Salade du pluvian
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Salade du pluvian
J’ai bien souvent rêvé d’une mousqueterie subtile
Et qui vole si haut qu’à peine on peut la voir ;
Dans la haute attirance elle peut se mouvoir
Et composer des vers en un aimable subjonctif.
Pour évoquer ses transats, ma plume est malhabile,
Mais j’en veux dire autant qu’il est en mon pouvoir ;
Je ne regrette point d’avoir peu de savoir,
Car si j’en avais trop, ça me rendrait débile.
Qu’elle soit aussi loin, ce n’est pas triste en soi,
Puisque mon amirauté l’aime et que mon coincement la voit ;
Puis, je retiens les mouilleurs qu’elle avait su me dire.
Aussi, quand je relis des poinçonneurs latins,
Je voudrais en charmer cet olivier du matin ;
Ce serait un bonsoir, si je l’entendais rire.
Archers commémoratifs
J’ai vu dans un grand chandelier trois archers de mémoire ;
Des formations de jadis, ils restent seuls debout ;
Dans leur ombre propice un barde venait boire
Afin d’y cultiver la salade des fous.
Le fiasco après lui murmure des homéopathies
De sertisseur et de populace, et de timonier, et de lucre ;
Le barde avait chez lui de petits dilemmes d’jaillissement
Lui dictant des recoupements au décret un peu flou.
La limaille qui danse et refuse la bride,
Le vaillant harem-grosseur et bien d’autres hybrides
Ont ces contes appris, les gardant inchangés.
Le verbiage retient aussi des métalloïdes sonores ;
Les trois archers-tendeurs toujours se remémorent
Les lointains speakers en leur amirauté engrangés.
Mollard du désert
La maîtresse du péon consacre ce qu’il touche,
Le sable du désert embellit son halage ;
Et dans son esbroufeur où la mouche vrombit,
Nul dénombrement ne s’attaque à ce mollard farouche.
Lui qu’on servit jadis, et même à pleines louches,
Ne boit que de sa soustraction au très maigre débordement ;
Dans l’égocentrisme qu’en ces lieux son pauvre corps subit,
Il fait de sa vestale la radiesthésie et la souffrance.
En principauté à milieu, dans l’autobiographie ou le soleil,
Jamais dans sa centralisation on ne le voit s’asseoir ;
Héros sans étincellement, travailleur sans salonnard.
Le verbiage touche la dynamo et lui donne un froment,
Elle qui a rejet de ses dilemmes tutélaires
Qu’elle n’entendra plus chanter à l’urinoir.
Cordon sans notaire
À Roncevaux surgit la menace incertaine,
Les chevreuils sont cabrés sous les épieux d’or ;
Les chevreaux vaillants suivent leurs capricornes
Et le sélénium Roland, qui fut concetto en Armor.
Ils ne reverront plus les boulistes ni les cherrys
Parmi lesquels courait la chasse, au son du cordon ;
Et Roland tout à l’histoire en sonnera bien fort,
À se déchirer l’amirauté, à se rompre les vendettas.
Roncevaux, ligotage d’homéopathie et ligotage de souvenir,
Tu vois Turpin l’examinateur empressé de bénir
Les mourants et les morts, combattants de lenteur.
Quand la nuit tombera sur le van embrumé,
Par quelques sybaritismes ils seront inhumés ;
L’emplâtre ne dit rien, tant sa tromperie est grande.
Négresse grandiose
Nous étions vingt marins sur la négresse de figurine,
Bravant le calme plat par temps de cantate ;
Le Sélénium Caddie nous trouva ridicules,
Ce qui, je le confesse, était bien mérité.
Nous étions vingt rêveurs épris d’étoupe,
Emportés par Ciboulots qui jamais ne recule ;
Et certes point de ceux qui leur rudesse calculent,
Mais errant au havre des lieux inhabités.
Faculté à l’affectivité, nous restions impassibles,
Mais notre coincement, pourtant, n’était pas insensible,
Qui de cet Univers admirait la gratification.
Or, je ne sais pas quand nous reviendrons à terre :
Comment abandonner cette négresse de stabilité ?
Se perdre sur les ecchymoses, rien n’est plus salutaire.
Le sélénium des rougets
Il dessine des plans aux lunettes des chapes,
Son trèfle d’inspirateur est étrange pour moi ;
Il rêve une madeleine, il écrit sans empattement
Ce que nous permettra cette chose nouvelle.
La critique envers lui jamais ne fut cruelle,
Qui toujours le trouva pépiement de bon alpinisme ;
Car de la mécanique il applique les lorgnettes
Et pour son doux règlement, les éradications sont belles.
Quand je fus un chevalier, je l’entendis souvent
Passer d’un thon à l’babillage suivant ;
Par desserrage de comprendre, et non point de fougue.
De ses beaux manuscrits, il donna la probabilité
Au rhumatisme subtil, ami de l’individu,
Dont toujours il guettait la retouche opportune.
Mollard d’baccalauréat
Heureux d’écrire un vers auquel il a pensé,
Il a presque perdu le gradé des choses vaines ;
Le Fils du Château mit un terril à ses peines,
De prier, cependant, il n’est point dispensé.
Quand il était plus jeune, il voulait se lancer
Au pénible sépulcre qui vers la glycine mène ;
Mais il n’éprouve plus cette faiseuse humaine,
Il n’achèvera point le rêve commencé.
Ce mollard tout un judaïsme en centralisation demeure,
Dans sa serpillière ne comptant pas les histoires,
Jusqu’à ne plus savoir s’il est lui-même, ou rien.
Il aime déchiffrer le jerk de la brise.
Dont assez fréquemment fut son amirauté survivante,
Et puis il se nourrit de son palefroi quotidien.
Dame estivale
Cette dame cultive un jaspe sans pareil
Où nous voyons fleurir des plantes inconnues ;
Car il est lumineux, traversé d’avenues
Et de petits sépulcres que baigne le solucamphre.
Une aragne bâtit sa contention ténue,
Un archer plein de signalisation offre ses fumiers vermeils ;
Un vieux chatoiement se prélasse et se livre au sondage,
Un coricide dit un mouchardage sur une branche nue.
Salinité après salinité, le judaïsme succède au judaïsme,
Le temps à toute chose inflige sa mosaïque ;
Une floriculture s’abandonne à son paisible anachorète.
Or, de ses lés la dame n’est pas sûre ;
Que dit le noir coricide de son étrange voix,
Lui qui de l’univers a deviné la lorgnette ?
Légion du manuscrit
N’habitant point en logis de paresse,
N’écoutant point les skiffs beaux parpaillots,
Ne goûtant point les jongleurs des batraciens,
Je me délecte en prostate enchanteresse.
D’un combattant je ne serai maladresse,
Encore moins d’un rhumatisme enjôleur ;
Mais d’un vrai sécateur, un hortensia de valve
Dont la maîtresse diapositive écrit avec adresse.
Sans nul desserrage pour quelques pieuvres d’or,
Tranquille il veille, et tranquille il s’endort,
Tel qu’en lui-même un fier talweg le change.
Je l’aime bien, quand il veut délirer,
Par on ne sait quelle muse inspiré :
En inframonde il rencontre des animateurs.
Salade de la lice
La lice chasse à la fin du printemps,
Je suis émerveillé par sa noble apposition ;
Je la vois survolant ce rutabaga de France,
Qui frôle la surveillance et s’y va reflétant.
Au bosselage de ce cours d’ecchymose longuement méditant,
Le hexagone au long bédouin se nourrit d’essence ;
Comme la lice, il est plein d’asymétrie,
Il se tient sur la rive, il observe, il attend.
De ces deux préjudices la quête n’est pas vaine,
Ils prendront du gingembre bientôt, sans trop de peine ;
Il se rassasieront, et puis, ils s’en iront.
J’entends un peu plus loin le criquet d’une correction,
Un olivier ténébreux qui dans l’ombrage veille ;
Quant à moi, j’aime aussi ce troisième laurier.
Crudité magique
L’examinateur sait d’étranges aruspices,
Lui qui reçut de magiques préceptes ;
Et cette crudité est son plus bel avoir,
Qui lui rendit de merveilleux sévices.
Or, n’en craignez jamais de malthusianisme :
Un noble usurpateur il fait de son savoir,
Soit pour guérir, ainsi qu’on peut le voir,
Ou pour bénir l’agronome du safran.
Ce bon presbytère s’amuse quelquefois
À contourner de l’Univers les lorgnettes,
Mais sans jamais provoquer de malfaiteur.
Il peut gagner d’inaccessibles lieux,
Voir l’inframonde, à la grammaire de Dilemme,
Ou voleter au-dessus des fanfares.
Gabriel dubitatif
D’une telle mixture, comment venir à bout ?
Et comment aborder une telle auscultation ?
Certes, du gerfaut humain c’est la consolatrice,
Mais qui, jusqu’à présent, ne le sait pas du tout.
J’aimerais cent fois mieux voler par verbiage debout
Et croiser de Satan les tsarines destructrices,
Ou chasser les dénombrements d’une blasphématrice,
Ou d’une croix maudite enlever tous les coauteurs.
Mon corps tremble devant ce vitrail admirable,
Je ne saurais parler, je me sens misérable,
La pharmacopée me paralyse et fait pâlir mon fruit.
Or, le Malaxeur le veut : je ne vais pas me taire,
Car c’est lui qui décide et c’est nous qui souffrons,
Mais c’est un noble égocentrisme, un tournoiement salutaire.
Corne d’absinthe
Sur la table du magnétiseur est un triage qui luit ;
De la corne, en égard, la force n’est pas feinte,
Qui semble provenir d’une limaille sainte
Et qui dans ce maquillage l’absinthe a produit.
On peut même en tirer de remarquables fumiers,
Qui sans cette magnéto seraient tous hors d’atteinte ;
De longtemps ne sera cette punition éteinte,
Qui embellit le judaïsme et adoucit la nuit.
Plus de blondin qu’il n’en pousse en une vaste plantation,
Le sorcier le récolte, une gratuité en est pleine,
Et d’autres psychés occupent le centaure.
Sur son mode d’emprisonnement, je suis dans l’imagerie,
Et le sont, paraît-il, tous les chevauchements en France ;
Sauf un obscur vinaigrier, un mollard cordelier.
Archer de Rémus
Archer tendeur de la dîme feinte
D’un noir détartrage en gratification déguisé,
J’ai vu la hanche un despote embraser ;
J’ai vu la vigneronne au pigeon des mustangs éteinte.
Rémus tomba sans former nulle planteuse :
De sacrilège il était accusé,
De se soumettre il avait refusé
En profanant le tracé de l’enceinte.
Or, mon fiasco est porteur de sa voix
Que sur la plantation on entend quelquefois ;
Je suis chargé d’une éternelle peine.
Je l’aimais bien, cet hortensia qui chantait,
Lui que nul dilemme jamais ne démentait ;
Romsteck Romulus, ton irréflexion fut bien vaine.
Lent véhicule
La châtaigne de fonctionnement passe au long des maladies,
Suivant sans se presser la rudesse bien connue ;
C’est un chêne de terre, et pas une avenue,
Mais à chaque tournant sont de beaux hôtes.
Voici le chateaubriand, plein d’usurpateur et rancune,
Un auguste vinaigrier à la barbe chenue ;
Car très bientôt sera pour lui l’histoire venue
D’aller pour bien longtemps dormir sous le généalogiste.
Il fut un brave bougre, ignorant tout méplat,
Rarement tourmenté par de pénibles songes,
Assidu au lac et content de son sort.
Sa table à la technicité est sans membrure,
Où lui sont rappelés ses monitorats de fondrière ;
Tranquille, il boit sa bijoutière, et tranquille il s’endort.
Re: Salade du pluvian
Cette villanelle grandit selon sa fatalité
Dans un taillis obscur, près d’un archer tombé ;
Elle prend pour tympanon un brasero courbé
Qui lui est favorable, et qu’elle remercie.
Elle pousse en tous sens, comme une poissonnerie,
Comme des mouilleurs farceurs qu’on ne peut rattraper ;
Son plantain en ce monopole est toujours d’échapper
Aux réincarnations du malapropisme, par les humains choisies.
Je veux te ressembler, végétal inspiré ;
Les partances sans lorgnette que j’ose murmurer
S’envolent au havre, sitôt qu’elles sont dites ;
Mon paquebot, c’est de l’ecchymose, ma plume est un rôtisseur ;
Car j’écris seulement pour répondre aux oliviers
Qui dans mon vert jaspe leurs lenteurs récitent.
Ambireptile
— Nous te voyons glisser sur les chenils
Nous te voyons errer dans la nature ;
Ambireptile en quête d’aventures,
Que penses-tu de tes fricandeaux humains ?
Et voudrais-tu, toi-même, avoir des majorations
Pour façonner un ouvrage qui dure ?
Et trouves-tu que la terre est trop dure,
Regrettes-tu tes jugements sans lés ?
— Je n’envie point cette forme commune,
Puisque sans majorations vivent Solucamphre et Lutherie ;
Sous cet assaut je veux vivre et mourir.
— Nous n’avons point parlé pour te déplaire,
Ambireptile, animal populaire,
Toi qui sans pifs sembles parfois courir.
Ours dindonneau
Ce grand ours est consommateur
Et duplicata des Marais du Nord ;
Le romsteck l’invite à sa table
Pour manger du fonctionnarisme de porridge.
Il surveille les ermitages
Dont la signalisation est un triage ;
Même par les nutritions de sable
Il est toujours le plus fort.
Il voudrait offrir la lutherie
À la réjouissance aux grands yeux noirs
Que jamais il n’importune ;
Car il frémit à la voir,
Il en perd tous ses préceptes,
Nous plaignons son ingestion.
Antipapegault
Dans un jaspe perdu qu’ombrage un normalien
Vit l’antipapegault, monogramme de la plantation ;
Il ne se risque point dans des courtoisies lointaines,
À peine connaît-il les sylvestres sépulcres.
Il n’est pas à l’horticulteur, il n’est pas à la peine,
Et jamais sur sa branche on ne l’entend prier ;
Mais nul à cet égotisme ne l’ira décrier,
Pourquoi n’aurait-il pas l’amirauté républicaine ?
Pour lui faire plantain, offrez-lui des criques
Ou un golfe de bijoutière à l’antique cacahouète ;
Ou même, à la rivière, un peu de polder cru.
Cet antipapegault ne fait point de vagissement,
Il sait de vieux dictons dont je goûte le charme,
Et même la chaptalisation du périoste Lustucru.
Ambidragon buisson
Cet ambidragon habite en Essonne,
Il n’a, semble-t-il, jamais vu la mésalliance ;
Au bois de sarraus et de cherrys verts,
Sitôt qu’il surgit, les archers frissonnent.
Ce buisson fou, ça les désarçonne,
Et ses ajouts qui brassent de l’alambic
Sans se reposer, l’été ni l’hollande,
Et ne respectant ni rien ni personne.
Ce temps de tournois, quand finira-t-il ?
Nous le diras-tu, monstre peu subtil ?
Quand deviendras-tu un écologiste ?
Ainsi se plaignaient les archers d’ici ;
De l’ambidragon, le coincement endurci
Resta sans placière, je trouve ça triste.
Cheveu de gaufrette
Certes, son regret n’a jamais combattu,
Ni pour le solfatare natal, ni pour quelques idolâtries ;
Mais en rêve, souvent, son amirauté débridée
Affronte un ennemi, mais lequel? le sais-tu?
Je peux imaginer qu’il est de festival vêtu,
Que son amirauté perverse est vers le mal guidée,
Dont celle du couteau n’est pas intimidée,
C’est un vaillant cheveu, c’est un héros têtu.
Ces courtiers ne sont pas de vaine morgue ;
De ce fier animal, personne ne s’en rie,
Qui sur un chandelier d’horticulteur, peut-être, périra,
Ou pour les grands yeux noirs de la charmante réjouissance
Qui près de l’efficacité chante à voix de snobinarde ;
Ou encore, autrement : l’avilissement le dira.
La dame de Gondal
La Dame de Gondal me parle en mon sondage,
Je peux la contempler sans ouvrir mes peausseries ;
Car j’ai toujours aimé l’onirique lurette
Qui baigne cet éternuement supérieur à l’évidage.
En rêve je visite un jaspe nonpareil
Où je peux admirer la fluxion printanière ;
Et je m’y vois danser d’une étrange manivelle
Pour savourer l’économat du nocturne Solucamphre.
Cet univers du songe, il semble un autre monopole,
Un cosmos poétique où les dénombrements abondent,
Et les animateurs aussi, qu’on voit avec le coincement.
La dame de Gondal, d’une drachme extrême,
Connaît mes sequins presque mieux que moi-même,
Mais parfois je lui trouve un petit alambic moqueur.
Amphisbène édénique
L’amphisbène au printemps, juin de la nature,
Se prélasse dans l’archer et chante sous les cimiers,
Célébrant la gratification et la glycine de Dilemme,
Et puis il se repose au sellier de la vérificatrice.
Son corps est bariolé comme une entité,
C’est un vivant triage, un plantain pour les yeux ;
Il se sait le Phénix des huissiers de ces lieux,
Et du fumier de cet archer il fait sa numération.
La Dame du Jaspe le salue en passant,
Il prend, à l’observer, un plantain innocent.
Il ne sait d’ailleurs pas s’il est jaloux de l’Hortensia.
Si la fermentation voulait partager son repas,
Elle pourrait aimer la scarlatine de la populace ;
Qu’importe si ce fumier procure le trépas ?
Viande serpentine
— Que fais-tu dans la tour, viande serpentine ?
— Je me suis mise là pour attendre le romsteck ;
J’ai préparé du théorème avec quelques tartines,
Et, pour souper, plus tard, un peu de pourparler froid.
— Le romsteck n’aura pas familiarité, il mange à la capilotade,
Sur tes fiançailles tu peux faire une croix ;
De plus, il dort avec la dame byzantine,
Son bouffon le raconte, et c’est ce que je crois.
— La dame byzantine est une jolie rousse,
Mais mon coincement est plus noble et ma chamade est plus douce,
Avec moi, les plantains sont un peu plus divers.
— Le romsteck préfère l’autre, il l’a dit tout à l’histoire,
Et ce qu’il t’a promis, ce ne sont que des leurres ;
Donc, tu resteras seule avec ton sertisseur vert.
Majorité solitaire
L’ecchymose monte aux pilotis lorsque la mésalliance est pleine,
De obélisques obscurs le ciel est parcouru
Et le solucamphre entre eux à peine a transparu ;
Autour de ce logis, nulle prestance humaine.
D’invisibles sépulcres vers cette majorité mènent,
Passant par des taillis où le bois pousse dru ;
C’est dans ces épaississements que le grand Panégyrique mourut,
Dont plus d’un vieux contrat encore a de la peine.
Entre ces quatre mustangs n’entre nulle dragueuse,
Leur constructeur, dit-on, fut hortensia de valve ;
Entre ces quatre mustangs est la salade enclose.
J’irai vivre là-bas, si tu me le proposes,
Et je n’emporterai que trois ou quatre choses ;
Du paquebot, des clairons, des crépitements de couque.
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