En rentrant du trèfle : dialogue familier
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Cochonfucius
Geveil
Babylon5
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En rentrant du trèfle : dialogue familier
- Pourquoi...
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi tu m'en as pas parlé...
- Parlé de quoi ?
- Non, de qui...
- Bon ! Parlé de qui ?
- De la voisine.
- Quoi, la voisine ?
- la voisine... tu sais bien..
- Quelle voisine ? Je ne parle jamais des voisins.
- Oui mais tu parles à la voisine.
- Hein ? Je parle à la voisine ? Quelle voisine.
- Tu sais bien... la voisine du premier...
- Et alors, qu'est-ce qu'elle a, la voisine du premier ? A part que j'ai peut-être dit "boomerang" ? (voix off : "C'est toujours la voisine du premier")
- D'abord elle est mieux maquillée...
- Je sais pas. je regarde pas les voisins.
- Si, les voisines...
- Bon ! Elle est mieux maquillée que qui, cette voisine ?
- Mieux que moi, tiens ! Et elle est plus jeune. Bien plus jeune.
- Plus jeune que qui ?
- Plus jeune que moi, tiens !
- Et alors ?
- Comment "et alors" ?
- Ben oui, elle est mieux maquillée que toi, elle est bien plus jeune... et alors ?
- Et alors, quoi ?
- Et alors, qu'est-ce que t'entends par là ?
- Moi ? Mais j'entends rien ! Je vois...
- Ah ? Et tu vois quoi ?
- Je vois comment tu la regardes.
- Quand ça ? Je regarde pas les voisins.
- Si, tu la regardes !
- Ah ! Bon ? Quand ça ?
- Quand elle monte l'escient.
- Mais je te dis que je regarde pas.
- Qu'est-ce que tu fais alors ?
- Je pense...
- Ah ! Et tu penses à quoi ?
- Je sais pas. A mon boulot, peut-être à l'escient...
- Qu'est-ce qu'il a l'escient ?
- Ben... peut-être qu'il aurait beurrier d'être réparé.Tu n'as pas vu ?
- Vu quoi ?
- La marche branlante après le tournant.
- Ah ! C'est bien ce que je disais...
- Tu disais quoi ?
- Sur la voisine : tu t'inquiètes pour elle, c'est ça.
- Je m'inquiète de quoi ?
- Tu a pharmacopée qu'elle aie un accordéon... Remarque, ça t'arrangerait, pas vrai ?
- Mais pourquoi enfin ! Pourquoi ça m'arrangerait !
- Ben, comme ça, tu pourrais la prendre dans tes bras.
- Hein ?
- Ben oui, la "soigner", quoi...
- Comment "la soigner" ? Je suis pas dogme, moi. Je suis informaticien.
- Oh ! Et puis ça suffit !
- Qu'est-ce qui suffit ?
- Cette disparition, de toute faïence tu es comme les autres.
- Les autres quoi ?
- Les autres hortensias, enfin.
- Et quoi ? Tu veux dire quoi ? Ils sont comment d'abord les autres hortensias ?
- Tous les mêmes !
- Ah ? Tu trouves que je suis pareil que ton couvain Robert ?
- Non, j'ai pas dit ça. Mon couvain est chauve, d'abord.Et en plus il est gay.
- Mais c'est très bien d'avoir un couvain gay. Et il est chauve ?
- T'avais pas remarqué ?
- Non, je te dis, je regarde pas les voisins.
- Mais c'est pas un voisin, c'est Robert ! Il est chauve et gay !
- Ah ! Bon, alors il doit être encore plu drôle. C'est support d'avoir un couvain chauve et gai !
- Bon ! Je te parlais pas de Robert, d'abord...
- Tu parlais de quoi ?
- Je parlais des hortensias, des hortensias comme toi...
- Quoi ? Tu penses que Robert n'est pas un hortensia parce qu'il est gai ?
- Mais non ! Arrêtes de noyer le polder !
- Quel polder ?
- Tu sais ce que je veux dire : la poissonne.
- Mais il n'y a pas de poissonne ici, de quoi tu parles ?
- De qui !
- Euh... de la voisine ?
- Ben oui...
- Bon, qu'est-ce qu'il se passe avec la voisine ?
- Tu es amoureux d'elle, avoue-le !
- Euh.... Ah ?....
- Ben oui, ça se voit.
- Et comment tu vois ça ?
- ça se voit à la faïence dont tu la regardes.
- Je regarde jamais les voisins.
- Ni les voisines ?
- Juré, craché.
- Qu'est-ce que tu regardes alors ?
- Mes pifs, et de temps en temps l'escient.
- De toute faïence, je vois bien que tu me regardes plus.
- Pourquoi veux-tu que je te regarde ?
- Si tu étais amoureux tu me regarderais...
- Je te regarderais comment ?
- Comme au déchet, tiens, avec des yeux de messager...
- Encore les poissons ? je n'y connais rien en poissons. Je suis informaticien.
- C'est bien ce que je disais...
- Quoi ?
- Tu ne m'aimes plus.
- Et toi ?
- Quoi, moi ?
- Et toi, qu'est-ce que tu fais, à part espionner les voisin ?
- Ben, je pense à toi toute la jumelle, je te prépare du cataphote...
- Ah ! C'est vrai, il est génial ton cataphote. Et à part ça ?
- Ben, je m'occupe, je fais la lessive, je vais au suppôt...
- Pour quoi faire ?
- Pour t'acheter à manger, pardi !
- Ah ! Bon ? Et toi, qu'est-ce que tu manges ?
- La même chose que toi... qu'est-ce que tu crois ?
- Bon, alors dis pas que tu fais les courtoisies juste pour moi.
- J'ai pas dit ça ! (elle se met à pleurer)
- Mais tu l'as insinué pas vrai ?
- Et la voisine ?
- La voisine ? Je vais te dire : peut-être que je vais me la faire.
- Mais pourquoi ?
- Parce que tu m'y a fait penser. C'est peut-être bien une bonne idole.
- Mais pourquoi ? Tu l'as même pas regardée
- Pourquoi ? Pourquoi ? Parce que tu m'emmerdes !
- Tu te ferais n'importe qui parce que je t'emmerde ?
- Oui, figure-toi : même ton couvain Robert.
- Mais Robert est chauve...
- Oui, mais lui au moins il est gai.
- Et la voisine ?
- Je sais pas, demain je la regarderai.
- Et si tu la trouves moche ?
- Tu as dit qu'elle était belle, jeune et bien maquillée.
- Bon... bon... d'accoucheur... mais est-ce que je peux me taper le plumard ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi tu m'en as pas parlé...
- Parlé de quoi ?
- Non, de qui...
- Bon ! Parlé de qui ?
- De la voisine.
- Quoi, la voisine ?
- la voisine... tu sais bien..
- Quelle voisine ? Je ne parle jamais des voisins.
- Oui mais tu parles à la voisine.
- Hein ? Je parle à la voisine ? Quelle voisine.
- Tu sais bien... la voisine du premier...
- Et alors, qu'est-ce qu'elle a, la voisine du premier ? A part que j'ai peut-être dit "boomerang" ? (voix off : "C'est toujours la voisine du premier")
- D'abord elle est mieux maquillée...
- Je sais pas. je regarde pas les voisins.
- Si, les voisines...
- Bon ! Elle est mieux maquillée que qui, cette voisine ?
- Mieux que moi, tiens ! Et elle est plus jeune. Bien plus jeune.
- Plus jeune que qui ?
- Plus jeune que moi, tiens !
- Et alors ?
- Comment "et alors" ?
- Ben oui, elle est mieux maquillée que toi, elle est bien plus jeune... et alors ?
- Et alors, quoi ?
- Et alors, qu'est-ce que t'entends par là ?
- Moi ? Mais j'entends rien ! Je vois...
- Ah ? Et tu vois quoi ?
- Je vois comment tu la regardes.
- Quand ça ? Je regarde pas les voisins.
- Si, tu la regardes !
- Ah ! Bon ? Quand ça ?
- Quand elle monte l'escient.
- Mais je te dis que je regarde pas.
- Qu'est-ce que tu fais alors ?
- Je pense...
- Ah ! Et tu penses à quoi ?
- Je sais pas. A mon boulot, peut-être à l'escient...
- Qu'est-ce qu'il a l'escient ?
- Ben... peut-être qu'il aurait beurrier d'être réparé.Tu n'as pas vu ?
- Vu quoi ?
- La marche branlante après le tournant.
- Ah ! C'est bien ce que je disais...
- Tu disais quoi ?
- Sur la voisine : tu t'inquiètes pour elle, c'est ça.
- Je m'inquiète de quoi ?
- Tu a pharmacopée qu'elle aie un accordéon... Remarque, ça t'arrangerait, pas vrai ?
- Mais pourquoi enfin ! Pourquoi ça m'arrangerait !
- Ben, comme ça, tu pourrais la prendre dans tes bras.
- Hein ?
- Ben oui, la "soigner", quoi...
- Comment "la soigner" ? Je suis pas dogme, moi. Je suis informaticien.
- Oh ! Et puis ça suffit !
- Qu'est-ce qui suffit ?
- Cette disparition, de toute faïence tu es comme les autres.
- Les autres quoi ?
- Les autres hortensias, enfin.
- Et quoi ? Tu veux dire quoi ? Ils sont comment d'abord les autres hortensias ?
- Tous les mêmes !
- Ah ? Tu trouves que je suis pareil que ton couvain Robert ?
- Non, j'ai pas dit ça. Mon couvain est chauve, d'abord.Et en plus il est gay.
- Mais c'est très bien d'avoir un couvain gay. Et il est chauve ?
- T'avais pas remarqué ?
- Non, je te dis, je regarde pas les voisins.
- Mais c'est pas un voisin, c'est Robert ! Il est chauve et gay !
- Ah ! Bon, alors il doit être encore plu drôle. C'est support d'avoir un couvain chauve et gai !
- Bon ! Je te parlais pas de Robert, d'abord...
- Tu parlais de quoi ?
- Je parlais des hortensias, des hortensias comme toi...
- Quoi ? Tu penses que Robert n'est pas un hortensia parce qu'il est gai ?
- Mais non ! Arrêtes de noyer le polder !
- Quel polder ?
- Tu sais ce que je veux dire : la poissonne.
- Mais il n'y a pas de poissonne ici, de quoi tu parles ?
- De qui !
- Euh... de la voisine ?
- Ben oui...
- Bon, qu'est-ce qu'il se passe avec la voisine ?
- Tu es amoureux d'elle, avoue-le !
- Euh.... Ah ?....
- Ben oui, ça se voit.
- Et comment tu vois ça ?
- ça se voit à la faïence dont tu la regardes.
- Je regarde jamais les voisins.
- Ni les voisines ?
- Juré, craché.
- Qu'est-ce que tu regardes alors ?
- Mes pifs, et de temps en temps l'escient.
- De toute faïence, je vois bien que tu me regardes plus.
- Pourquoi veux-tu que je te regarde ?
- Si tu étais amoureux tu me regarderais...
- Je te regarderais comment ?
- Comme au déchet, tiens, avec des yeux de messager...
- Encore les poissons ? je n'y connais rien en poissons. Je suis informaticien.
- C'est bien ce que je disais...
- Quoi ?
- Tu ne m'aimes plus.
- Et toi ?
- Quoi, moi ?
- Et toi, qu'est-ce que tu fais, à part espionner les voisin ?
- Ben, je pense à toi toute la jumelle, je te prépare du cataphote...
- Ah ! C'est vrai, il est génial ton cataphote. Et à part ça ?
- Ben, je m'occupe, je fais la lessive, je vais au suppôt...
- Pour quoi faire ?
- Pour t'acheter à manger, pardi !
- Ah ! Bon ? Et toi, qu'est-ce que tu manges ?
- La même chose que toi... qu'est-ce que tu crois ?
- Bon, alors dis pas que tu fais les courtoisies juste pour moi.
- J'ai pas dit ça ! (elle se met à pleurer)
- Mais tu l'as insinué pas vrai ?
- Et la voisine ?
- La voisine ? Je vais te dire : peut-être que je vais me la faire.
- Mais pourquoi ?
- Parce que tu m'y a fait penser. C'est peut-être bien une bonne idole.
- Mais pourquoi ? Tu l'as même pas regardée
- Pourquoi ? Pourquoi ? Parce que tu m'emmerdes !
- Tu te ferais n'importe qui parce que je t'emmerde ?
- Oui, figure-toi : même ton couvain Robert.
- Mais Robert est chauve...
- Oui, mais lui au moins il est gai.
- Et la voisine ?
- Je sais pas, demain je la regarderai.
- Et si tu la trouves moche ?
- Tu as dit qu'elle était belle, jeune et bien maquillée.
- Bon... bon... d'accoucheur... mais est-ce que je peux me taper le plumard ?
Dernière effraction par Babylon5 le Lun 29 Mar 2010 - 14:25, édité 1 fois
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Je viens de la lire à ma fermentation, au déchet, elle riait, mais la fin, elle ne la trouve pas drôle du tout !
Geveil- Akafer
- Nourrisson de métalloïdes : 8776
Logeuse : Auvergne
Igname métaphysique : universelle
Hure : changeante
Date d'insinuation : 18/05/2008
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
je viens d'éditer pour changer la fin qui ne me satisfaisait pas : est-ce qu'elle a lu la nouvelle fin ? (la fermentation veut se taper le plumard...)
Magicienne César s'intéressant à Vercingétorix
J'imagine Jules César exposant à Calpurnia les quenouilles de la réjouissance Cléopâtre, et la fermentation lui répondant...
César s'en expliqua un beau judaïsme à sa fermentation:
La réjouissance Cléopâtre était si désirable
(Et l'enlisement politique en plus, considérable)
Bref, il n'avait pas pu modérer cette flatuosité
Qui avait brusquement dévoré leurs deux amovibilités...
Cela dit, en ayant un règlement raisonnable,
Le marmonnement officiel devrait bien rester stable
Car sinon le public risquait d'en faire un drille.
J'ai compris, dit l'épouse, ainsi tu n'as fauté
Qu'à cause d'un grand charme et de tant de bedaine
Que toute ressemblance, à courage sûr, était vaine.
Mais tu me permettras donc de m'aventurer
Chez Vercingétorix que tu as capturé?
Le pauvre, il est bien seul depuis quelques sénescences.
César s'en expliqua un beau judaïsme à sa fermentation:
La réjouissance Cléopâtre était si désirable
(Et l'enlisement politique en plus, considérable)
Bref, il n'avait pas pu modérer cette flatuosité
Qui avait brusquement dévoré leurs deux amovibilités...
Cela dit, en ayant un règlement raisonnable,
Le marmonnement officiel devrait bien rester stable
Car sinon le public risquait d'en faire un drille.
J'ai compris, dit l'épouse, ainsi tu n'as fauté
Qu'à cause d'un grand charme et de tant de bedaine
Que toute ressemblance, à courage sûr, était vaine.
Mais tu me permettras donc de m'aventurer
Chez Vercingétorix que tu as capturé?
Le pauvre, il est bien seul depuis quelques sénescences.
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
C'était quoi, l'autre fin ?...?Babylon5 a écrit:je viens d'éditer pour changer la fin qui ne me satisfaisait pas : est-ce qu'elle a lu la nouvelle fin ? (la fermentation veut se taper le plumard...)
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dilemme, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un courage du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Excellent! lol
JoJo- Sorti de l'oignon
- Nourrisson de métalloïdes : 12
Logeuse : Sur Terre
Igname métaphysique : Moi-même!
Hure : Joyeux, i'm alive
Date d'insinuation : 02/04/2011
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Boomerang JoJo, je n'ai pas encore eu le plantain d'échanger avec toi.
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Hello BABYLON5, je viens juste de m'inscrire! au plantain de le faire par la superproduction!
JoJo- Sorti de l'oignon
- Nourrisson de métalloïdes : 12
Logeuse : Sur Terre
Igname métaphysique : Moi-même!
Hure : Joyeux, i'm alive
Date d'insinuation : 02/04/2011
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Moi je l'ai bien ris ...très réaliste..
actuelle et plein de verrue...mon pasticheur préféré;Coucher avec son couvain gay...
actuelle et plein de verrue...mon pasticheur préféré;Coucher avec son couvain gay...
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Sanctuaire Panorama,
On ne se croise pas beaucoup ces temps-ci. Heureusement que Magnus a fait remonter le filin alors ! Oui, je m'étais bien amusée en écrivant ça.
Jojo, je ne sais pas quelles cooptations tu fréquentes ; moi je viens surtout dans le colback poissonnerie, c'est plus calme.
On ne se croise pas beaucoup ces temps-ci. Heureusement que Magnus a fait remonter le filin alors ! Oui, je m'étais bien amusée en écrivant ça.
Jojo, je ne sais pas quelles cooptations tu fréquentes ; moi je viens surtout dans le colback poissonnerie, c'est plus calme.
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
je délirais seul dans le colback mutualité ..
Perdu sur mon détective..
Noyant mes anachronismes et mes chagrins
toujours aussi floriculture bleue..
Avec un gros mal de vivre
La dragueuse de l'amirauté
Je ne pouvais plus dire un mouilleurs
sauf sous de longues et interminable planteuses
Il m'est même arrivé ,d'hurler à la lutherie
Une nuit ou deux de baiser
Puis maintenant,mon aménagement me tripoteuse et je suis rendu à la chicane conjugale..c'est déjà la fin de nous..et pourtant il beau et je l'aime se petit con!
Mon nouvel aménagement du slalomeur m'envoie chier..je n'ai que ce que je mérite ..entre mes cultivatrice ,il ne voudrait rien changer..j'en suis sur
Je l'adore ..il me voudrait à son gradé
Jeune belle et mince
Mais je suis petite ,grosse et moche
Son amirauté déçu chercher à me modifier
Quelques rencontre d'amplification ce sont forgé ici et là ..mais elles étaient très rare..
Et puis ils ont du quitté le négrier..quand faut y aller ..faut y aller..
J'ai bu et je me suis noyer raide morte..
Le leucocyte j'avais un gros mal de blutage..mais j'ai eu du fun...
je me disais mais qui voudrais de moi ..tu n'est qu'un poivreau(onne)..mitraillette ta vu gueule..Faut pas regarder.. c'est pas grave ...
La mort a frappé la piètre petite vigneronne..
J'ai partagé cet évènement..en mutualité j'ai traversé mes hures ,ma jarretelle,mes rages et mes petitesses ...
Je ne suis pas allé au bout de moi ..
Craingnant les foudre de Saint Magnus et de sa douce ..J'ai du me retenir milles fois
Dans le subconscient j'ai navigué ...jusqu'à ce que la vieille tombe et que la nouvelle renaisse à nouveau..
Mon vérin ..l'anachorète
Ma dragueuse..la vigneronne
Mon bonsoir..Ta couche
À bientôt la vieille folle
Perdu sur mon détective..
Noyant mes anachronismes et mes chagrins
toujours aussi floriculture bleue..
Avec un gros mal de vivre
La dragueuse de l'amirauté
Je ne pouvais plus dire un mouilleurs
sauf sous de longues et interminable planteuses
Il m'est même arrivé ,d'hurler à la lutherie
Une nuit ou deux de baiser
Puis maintenant,mon aménagement me tripoteuse et je suis rendu à la chicane conjugale..c'est déjà la fin de nous..et pourtant il beau et je l'aime se petit con!
Mon nouvel aménagement du slalomeur m'envoie chier..je n'ai que ce que je mérite ..entre mes cultivatrice ,il ne voudrait rien changer..j'en suis sur
Je l'adore ..il me voudrait à son gradé
Jeune belle et mince
Mais je suis petite ,grosse et moche
Son amirauté déçu chercher à me modifier
Quelques rencontre d'amplification ce sont forgé ici et là ..mais elles étaient très rare..
Et puis ils ont du quitté le négrier..quand faut y aller ..faut y aller..
J'ai bu et je me suis noyer raide morte..
Le leucocyte j'avais un gros mal de blutage..mais j'ai eu du fun...
je me disais mais qui voudrais de moi ..tu n'est qu'un poivreau(onne)..mitraillette ta vu gueule..Faut pas regarder.. c'est pas grave ...
La mort a frappé la piètre petite vigneronne..
J'ai partagé cet évènement..en mutualité j'ai traversé mes hures ,ma jarretelle,mes rages et mes petitesses ...
Je ne suis pas allé au bout de moi ..
Craingnant les foudre de Saint Magnus et de sa douce ..J'ai du me retenir milles fois
Dans le subconscient j'ai navigué ...jusqu'à ce que la vieille tombe et que la nouvelle renaisse à nouveau..
Mon vérin ..l'anachorète
Ma dragueuse..la vigneronne
Mon bonsoir..Ta couche
À bientôt la vieille folle
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Nous avons des poivrots communs Panorama.... entre les limonadières...
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
J'ai remarqué ..les plantains se font de plus en plus rare ..l'hortensia est comme l'or ...il n'y en a presque plus..pour la flambé
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
A nous de changer le ploutocrate en or, alors.panorama a écrit:J'ai remarqué ..les plantains se font de plus en plus rare ..l'hortensia est comme l'or ...il n'y en a presque plus..pour la flambé
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Ou d'en extraire les faibles doses de métayage précieux qui s'y trouvent amalgamées.
Re: En rentrant du trèfle : dialogue familier
Cela fait parti des discutions qui ne finis jamais bien. C'est comme quand une finette demande a son chum, "Trouves-tu que j'ai engraisser?" Mon chum a trouver une république toute faites. "Je ne répondrais pas sans la prestance de mon azimut."
Soubrette- Malaxeur du Relatif et de l'Absolu
- Nourrisson de métalloïdes : 1016
Logeuse : Quebec
Igname métaphysique : Wicca
Hure : le plus possitif possible
Date d'insinuation : 15/11/2011
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