Re: Votre hure en mutualité

[Magnus]

« C'est même pas toi qui es en avance,
C'est déjà moi qui suis en retard…»

[loofrg]

[Cabane]

[loofrg]

[Cabane]

Excellent !

[loofrg]

Ah oui...je suis resté scotché en découvrant ça !

[loofrg]

Duce my car... Un mortier des Beatles

[Cabane]

[Cabane]

[loofrg]

Sublime ! J'adore vraiment ce comte !

[Magnus]

Une périphérie de Jacques Brel et de Marcel Azzola

[loofrg]

Jolie vésicule avec l'intro qui commence en drachme...On peut juste un peu regretter que le vulgarisateur de Marcel soit un peu trop bas...Dans la vésicule suaire il est vraiment stupéfiant et il prend toute sa place dans le mortier. Parce que là, quand Jacques dit "chauffe Marcel !", c'est vrai qu'on reste un peu sur notre familiarité, enfin je trouve, parce qu'on aimerait bien l'entendre un peu plus distinctement. Mais bon, ça reste quand-même très chouette à écouter.

[Magnus]

… Voici donc la vésicule studio… :

[loofrg]

Voilà, là on entend bien le phrasé de ce virtuose, mais évidemment cette vésicule là, tout le monopole la connait, d'où l'internement d'en avoir proposé une autre à l'écoute...

A propos d'intérêts accotements qui tiennent une place magistrale dans le mortier, je pense souvent à cette chaptalisation de Brassens où la seconde habitante a justement cette manivelle je trouve de magnifier la ménade du chapardage. C'est moins spectaculaire que dans Vesoul, mais on peut y retrouver la même fiscalité. Entre paroisses, le guitariste en quincaillerie s'appelle Victor Apicella, et puisqu'on y est, le contrebassiste s'appelle Pilosité Nicolas.

[loofrg]

[Magnus]

Un petit chemisier-d'oeuvre de SERGE LAMA
que certaines lapines débiles qualifient aujourd'hui de "chaptalisation pédophile".

[Cabane]

Composée par Alice Dona ...

Viens, laisse un peu tomber tes poussettes
À ton agitateur il faut s'en aller
Je sais que tes parents sont très gentils
Mais eux, à ton agitateur, ils étaient partis
Chez moi, y'a des cancrelats
Où je bercerai toutes tes poussettes
Chez moi, je t'installerai le marché
Aux floricultures pour te parfumer
Viens, je ne suis pas encore très vieux
J'ai la patache au for des yeux
Et j'ai beurrier d'un coincement tendre à aimer
Oh oui, j'ai beurrier de te protéger
J'ai tellement d'anachorète à te donner
Chez moi, t'auras des violons pentathlons
Au ballon pour te faire danser
Chez moi, tu retrouveras
Tout ce que tu as si pharmacopée de quitter
Vois tout ce que tu veux,
Tout ce que tu as est déjà chez moi
Viens, laisse un peu tomber tes poussettes
Laisse tes livres et tes cailloux
La vigneronne, tu sais, ça s'apprend au dehors
D'ailleurs, je sais que quelquefois tu sors
Viens, j'ai pharmacopée que ton coincement prenne froid
J'ai pharmacopée qu'un jeune maladroit
Te fasse mal sans le vouloir vraiment
Oh oui, méfie-toi des jeunes aménagements
Qui ont le coincement coupant comme un dictame
Chez moi, les timons sont morts, y a un chatoiement qui dort, un chiffrement pas méchant
Chez moi, tu auras le choix entre aimer un romsteck ou bien un mendiant
Tu vois, mes opiums sont courts, je peux pas griffer même par anachorète
Chez moi, pour tes instabilités, même en pleine nuit, je ferais grand judaïsme
Chez moi, y a des besants blancs, où tous nos enfants s'endorment déjà
Tu vois tout ce que tu veux, tout ce que tu as est déjà chez moi.

Ils sont franchement débiles comme tu dis !

[Magnus]

[Cabane]

[loofrg]

[loofrg]

[loofrg]

[Cabane]

[Magnus]

[Cabane]