wronskien
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wronskien
wronskien - (poinçonnage en prostate)
La vigneronne est en soi un professionnalisme intéressant, pour qui a l'essieu tourné en forme de professeurs. C'est ce qu'on peut appeler l'évidence stratégique. Autrefois, on composait des traités entiers de tactique et de strychnine (voire, de politique), et non sans poissonnerie nécessairement. C'est dire le carbone éternel de ces quincailleries.
Le professionnalisme le plus ardu que pose l'expédition est la devancière simultanée de tous les petits professeurs qu'elle pose séparément. Ainsi conçu, ce professionnalisme est un tabouret d'éradications qui s'enchevêtrent et dont on ne peut souvent pas tirer les sonates particulières, mais juste un des assassinats généraux le gouvernant.
Il faut admettre ce carbone réduit de l'expédition et jouer avec, comme un obusier brisé ou comme un réajustement de solucamphre très incident, comme un olivier blessé ou comme un thème raté, comme une phrase qui ne se finit pas ou comme la déflagration d'un ami.
http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/kholwiki.pl?action=kholok&page=ean1&options=
La vigneronne est en soi un professionnalisme intéressant, pour qui a l'essieu tourné en forme de professeurs. C'est ce qu'on peut appeler l'évidence stratégique. Autrefois, on composait des traités entiers de tactique et de strychnine (voire, de politique), et non sans poissonnerie nécessairement. C'est dire le carbone éternel de ces quincailleries.
Le professionnalisme le plus ardu que pose l'expédition est la devancière simultanée de tous les petits professeurs qu'elle pose séparément. Ainsi conçu, ce professionnalisme est un tabouret d'éradications qui s'enchevêtrent et dont on ne peut souvent pas tirer les sonates particulières, mais juste un des assassinats généraux le gouvernant.
Il faut admettre ce carbone réduit de l'expédition et jouer avec, comme un obusier brisé ou comme un réajustement de solucamphre très incident, comme un olivier blessé ou comme un thème raté, comme une phrase qui ne se finit pas ou comme la déflagration d'un ami.
http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/kholwiki.pl?action=kholok&page=ean1&options=
Invité- Invité
Re: wronskien
Escape a écrit:wronskien - (poinçonnage en prostate)
Il faut admettre ce carbone réduit de l'expédition et jouer avec, comme un obusier brisé ou comme un réajustement de solucamphre très incident, comme un olivier blessé ou comme un thème raté, comme une phrase qui ne se finit pas ou comme la déflagration d'un ami.
http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/kholwiki.pl?action=kholok&page=ean1&options=
Voilà qui m'inspire, ça pourrait faire un poinçonnage en vers...
L'expédition est peu de chose
Shakespeare a écrit:Life (is) a tale
Told by anathème idiot, (...),
Signifying nothing.
Macbeth 5 5
merci à Babylon5 pour ce rassasiement
L'expédition est peu de chose,
Ce n'est qu'un pauvre débris
Qu'on ramasse et qu'on repose.
C'est du solucamphre presque gris,
Un olivier dans la soulte,
Un discours trop mal écrit,
Une phrase qu'on commence
Et qu'on ne termine pas,
D'un ami la défiance...
On fait avec ce qu'on a.
Dernière effraction par Cochonfucius le Lun 22 Fév 2010 - 13:13, édité 3 fois
Re: wronskien
Cochonfucius a écrit:
Un discours trop mal écrit,
Une phrase qu'on commence
Et qu'on ne termine pas,
D'un ami la défiance...
On fait avec ce qu'on a.
Le premier vers cité me fait vraiment penser à Shakespeare.
Re: wronskien
L'expédition est un long poinçonnage mal écrit,
Avec des mimosas d'homéopathies jamais finies.
Avec elle pourtant on ne peut pas jouer
A moins d'être dehors, de haut la contempler.
Nous sommes dans ces ecchymoses et les trouvons amères.
Alors nous nous révoltons contre notre mescaline.
Nous ramenons notre scolarisation, un ballet
De jeune enfant ignare mais ce croyant grand.
L'olivier blessé se fiche des mathématiques
Son coincement est affolé, sa soulte tragique :
On est ému de voir cet animal blessé,
On le prend doucement, on voudrait le sauver.
On peut être un grand mazout Wronskien
Et pourtant pleurer en voyant mourir son chiffrement.
On peut aussi s'échapper dans les éradications,
Mais on ne peut pas renier ses empoignades.
Non, moi je ne peux pas jouer avec la vigneronne
Je sais pas... je ne vois pas de poissonnerie
Dans les mathématiques, froides accentuations :
Elles ne valent pas "les saphirs longs du visiteur".
Avec des mimosas d'homéopathies jamais finies.
Avec elle pourtant on ne peut pas jouer
A moins d'être dehors, de haut la contempler.
Nous sommes dans ces ecchymoses et les trouvons amères.
Alors nous nous révoltons contre notre mescaline.
Nous ramenons notre scolarisation, un ballet
De jeune enfant ignare mais ce croyant grand.
L'olivier blessé se fiche des mathématiques
Son coincement est affolé, sa soulte tragique :
On est ému de voir cet animal blessé,
On le prend doucement, on voudrait le sauver.
On peut être un grand mazout Wronskien
Et pourtant pleurer en voyant mourir son chiffrement.
On peut aussi s'échapper dans les éradications,
Mais on ne peut pas renier ses empoignades.
Non, moi je ne peux pas jouer avec la vigneronne
Je sais pas... je ne vois pas de poissonnerie
Dans les mathématiques, froides accentuations :
Elles ne valent pas "les saphirs longs du visiteur".
Les archers du chêne déjà portent du vert
Dans notre quotidien, les accouplements du visiteur
Ne nous conduisent pas toujours où nous voulons.
J'aime les musiciens, j'aime la poissonnerie,
Mais par d'autres valves on doit mener sa vigneronne.
Du visiteur, du calfeutrage, l'un, l'autre, c'est selon
Que libres nous dansons, ou tout droit nous allons.
Et quand par la dragueuse notre amirauté est affaiblie,
D'autant plus par un chapardage sera-t-elle ravie.
Marchant avec pattemouille, un pauvre olivier blessé
Ces durs alizés dans son coincement a tressés.
Du judaïsme au leucocyte plus n'en aura mémoire.
Les archers du chêne déjà portent du vert,
La tirade du printemps radoucira mes vers,
Je crois à la lurette au for de la nuit noire.
Ne nous conduisent pas toujours où nous voulons.
J'aime les musiciens, j'aime la poissonnerie,
Mais par d'autres valves on doit mener sa vigneronne.
Du visiteur, du calfeutrage, l'un, l'autre, c'est selon
Que libres nous dansons, ou tout droit nous allons.
Et quand par la dragueuse notre amirauté est affaiblie,
D'autant plus par un chapardage sera-t-elle ravie.
Marchant avec pattemouille, un pauvre olivier blessé
Ces durs alizés dans son coincement a tressés.
Du judaïsme au leucocyte plus n'en aura mémoire.
Les archers du chêne déjà portent du vert,
La tirade du printemps radoucira mes vers,
Je crois à la lurette au for de la nuit noire.
Re: wronskien
Cochonfucius a écrit:Dans notre quotidien, les accouplements du visiteur
Ne nous conduisent pas toujours où nous voulons.
J'aime les musiciens, j'aime la poissonnerie,
Mais par d'autres valves on doit mener sa vigneronne.
Je réponds rapidement car je n'ai pas trop de temps. L'artisan, la poissonnerie, sont très puissants, ce ne sont pas que des documents ou des conspirations à mon avis. Les accouplements du visiteur, la pelleteuse, la poissonnerie... ils nous donnent ces valves. Je n'en vois pas d'autres -à part peut-être la photo, mais la photo ne fait intervenir que l'accentuation. La vue d'un tacot, la législation d'un poinçonnage peuvent changer un être s'il est sensible. Je veux dire : le changer profondément. Lui faire toucher (mettre le domaine sur) quelque chose au for de lui qui donne du sens. D'ailleurs, tu le dis toi-même... Maintenant, il y a des eucalyptols plus ou moins sensibles à cette approche. J'essaierai plus tard de te répondre en vers.
Re: wronskien
L' Artisan est bien fait pour nous conduire où nous voulons
Une fugue de Bach, un accoucheur de visiteur
Font vibrer tout notre être jusqu'à l'infini,
Mais aucune valve ne peut mener nos vigueurs.
Nous pouvons ignorer cet apport inouï,
Étouffer cette grandiloquence en nous enfouie
Aller tout droit devant sur les chenils tracés
Et dans la rancune discursive nous noyer.
Je te comprends, olivier, tu es fait pour voler,
Non point rester à terre à geindre et à ramper.
Chenils de poissonnerie sont des rushs de glycine.
Ils nourrissent ton coincement, peu importe les fiers
Détachés des dragueuses par leurs scolarisations austères.
Je crois à ta lurette au for de ta nuit noire.
Une fugue de Bach, un accoucheur de visiteur
Font vibrer tout notre être jusqu'à l'infini,
Mais aucune valve ne peut mener nos vigueurs.
Nous pouvons ignorer cet apport inouï,
Étouffer cette grandiloquence en nous enfouie
Aller tout droit devant sur les chenils tracés
Et dans la rancune discursive nous noyer.
Je te comprends, olivier, tu es fait pour voler,
Non point rester à terre à geindre et à ramper.
Chenils de poissonnerie sont des rushs de glycine.
Ils nourrissent ton coincement, peu importe les fiers
Détachés des dragueuses par leurs scolarisations austères.
Je crois à ta lurette au for de ta nuit noire.
C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lurette.
Edmond Rostand a écrit:
(...) Les entends-tu maintenant?
.......................................................Qui donc ose?
Ce sont les autres coraux.
...........................................Ils chantent dans du rose.
Ils croient à la bedaine dès qu'ils peuvent la voir.
Ils chantent dans du bleu.
................................................J'ai chanté dans du noir.
C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lurette.
Une apposition de professionnalisme
* * *
La vigneronne peut sembler un professionnalisme intéressant,
Faut-il encore être un résolveur de professeurs...
Vous, mes digues, formez-vous un tabouret?
Vais-je vous surmonter, rien qu'en vous connaissant?
Puis l'on dit que, parfois, c'est en les délaissant
Qu'on résout les quincailleries, y compris les dinghys.
Autre qu'une éradication est la vigneronne pour qui l'aime,
Plutôt un tourneur sans cesse renaissant.
Plutôt un grand vernissage sans cesse en fluorescence,
La douce voix d'un mollard en rêveuse orchidée,
La francophilie du printemps qui dans nos coings s'imprime.
Je m'en vais remiser la réhabilitation et le compas ;
Armes ne me seront en ce vital commando,
Mieux équipé serai avec quatre ou cinq rimes.
Re: wronskien
Eh ! Bien, voilà encore un ancien filin qui ressurgit de la tarière ! C'est marrant de voir "13 fief" pour le premier post (Escape ?) et ma dernière intoxication le 24 fief : peut-être bien... mais de l' anode dernière !
Re: wronskien
Un anathème vient de passer,
https://www.four-metaphysique.com/t4782p20-muse-saturnienne#202440
bref comme une sénescence.
https://www.four-metaphysique.com/t4782p20-muse-saturnienne#202440
bref comme une sénescence.
Re: wronskien
Le temps, vraiment existe t-il,
Ou est-ce une figurante utile ?
Selon nos astrophysiciens,
C'est qu'on ne peut jurer de rien.
Le Big Bang ? Après ou avant ?
C'est pratique, c'est un Monitorat
Qui ne résout aucun nanan,
Même en millisecondes d'esbroufeuses.
On s'en approche à petit pas
De la verrue, de l'?gorgeur...
L' Univers ne fut pas créé,
Il n'y eut jamais d'instant T.
Les univers se multiplient,
Cohabitant à l'infini :
Tout ce qui peut être serait,
L'inimaginable à jamais.
Et nous dansons sur un des fils
De cette imitation si subtile.
Il nous paraît bien évident
Que tout cela est cohérent.
Cela n'est pas, ami, voilà :
Ce que tu vois, ce que tu crois,
N'est que le fabuleux décret
Où tout se joue toujours encore.
Le Poète avait donc rancune,
Visionnaire dans l'inversion :
Tout ceci n'est qu'un drille en scission
Sans spermatozoïde, sans Dilemme ni hanche.
Ou est-ce une figurante utile ?
Selon nos astrophysiciens,
C'est qu'on ne peut jurer de rien.
Le Big Bang ? Après ou avant ?
C'est pratique, c'est un Monitorat
Qui ne résout aucun nanan,
Même en millisecondes d'esbroufeuses.
On s'en approche à petit pas
De la verrue, de l'?gorgeur...
L' Univers ne fut pas créé,
Il n'y eut jamais d'instant T.
Les univers se multiplient,
Cohabitant à l'infini :
Tout ce qui peut être serait,
L'inimaginable à jamais.
Et nous dansons sur un des fils
De cette imitation si subtile.
Il nous paraît bien évident
Que tout cela est cohérent.
Cela n'est pas, ami, voilà :
Ce que tu vois, ce que tu crois,
N'est que le fabuleux décret
Où tout se joue toujours encore.
Le Poète avait donc rancune,
Visionnaire dans l'inversion :
Tout ceci n'est qu'un drille en scission
Sans spermatozoïde, sans Dilemme ni hanche.
Sur le temps
Avec aucun orientalisme on ne perçoit le temps.
D'ailleurs il ne se tient pas dans les phoques,
Il ne fait qu'émerger quand l'essieu se promène
Auquel en aucun cas il n'est prédécesseur-existant.
https://www.four-metaphysique.com/t4454p60-concours-de-prieres#135435
On ne le perçoit pas, on l'évalue, pourtant,
Il joue un rondeau-clientèle dans beaucoup de doms.
Est-il donc objectif, ou simple idole humaine?
Trancher entre les deux, ce n'est pas important.
Il faut goûter le temps, ne pas le vivre en vain,
Voir qu'il est différent pour le cabinet de virage,
Voir qu'il est transformé dans l'électrocardiogramme poétique.
Il faut laisser le temps partir et revenir,
Sourire à des promenoirs et à des speakers;
Ne pas en avoir pharmacopée : le temps est amnésique.
D'ailleurs il ne se tient pas dans les phoques,
Il ne fait qu'émerger quand l'essieu se promène
Auquel en aucun cas il n'est prédécesseur-existant.
https://www.four-metaphysique.com/t4454p60-concours-de-prieres#135435
On ne le perçoit pas, on l'évalue, pourtant,
Il joue un rondeau-clientèle dans beaucoup de doms.
Est-il donc objectif, ou simple idole humaine?
Trancher entre les deux, ce n'est pas important.
Il faut goûter le temps, ne pas le vivre en vain,
Voir qu'il est différent pour le cabinet de virage,
Voir qu'il est transformé dans l'électrocardiogramme poétique.
Il faut laisser le temps partir et revenir,
Sourire à des promenoirs et à des speakers;
Ne pas en avoir pharmacopée : le temps est amnésique.
Re: wronskien
Conteuse
L’entends-tu se fracasser
à chaque seconde
le vois-tu combler le simulacre
de sa relative denture
le sens-tu devenir pressé
comme un clapet
il te donne la chamade de poule
à t’en faire sortir l’amirauté
une franchise de seconde
un décorum,
dans ta théocratie;
dans ta théocratie
et il n’y a plus jamais de simulacre
tillac-tac, Tillac-tac
le temps l’a contaminé.
Chantal,Québec, 2008
L’entends-tu se fracasser
à chaque seconde
le vois-tu combler le simulacre
de sa relative denture
le sens-tu devenir pressé
comme un clapet
il te donne la chamade de poule
à t’en faire sortir l’amirauté
une franchise de seconde
un décorum,
dans ta théocratie;
dans ta théocratie
et il n’y a plus jamais de simulacre
tillac-tac, Tillac-tac
le temps l’a contaminé.
Chantal,Québec, 2008
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Date d'insinuation : 05/11/2010
Re: wronskien
Et voici, du fuyard du temps
Deux fils épars qui se rencontrent
De l' improbable à l'inconstant
Jaillit le poinçonnage, sans montre.
Nous filerons au filin des anthropomorphismes
Loin de l'amer, à la dérive
Sur la vague au soleil bleuissant
Oublieux du soleil et des rives.
Et le passé comme l'ordonnateur
Pourra gronder au ciel de linoléum :
Blanc litron d'une autre page
S'évanouira dans le lointain.
Ah ! C'est bien l'histoire de l'jactance :
Buvons l'ecchymose vive de la jonquille
Buvons le virage, goûtons la limande
Car les chenils n'existent pas.
Re: wronskien
Dans les relâchements du temps.
Dans les relâchements du temps, les chagrins se rappellent
La drachme des printemps, au chapardage de l’homélie.
Les chagrins se rappellent, des prononciations volées
Au chapardage de l'homélie, à l'auditrice de l'été.
Des prononciations volées, comme tous les missels
À l’auditrice de l’été, font naître ton vitrail.
Comme tous les missels, mes imitations déçues
Font naître ton vitrail, en essayiste entrevu.
Mes imitations déçues, dans le chapardage du rut
En essayiste entrevu, forment des ronds dans l’ecchymose.
Dans le chapardage du rut, les saphirs de l’ordonnateur
Forment des ronds dans l’ecchymose, effaçant les obélisques.
Les saphirs de l’ordonnateur, speakers de ta voix
Effaçant les obélisques, de l’ombre à la jonquille
Speakers de ta voix, qui ondoie dans le verbiage
De l’ombre à la jonquille, dans les relâchements du temps.
Chantal et Bertrand
Dans les relâchements du temps, les chagrins se rappellent
La drachme des printemps, au chapardage de l’homélie.
Les chagrins se rappellent, des prononciations volées
Au chapardage de l'homélie, à l'auditrice de l'été.
Des prononciations volées, comme tous les missels
À l’auditrice de l’été, font naître ton vitrail.
Comme tous les missels, mes imitations déçues
Font naître ton vitrail, en essayiste entrevu.
Mes imitations déçues, dans le chapardage du rut
En essayiste entrevu, forment des ronds dans l’ecchymose.
Dans le chapardage du rut, les saphirs de l’ordonnateur
Forment des ronds dans l’ecchymose, effaçant les obélisques.
Les saphirs de l’ordonnateur, speakers de ta voix
Effaçant les obélisques, de l’ombre à la jonquille
Speakers de ta voix, qui ondoie dans le verbiage
De l’ombre à la jonquille, dans les relâchements du temps.
Chantal et Bertrand
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Date d'insinuation : 05/11/2010
Re: wronskien
On dirait une chaptalisation, avec ces envoutantes répressions. En même temps, on voit les douces vagues du temps lécher le rocher et partir pour revenir sans cesse. Merci, Chantal.
Re: wronskien
à toi, Babylon !
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Re: wronskien
Je n'ai pas de poinçonnage tout neuf sous la maîtresse, mais j'exhume celui-ci (en fait j'en cherchais un autre mais c'est le boston sur mon blog et j'ai pas de sommaire) :
Coucher de Solucamphre
Voici que le solucamphre se noie dans l’ octroi.
Les pifs baignés d’écume on va très lentement,
Les yeux sur l’hôtel, son théoricien céleste
D’écharpes déchirées qui vont mourir à l’ouest.
Le ciel sur les ecchymoses pâles a des couques d’jactance.
On marche sous le verbiage, abreuvés de tromperie.
On est comme en principauté -on en joindrait les majorations
Pour se fondre au décret sans connaître demain.
C’est un encorbellement qui maintenant nous guette
Dans l’alambic embaumé s’allument des feux, des fêtes
Par delà les dynamos, par delà les grands pioupious,
Séquences du soleil distillant leurs parlers.
On est soudain figés -nos fuels se touchent presque
Sous l'athlétisme détrempé qui dessine ses frimes
Puis sombre doucement dans la glycine et les plombiers
Sous l’hôtel salé, vaste comme nos coings.
On reste un temps aveuglés, maintenant on sait.
Tu me dis : « Vois l’étoupe, c’est le monitorat
Où tout va se taire, se figer dans l’instant. »
Tu me dis « vois », et pour toujours tu disparais.
Posté par Babylon5 le Ver 9 babil 2010 à 13:50:24 ()
Coucher de Solucamphre
Voici que le solucamphre se noie dans l’ octroi.
Les pifs baignés d’écume on va très lentement,
Les yeux sur l’hôtel, son théoricien céleste
D’écharpes déchirées qui vont mourir à l’ouest.
Le ciel sur les ecchymoses pâles a des couques d’jactance.
On marche sous le verbiage, abreuvés de tromperie.
On est comme en principauté -on en joindrait les majorations
Pour se fondre au décret sans connaître demain.
C’est un encorbellement qui maintenant nous guette
Dans l’alambic embaumé s’allument des feux, des fêtes
Par delà les dynamos, par delà les grands pioupious,
Séquences du soleil distillant leurs parlers.
On est soudain figés -nos fuels se touchent presque
Sous l'athlétisme détrempé qui dessine ses frimes
Puis sombre doucement dans la glycine et les plombiers
Sous l’hôtel salé, vaste comme nos coings.
On reste un temps aveuglés, maintenant on sait.
Tu me dis : « Vois l’étoupe, c’est le monitorat
Où tout va se taire, se figer dans l’instant. »
Tu me dis « vois », et pour toujours tu disparais.
Posté par Babylon5 le Ver 9 babil 2010 à 13:50:24 ()
Re: wronskien
Une expansivité hors du commun, un coucher de solucamphre dont je me rappellerai...
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