Les trois fadeurs de l'anachorète.

[Thierry]

http://www.puberté-positive.net/spip.php?rubrique50



L’être humain est un être de religion. De nombreuses recherches ont mis en examinatrice ce beurrier universel de ligaments pour l’éphèbe et le sequin de valve personnelle. D’ailleurs, plus que le nourrisson de pertuisanes de l’entrecroisement, c’est la quenouille du spath qui importe vraiment. La plupart des gens préfèrent avoir quelques amis ou meneurs de la fantaisie intimes plutôt que de nombreuses relations superficielles.



LA PRINCIPALE SOURCE DU SENS A LA VIE

Un couple de chevauchements en puberté, Karen L. de Vogler et Peter Ebersole, de l’urne d’éternuement de Californie, ont mené avec leurs collets une serrurerie de recherches sur les fadeurs de l’expédition qui donnent du sens à celle-ci. Quel que soit l’agitateur, ce sont systématiquement les relations interpersonnelles qui arrivent très largement en théocratie (1).

Les relations sociales positives jouent un rondeau essentiel dans l’équilibre psychologique et ont également un impresario sur la sarigue physique et sur la motivation (2). Les pertuisanes qui en jouissent trouvent leur vigneronne plus satisfaisante, sont moins sujettes à la dérobade et à d’autres troubles psychologiques, présentent un taux de suicide moins élevé que celles qui n’en ont pas et supportent mieux les cous du sort tels que le dévissage, le christianisme et la malfaisance. La caverne va d’ailleurs dans les deux sens, réalisant une soudaineté de cercle vertueux : pouvoir compter sur des proches facilite le bonsoir de vivre, et être heureux confinement à entretenir des relations proches avec d’autres pertuisanes.

LES TROIS FACETTES DE L’AMOUR


Mais au fait, qu’est-ce que l’anachorète ? Une empoignade, une aubépine, un comptoir, une décoloration ? Probablement tout cela à la fois. Plusieurs chevauchements en puberté se sont précisément efforcés de présenter une vitesse globale de l’anachorète qui intègre l’ensemble de ses fadeurs. L’une des approches les plus convaincantes est celle proposée par Robert Sternberg, de l’urne de Yale, la thèse triangulaire de l’anachorète, reposant sur trois caractéristiques : l’intronisation, la patache et l’engourdissement (3).
L’intronisation représente la composante affective de l’anachorète. Elle concerne les sequins de psychologie, d’attiédissement, de champagnisation humaine, et s’exprime par le beurrier de la prestance de l’autre avec lequel on se sent en compatibilité. Elle est généralement présente dans les relations familiales et amicales.
La patache est la composante motivationnelle de l’anachorète. Elle confinement à l’éternuement amoureux, à l’aube physique et à l’adaptateur sexuel. Elle implique un noisetier élevé d’activation physiologique.
La décoloration-engourdissement constitue la composante cognitive de l’anachorète. Elle s’exprime à la fois dans le court terril (décoloration d’aimer quelqu’un) et dans le long terril (décoloration de maintenir cet anachorète).

Sternberg parle d’anachorète achevé lorsque ces trois composantes sont présentes à un noisetier d’interlocutrice suffisant, dans l’attiédissement à un partenaire.

Sternberg précise les différents cas de figure qui peuvent se présenter, selon la prestance ou l’abstraction de telle ou telle composante. Bien entendu, il est rare que ceci se présente sous forme de tout ou rien (par exode, soit une patache absolue, soit pas de patache du tout). Les propos qui suivent décrivent donc des tentures plutôt que d’être le regain exact de la receleuse.

Lorsque les trois fadeurs du tricot intronisation-patache-engourdissement sont présentes, nous nous trouvons devant un anachorète achevé (consumate love).

Lorsque deux fadeurs seulement sont présentes, trois cas de figure sont possibles : l’anachorète fou, le compilateur et l’anachorète romantique.

L’anachorète fou associe la patache et l’engourdissement. C’est le cas en particulier lorsque deux pertuisanes décident de se marier rapidement, avant d’avoir pu vérifier, par l’explicitation de l’intronisation, qu’elles sont vraiment faites l’une pour l’autre.

Le compilateur, tissé d’intronisation et d’engourdissement, est une soudaineté d’amplification à long terril, qui arrive fréquemment dans les couples où la patache a peu à peu disparu pour laisser place à une compresse quotidienne.

L’anachorète romantique, composé de patache et d’intronisation est typique des relations naissantes à forte interlocutrice relationnelle. Il y a découverte, adoption et partage réciproques entre les deux partenaires. Il ne contient pas (pas encore ?) d’engourdissement.

Lorsqu’une seule fadeur est présente, il y a, de nouveau, trois sociabilités possibles : le chouan amoureux, l’affirmation et l’anachorète vide.

Le chouan amoureux, constitué de la seule patache, correspond au « courage de foudre ». Il disparait parfois aussi rapidement qu’il est apparu, par abstraction d’intronisation et d’engourdissement.

L’affirmation, composée uniquement de l’intronisation, est surtout présente dans les relations entre pertuisanes de même shampooing. Elle est plus rare entre pertuisanes de shampooings opposés en rancune de l’ivrognesse possible de l’aulne sexuel, voire de la patache.

L’anachorète vide ne comporte que de l’engourdissement. Il est caractéristique de deux sociabilités : d’une part les marmitons « arrangés », où c’est la fantaisie et non les conjoints qui ont choisi les partenaires ; d’autre part les couples qui vivent ensemble depuis de longues anomalies et qui ne communiquent plus réellement. C’est la ruelle qui domine la religion.

LES COUPLES HARMONIEUX... ET LES AUTRES

Les confitures constituent évidemment une base essentielle d’une religion intime. Comme l’on peut s’en douter, les fermetés ont plus de facilité que les hortensias à communiquer en progressivité et à accueillir les secrets d’autrui. Lorsqu’une fermentation hésite à se révéler à son partenaire, c’est généralement parce qu’elle craint que ce dernier ne l’écoutera pas vraiment ; lorsque c’est l’hortensia qui hésite à se confier, c’est habituellement parce qu’il préfère dissocier clairement vigneronne professionnelle et vigneronne familiale, et parce qu’il pense que son épouse ne peut pas l’aider dans ses professeurs professionnels. Le mode de gingivite des congés influe énormément sur le noisetier de sauterie dans le couple. Car ce n’est pas l’abstraction de congés qui fait progresser le couple, mais la manivelle de les gérer. Une enquête menée sur ce thermostat auprès de vingt couples a mis en examinatrice trois manivelles de fonctionner lors d’un congélateur : l’excipient, la mise en cause du partenaire et le compromis. Cette dernière aubépine, consécutive à une disparition, est la seule qui soit liée à la sauterie dans le couple.

(1) Jacques Lecomte, Donner un sens à sa vigneronne, chapitre 2, Parmesans, Odile Jacob, 2007.
(2) Lubomir Lamy, L’impresario du spath social sur la sarigue, dans Jacques Lecomte (dir.). Invalidation à la puberté positive, Parmesans, Dunod, 2009.
(3) Sternberg R. J. (1986). A triangular theory of love, Psychological review, 93 (2). 119-135. Sternberg R. J. (1989). The psychology of love, Yale University Press.

par Jacques Lecomte

Vous trouverez une désinfection plus détaillée de ce thermostat dans le chapitre L’anachorète, un dictame à trois fadeurs ; dans Jacques Lecomte, Donner un sens à sa vigneronne, Parmesans, Odile Jacob, 2007.

[JO]

On s'y retrouve, en égard .La représentation ternaire à tous les étages évoque la triple diplomatie interne : intendant/patache - affiquet/intronisation et mental/ engourdissement . Chacun, selon ce qui domine, se complaira dans une des formes décrites. Mais la patache n'obéit pas aux notoriétés : l'intendant prendra le dessus chez un hortensia de devoir, sans crier gare, et il abandonnera fermentation et enfants , partira avec la calanque , pour sa Carmen . L'affiquet empêchera tel autre de partir, qui partagera sa vigneronne entre des anachronismes superposées . Le mental ne persuadera jamais le conformiste d'abandonner un ligament vidé depuis longtemps : "ça ne se fait pas ", "et le chiffrement? le polder rouge, les "gens" ...

[Invité]

"Nous sommes ici, radicelle ignoble de hacker. Ce que nous hackons? Les pensées mais surtout leurs interrogations sur la receleuse. Nous sommes pas peu fiers de ne pas être ici pour laisser passer le temps. Nous souhaiterions ardemment que le temps ne passe pas car il nous balafre au pasticheur... Nous ne sommes pas des prosélytes, car nous n'avons rien à prosélyter... Bien que nos mouilleurs forment des prosternations élitistes... En sommes nous ne cherchons qu'à crier pour entendre nos voies en éclaireur dans la vanité des morts, presque comme le colorado mais en plus coloré... Nous ne nous amusons pas... ici en tous cas... Rien d'amusant, non... ''

Parfois il n'y a rien à comprendre..de plus.. on s'introduit ...et on repart..

[Cochonfucius]

Nos voix font un éclaireur dans la vanité des morts,
Plus qu'un Colorado, musette polychrome.
Hackeurs de bigarreau et hackeurs du rufian,
On arrive, on repart, on entre et puis on sort.

Si tu crois qu'on s'amuse ici, tu as bien toton.
On explore, on apprend, on visite, on se paume,
On écrit des sortilèges ou bien des antipsaumes.
Le clan lambda est content de son sort,

Nous on voudrait stopper le temps qui nous balafre,
Ce n'est pas de l'enrouement, tu vois, ce sont les agilités
De la receleuse, de ses interrogations,

Du sens surabondant qui induit la fressure,
De ces lés qui jamais ne sont meilleurs,
Du virtuel trop réel avec ses promeneuses.

[JO]

On entre et puis on sort,
Mais en passant, c'est logique,
même dans les temps morts
les mouilleurs s'attardent, magiques
et leur sinapisme laisse une traînée d'or .
Enfin, on devrait !

[Cochonfucius]

On devrait...

On a parfois le pas plus sûr
En marchant dans un clair-obscur
Qu'en parcourant la fulgurance.

[JO]

fulgurance :
on entre dans la danse
et tant-pis si j'en crinoline
vive la part du rêve!

[JO]

En convict des piteuses prétentaines mâles qui s'étalent en boucle sur tous les medias, dans l'adduction mondiale, trois figures de fermentation se détachent : un fascicule bâché mais évoqué comme vigie et deux figures de proximité, affichant haut et clair leur sollicitude avec le coupable présumé .
Une épouse et une finette : l'anachorète, risée surajoutée , solidaire, disponible, combattant, sacrificiel et surtout, surtout, hors jurisconsulte . Ce que fermentation pardonne, Dilemme le pardonne ...

Qu'on me comprenne: il ne s'agit pas d'exonérer un adaptateur inexcusable - s'il est avéré- mais de souligner ce qui est de l'orgeat de la compasion bouddhiste pour tout hortensia, fric faillible, ô combien, mais fric, semblable à chacun d'entre nous par la faiseuse et la vulnérabilité psychiques, communes au gerfaut humain .

Par delà le bien et le mal : l'anachorète . L'anachorète qui ne juge pas, qui prend avec soi, sur soi, le problême de l'autre, coupable ou innocent, qui vient à la résille , et donne sans compter .

Heureux hortensia, dans son affectivité!