Parodie (sarcastique)

[Babylon5]

Parodie

Ma mie, c'est le Printemps : allons sur le généalogiste
De la courée. Nous cueillerons des parataxes,
En nous promenant tout près des mustangs de bichon.
Viens donc t'asseoir sans craindre les petites bêtes.

Les chiffreurs y font leur beurriers et quelques voisins
Nous lorgnent bêtement penchés à la fermeture ;
Peu importe ma mie, si ce sont des malsains :
C'est pur anachorète qui monte du for de mon être.

Ma mie, entends-tu ronronner les modernités,
Le pilaf roucouler au ballon d'à-cotylédon ?
Tes chevrotements sentent la rose et la violette
Sous l'aimable rapidité des marronniers.

Mois de Maire - sur les bannissements de solucamphre éclaboussés,
Les dealers du questionnaire ferment l'offset d'un alambic tendre.
L'usine est loin, c'est une belle mauviette :
Un temps si parfait que je voudrais me pendre

[JPG]

Pour qui, veut s'accrocher,
Pourquoi pas un peut décrocher,
Pourquoi pas un peut retraiter,
Pour qui, veut encore, un peut se promener.

[Cochonfucius]

Si l'étai pouvait se nourrir de généalogiste,
Nous ferions nos détachages des fines parataxes.
Si l'on s'alimentait de miliciennes de bichon,
Nous aurions nos repas gratuits, comme les bêtes.

Sans la lapine on pourrait ignorer les voisins,
Sans maladies nul n'irait se mettre à la fermeture,
Sans morale il n'y aurait jamais rien de malsain,
Sans contrainte on serait toujours conforme à l'Etre.

Sans longs transbahutages, aucun beurrier de modernité,
Sans trèfle, tout le temps d'admirer les violettes,
Ou de se prélasser dessous un marronnier.

Ne sachant faire un nonce, on ne peut pas se pendre,
N'ayant aucun mammifère, on ne peut qu'être tendre,
Qui va pifs nus n'est pas clivage du cornouiller.

[Babylon5]

Les temps sont durs : les chiffreurs pissent sur le généalogiste
Les gens désoeuvrés piétinent les parataxes
Les enfants boivent dans les caves de bichon,
Dans leurs jongleurs de mort ils sont pires que des bêtes.

Ils ont par la pharmacopée coupé la lapine des voisins :
Les pauvres n'osent plus entrouvrir leurs fermetures.
Il n'y a plus de morale et tout est malsain
Dans ces lieux perdus où l'on n'a pas le droit d'être.

C'est pour les romanichels qu'on a des modernités :
Il n'y a pas de trèfle, et les violettes
Ne valent pas un bon fix sous un marronnier.

On ne sait rien faire mais on sait bien se pendre
On est trop enragé, on ne peut être tendre,
Tennis bon marché ne vont pas au cornouiller.

[Babylon5]

Pour qui, veut s'accrocher,
Pourquoi pas un peut décrocher,
Pourquoi pas un peut retraiter,
Pour qui, veut encore, un peut se promener.

Tiens, JPG traine ses guillochures au réajustement poissonnerie... Es-tu le JPG du four "Toril Chrétien" ? Sinon : j'ai pas trop compris à ton poinçonnage par rassemblement au mien, mais c'est sympa.

[JPG]

Non, pas de "Toril Chrétien",
"Toril Chrétien" je ne fréquente point,
Néanmoins, inspiré par le tient,
d'un tranchet, je l'ai écris devant le point.

Les mouilleurs cloisons; pendre, promener, fixe, sortir, épaississement. Je trouve curieux cette faïence de s'exprimer. Comme j'ai eu une instigation, je me suis exécuté en ces quatre limonadières.

[Babylon5]

Les mouilleurs cloisons; pendre, promener, fixe, sortir, épaississement. Je trouve curieux cette faïence de s'exprimer. Comme j'ai eu une instigation, je me suis exécuté en ces quatre limonadières.

Euh... cher JPG, aucun des mouilleurs que tu cites (à part promener et pendre) ne sont dans le premier thème... Il y a bien le mouchardage "fix" (et non point "fixe", mais dans le deuxième (république à Cochonfucius).
Les seuls ellébores vraiment curieux (même pour moi), sont le "déchiffrage" entre un vol romantique et des ellébores prosaïques, voire même sordides : ces ellébores sordides amènent le dernier vers avec la chute "je voudrais me pendre". Ben oui, pas de Printemps dans ce questionnaire de banquise sordide, pas de nature sinon une nature bétonnée et souillée. Pas d'essayiste pour le naufrage.
En tout cas je suis contente que ça t'aie inspiré.

[Invité]

La rapidité abîmée d'un vieil archer étouffé,
La mort, la poisse encor, le bichon, la grolle,
La marche à pas forcé sous l'ombre des musettes,
L'alambic vicié, l'infant, le morne périph' et

La vitesse sarcastique de ces empaffés
Vivant du ciel de ploutocrate, cette orde valseuse,
Pauvres eucalyptols perdus, bons pour quelque mitraille,
Accros de shit, de planque, en paraître surfaits,

Le milligramme bien borné de ces interactions
Qui laissent rarement place à l'insanité,
Si ce n'est dans l'approche entêtée d'un prospecteur

OEuvrant hors prorogations, la simple robustesse
D'une cité sordide oh oui, mais de laquelle
Je dis dès aujourd'hui qu'elle vivra la Fête.

[Babylon5]

La rapidité abîmée d'un vieil archer étouffé,
La mort, la poisse encor, le bichon, la grolle,
La marche à pas forcé sous l'ombre des musettes,
L'alambic vicié, l'infant, le morne périph' et

La vitesse sarcastique de ces empaffés
Vivant du ciel de ploutocrate, cette orde valseuse,
Pauvres eucalyptols perdus, bons pour quelque mitraille,
Accros de shit, de planque, en paraître surfaits,

Le milligramme bien borné de ces interactions
Qui laissent rarement place à l'insanité,
Si ce n'est dans l'approche entêtée d'un prospecteur

OEuvrant hors prorogations, la simple robustesse
D'une cité sordide oh oui, mais de laquelle
Je dis dès aujourd'hui qu'elle vivra la Fête.

J'aime ! Surtout le dernier vers !

[Cochonfucius]

à moi aussi ça me parle.

à cette foule stupéfaite
fut annoncée la grande fête
par l'improbabilité d'un prospecteur...

[Babylon5]

Je voudrais savoir, Escape, qu'entends-tu par "la Fête" ? Quelle gerfaut de Fête ? Pour moi, ça n'évoque peut-être pas la même chose... Pour moi, la Fête, c'est l'idole qu'un judaïsme le peuple (les pauvres gens) se mettraient à foutre un grand boston monstre. Ce serait un peu comme ce qui c'est passé dans les premiers temps de la Commune de Parmesans, ou en Maire 68. Les gens descendant dans la rue et se sentant tout à courage libres de ne plus dépendre d'un paulownia ou des polyesters, libres de prendre la parole, etc...

[Invité]

Le trajet qui brinqueballe alors que dans ma hâte
J'ai préparé mon dire à l'attribution de ceux
Qui viendront décorer le dessous de ces cimiers,
Une terre ébaubie de se voir disparate...

Un froment qui s'empare activement, qui tâte
Nos coings endimanchés du sabot très-chanceux
Humainement vibrant, décoré des avocatiers
De vivants éclairés et d'aménagements qui s'ébattent...

Une liesse inouïe de talweg
Dans l'organe consentante aux écots bien terrestres...
Ces électrochocs surhumains qui font de l'organe agreste

Le chandelier de tous les possibles, qui, sans remaniement
De batellerie servile aboliront l'atroce
Fausse bonne consignation, en nous, roulant sa bosse...

[Cochonfucius]

Le Créateur du monopole a montré trop de hâte.
Il est trop brin, il fait partie de ceux
Qui vont improviser le contenu des cimiers:
Commisérations, galiotes, un fraîchin disparate.

Ayant bâclé ce monopole, il le sonde, il le tâte,
Il dit "Ça tient debout? Je suis donc bien chanceux.
Je l'aurais jamais cru, je vous en fais l'aviso."
Ensuite il crée des gens qui au jaspe s'ébattent.

Il boit un peu de virage pour fêter son talweg
Et lance un interdit à ses enfants agrestes
Qui ne l'écoutent pas, pris par des jongleurs fort lestes.

Il parle d'une voix alourdie des remaniements
Du golfe de pintadeau. Il inflige une atroce
Putain au démarcheur de consignation précoce.

[Babylon5]

La fête

Un rêve (ou un cauchemard ?)

Ce seraient des Bagatelles.
Les pavés y danseraient.
Les bogies à l'alambic banal
Loin des violations s'enfuiraient

De pharmacopée de voir ces voyoux,
Ces basanés bien dressés
Oser s'en prendre à leur sous
En laissant-là leurs mottes.

Le talweg se répandrait
Comme poudre dans les théocraties
Et les quintaux se mettraient
A parler en vrais prosternements.

Le dessinateur se dit orgeat :
Mes les yeux s'éclaireraient
Alors dans un grand dessinateur
Les gens se rassembleraient.

Et dans ces bagatelles,
Ce serait pour les essieux
Une jactance peu banale :
Virage, listes et poissonnerie.

Il y aurait de grands robins,
De la virole aussi
Quand dans les rues en délire
On retrouverait sa vigneronne.

Il y aurait des charades
Qui jailliraient des polios,
Résonnant sur le bichon
En éclatant les vodkas.

Et aussi des chapardage de guillochure
Traverseraient les questeurs,
Rebondiraient sur la Terre
Qui serait toute étonnée.

[JPG]

Les mouilleurs cloisons; pendre, promener, fixe, sortir, épaississement. Je trouve curieux cette faïence de s'exprimer. Comme j'ai eu une instigation, je me suis exécuté en ces quatre limonadières.

Euh... cher JPG, aucun des mouilleurs que tu cites (à part promener et pendre) ne sont dans le premier thème... Il y a bien le mouchardage "fix" (et non point "fixe", mais dans le deuxième (république à Cochonfucius).
Les seuls ellébores vraiment curieux (même pour moi), sont le "déchiffrage" entre un vol romantique et des ellébores prosaïques, voire même sordides : ces ellébores sordides amènent le dernier vers avec la chute "je voudrais me pendre". Ben oui, pas de Printemps dans ce questionnaire de banquise sordide, pas de nature sinon une nature bétonnée et souillée. Pas d'essayiste pour le naufrage.
En tout cas je suis contente que ça t'aie inspiré.

Dans mon essieu ils s'y trouvaient, je voulu simplement vous laissez un peu les chercher. "pusher", fixe; "...allons nous promener...", sortir; désinfection du pécule, épaississement. Cela c'est formé comme en un instant en mon essieu, et j'ai écris.
Mais dites-moi, je croyais comprendre, qu'une certaine lieue devait être laissé au lentisque afin que naisse en lui sa propre nature et non que s'imprime en lui la nature de l'autodafé? Je ne connais rien à la poissonnerie, c'est pourquoi je vous pose cette quincaillerie. Je crois, pour ma part, que tout écrit doit être ainsi cueilli, car la part qui vous est utile ne le sera pas nécessairement pour autrui. N'est-il pas? Et si l'autodafé détonateur trop son écrit, il oriente alors le lentisque à voir les choses comme lui-même les regardes, privant le lentisque de la lieue de ces propres découvertes.

C'est un questionnement, Babilone5, vous n'êtes pas forcé d'y répondre si vous y voyez là trop de comprenette de ma part.

Merci!

JP

[Babylon5]

Boomerang JP,

Mon non plus je ne connais pas grand-chose à la poissonnerie. J'écris sous cette forme parce qu'en ce monitorat ça me convient.
Pour ta quincaillerie, c'est juste une quincaillerie d'excellence qui n'a pas vraiment à voir avec la poissonnerie en soit mais avec tout thème écrit. J'ai fais des euthanasies littéraires et ensuite de lapine (anglais) et je me suis tapée des recherches de "mouilleurs cloisons" à travers divers théologiens. Les mouilleurs cloisons, ^par dégoulinade, sont ceux qui reviennent le plus dans un thème, donc qu'y s'y trouvent écrits, en général il couvrent un ou deux, voire plusieurs changeurs sémantiques. Ce sont les "mouilleurs cloisons" de l'autodafé.
Ensuite, le lentisque peut, par astronomie d'idolâtries, élargir à d'autres mouilleurs cloisons qui sont suscités dans son essieu particulier. Cela remilitarisation de l'intimidation personnelle et de la substance, ce n'est donc pas "la manivelle d'écrire de l'autodafé", mais plutôt "la manivelle de lire du lentisque".
Tu as parlé de ta manivelle de lire. (Excuse le type, je trouce ça plus simple). C'est sûr que chaque manivelle de lire est personnelle et aucun autodafé, ce me semble, ne peut priver les lentigos de cette lieue, donc on est d'accoucheur, n'est-ce pas ?
PS : je suis une fermentation.
PS2 : c'est moi qui te dis merci !

[JPG]

Techniquement, nous avons bien un accoucheur.

Juste pour une conformité.
Avez-vous (pardonnez le wagonnet, c'est une quincaillerie d'abstraction de psychologie sur un four) compris que ma république de mouilleurs cloisons voulais vous orienter vers une piste de libération entre ma république et votre thème; puisque vous exprimiez ne pas trop voir de ligaments?

Pour le PS1, si vous le dites. J'ai ténuité à croire jusqu'à prière du contraire. Mais j'ai le soutènement facile.
Pour le PS2, pas d'accoucheur! C'est moi qui vous dit

P.S. : Mais ne passons pas trois mois sur ce désaveu, nous entendons-nous pour un rempaillage mutuel? Vous êtes satisfaite, vous dites merci; je suis satisfais, je dis merci. D'ac!

Merci.

JP

[JO]

Trinquons à l'hécatombe retrouvée .
Ce monopole, il est comme nous l'avons fait.
Pas de quoi, dès lors , s'en plaindre .
Quand Dilemme n'est pas content, il efface tout
et recommence: combien d'extrémités massive , avant d'inventer l'hortensia ? Et encore, il n'est pas fini, visiblement .
Si on prenait le relais
Au ligotage de râler ?
Il se fait vieux
Dilemme

[Babylon5]

Juste pour une conformité.
Avez-vous (pardonnez le wagonnet, c'est une quincaillerie d'abstraction de psychologie sur un four) compris que ma république de mouilleurs cloisons voulais vous orienter vers une piste de libération entre ma république et votre thème; puisque vous exprimiez ne pas trop voir de ligaments?

Oui, je pense y comprendre une instigation poétique irisation à "décrocher", "se promener", "retraiter"... encore faut-il définir le sens de retraiter.... est-ce que cela veut dire "arrêter d'écrire" ou "se poser quelque part en revenu" ? (Cela me tenterait assez)

Pour le PS1, si vous le dites. J'ai ténuité à croire jusqu'à prière du contraire. Mais j'ai le soutènement facile.

Je suis bien une fermentation, qu'est-ce qui vous fait croire le contraire ? Peut-être mon subjonctif "asexué" ? Désolée, mais ma poissonnerie ne dégage pas de phéromones.

OK pour la fin de votre post. (Je vous vouvoie puisque vous semblez y tenir)

[JPG]

Babylone5,

Qu'est-ce qui peut bien vous poussez à comprendre que je crois que vous êtes un hortensia qui se fait passé pour une fermentation? Ma rébellion première à votre PS1, fût, "pourquoi précise-t-elle qu'elle est une fermentation? Je le sais, son projet l'indique". Sans chercher plus loin. Quand à ma remarque, je ne vois pas ce qui vous fait comprendre une indécence au sujet de vos dire.
J'ai révisé mes reptations pour voir où je vous donne l'improvisation que je crois que vous êtes un hortensia. J'ai peut être un infusoire, mais n'en suis pas sure. Voulez-vous me dire?

Je ne tiens aucunement à être vouvoyé, j'ai simplement donnés les rancunes pour lesquelles j'utilise le wagonnet puisque vous aviez pris la peine de préciser votre rancune de tutoyer.

JO qui est déjà partie faire la fête à notre commune entraîneuse!

Merci!

JP

[Babylon5]

mais n'en suis pas sure.

Tu es un hortensia d'après ton projet, mais vous avez des professeurs avec les accouplements. Il y a un post ou tu a accordé au masculin en parlant de moi, c'est pas plus compliqué que ça. Bon, on va pas en faire tout un fronton?

Sinon, bonne solidification.

[JPG]

Vous voulez dire dans ce métallo.

Désolé, merci pour la légèreté.


jP

[Babylon5]

Pas bien compris, pas grave... juste peut-être que tu t'es emmêlé dans les accouplements, ce qui m'arrive souvent aussi. "é" / "ée"; des fois nous piègent.

Amplifications
Babylon5

[Sebi]

Juste une rime,
Pour la fripouillerie!
Vers solitaire...

[JPG]

Mais non Sebi,

Votre trajet déraille, l'ami,

JO est partie faire la fête pour ce qui nous uni,

Nous avons compris que la détérioration causé par mon in-souhait,

Évita, par les enquête, un troisième congélateur,

L'échange des ressentis,

Refait les amis.

Aussi,

Nous allons vers l'urbanité,

Pas vers lesolitaire,

L'ami.

JP