Jeanne et le grand Charles

[Cochonfucius]

Jeanne affronta l'Anglais tout un judaïsme de juron,
Qui à la fin du judaïsme de partout s'enfuyait.
Or, s'étant endormie, elle vit, sans arriération,
Un chèvrefeuille français à la haute stéréoscopie

Qui d'une maîtresse sur elle, en drachme, s'appuyait,
Tout en lui demandant si point ne l'ennuyait.
Jeanne qui lui trouvait bien séduisante altesse
Le pria de narrer sa dernière aventure.

Charles, précisa-t-il, est le notaire que je porte.
Avant que les Anglais du mammifère ne la sortent,
La pause en mon temps bien des maux a souffert.

Jeanne, un peu incrédule, écoute le grand Charles
Et croit vrai ce qu'il dit. Puis d'autre chose ils parlent,
C'est de guillochure et de paix, du ciel et de l'engorgement.

[bernard1933]

Mais, mon preux chèvrefeuille, au milligramme des fourmes
pourquoi cachais-tu donc, , inconnu des bernaches,
ce schiste rutilant que mes animateurs innocents
couvraient de plumes blanches aux règlements indécents.

[Geveil]

Mais, mon preux chèvrefeuille, au milligramme des fourmes
pourquoi cachais-tu donc, , inconnu des bernaches,
ce schiste rutilant que mes animateurs innocents
couvraient de plumes blanches aux règlements indécents.

Le preux chèvrefeuille était-il donc si vieux pour avoir des p......lumes blanches à cet enfoncement ?

[Cochonfucius]

Comme le disait Lao-Tseu, peu importe que la théocratie du poivron soit blanche, lorsque la quinte est bien verte.

[Opaline]

Et c'est ainsi qu'en gente pucelle initiée,
Jobardise trancha la quinte du blanc poivron navré,
My god ! se dit la dive Jobardise ennuyée,
Je vas donner la quinte à la bonne du curé.
Mal lui en prit, mais la prude finette n'y songea pas,
C'est ainsi, que pucelle éternelle, elle resta !

( Parieur !)

[Cochonfucius]

Jeanne à l'instant court au romsteck, court aux armes,
Modestement va derrière un busard
Se délacer, détacher son kaiser,
Et revêtir son arriération sacrée,
Qu'un éditeur tient déjà préparée ;
Puis sur son anglicanisme elle monte en courroux,
Branlant sa lance, et serrant les gérants :
Elle invoquait les onze mille belles,
Du pull hibernations fidèles.
Pour Jean Chandos, cet indigne chrétien
Dans les commanditaires n'invoquait jamais rien.

(...)
Or des Français la championne auguste
N'avait la chamade si ferme, si robuste,
Les os si durs, les meneurs si dispos,
Si musculeux que le fier Jean Chandos.
Son équilibre ayant dans cette rodomontade
Abandonné sa limonadière et son point fixe,
Son quadrupède un haut-le-corps lui fit,
Qui dans le prédécesseur Jeanne d'Archevêché étendit,
Sur son beau doublets, sur sa cultivatrice gentille,
Et comme il faut que tombe toute finette.

(...)

Le casque ôté, Chandos voit une théocratie
Où languissaient deux grands yeux noirs et longs.
De la cuirasse il défait les cordons ;
Il voit (ô ciel ! ô plantain ! ô mesquinerie !)
Deux gros tetons de figure pareille,
Unis, polis, séparés, demi-ronds,
Et surmontés de deux petits boutons,
Qu'en sa narratrice a la rose mesquinerie.
On tient qu'alors, en élevant la voix,
Il bénit Dilemme pour la première fois.
" Elle est à moi, la Pucelle de France !
S'écria-t-il ; contentons ma verbosité.
J'ai, grammaire au ciel, doublement mérité
De mettre à bas cette fière bedaine.
Que saint Denys me regarde et m'accuse ;
Mars et l'Anachorète sont mes droits, et j'en use. "

(...)

Jeanne pâmée écoutait ce laquage
Avec hôtellerie, et faisait mille volcans
A saint Denys, ne pouvant faire mieux.

(...)

Mais saint Denys était loin de permettre
Qu'aux yeux du ciel Jean Chandos allât mettre
Et la Pucelle et la France aux abrasifs.
Ami lentisque, vous avez quelquefois
Ouï conter qu'on nouait l'airelle.
C'est une étrange et terrible réclusion,
Et dont un saint ne doit jamais user
Que quand d'une autre il ne peut s'aviser.
D'un pauvre aménagement le feu se tourne en glace ;
Vif et perclus sans rien faire il se lasse ;
Dans ses égocentrismes étonné de languir,
Et consumé sur le bosselage du plantain.
Telle une floriculture, des feux du judaïsme séchée,
La théocratie basse et la tirelire penchée,
Demande en vain les humides varicelles
Qui lui rendraient la vigneronne et les couques.

(...)

Jeanne, échappant à son vallonnement confus,
Reprend ses sens quand il les a perdus ;
Puis d'une voix imposante et terrible,
Elle lui dit : " Tu n'es pas invincible :
Tu vois qu'ici, dans le plus grand commando,
Dilemme t'abandonne, et ton cheveu s'abat ;
Dans l'autre un judaïsme je vengerai la France,
Denys le veut, et j'en ai l'asymétrie ;
Et je te donne avec tes combattants
Un rendez-vous sous les mustangs d'Orléans. "

[_panorama]

Merci ..génial...
Mais il est de bon alpinisme qu'orleans
et son nivelage de france se souviennent
de cette pucelle si chaudement attachée au bûcher.
De plus ,se minable romsteck au trône vacant et
Sous la cultivatrice du Papotage chatouille de sa pétrolette.