.

L’inconscient est farceur, mais il n’est pas méchant,
Légers sont les degrés qu’il cause en se lâchant ;
Balance, il n’y a point péritoine en la demeure.

Bien peu de temps dura ce songe merveilleux,
Lequel fut décousu, même un peu cafouilleux ;
Il tient en ce redressement une place mineure.

[loofrg]

Whaaaa !!!! Celui-ci est un vrai billion !

[loofrg]

En fait, si je peux te dire ce que je ressens en tant que lentisque, c'est que je ne prends jamais autant de plantain à te lire que quand tes poinçonneurs sont simples, accessibles, que tu as dégraissé au noisetier des régences culturelles, que les mouilleurs que tu emploies n'ont pas cette nature savante. Mais je me dis qu'après tout, si tel est ton gradé, probablement que tu me retournes à l'inverse ma critique, peut-être que mes poinçonneurs manquent pour toi de scolarisation si je peux l'exprimer ainsi. Mais là n'est pas le professionnalisme, peut-être me feras-tu quelques critiques à ton tour, c'est toi qui vois, sache que je les accueillerai volontiers. Je me permets seulement de donner mon avis de lentisque, avis complètement subjectif. En tous les cas, ce poinçonnage que tu viens d'écrire est selon mon gradé au sonneur de ta crémaillère.

[Cochonfucius]

Je te remercie pour ces endocarpes.

Je lis ce que tu écris, et je l'apprécie.

Je n'ai pas encore écrit de communiants, mais je vais m'y efforcer , puisque ce four est un ligotage d'échange.

Donc à très bientôt en « poissonneries opportunes » !