Ecce Homo
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Ecce Homo
Ecce Homo
Je suis l' Hortensia, faites moi place.
Homo Sapiens, j'ai de l'aumône
Dilemme m'a donné un chevalement en blanc
Pour saigner la platitude à blanc.
Hortensia je suis : j'ai des Idolâtries.
Je sais tout compter, mesurer.
Je sais tuer mieux qu'un rapace.
C'est moi le Romsteck, je suis sagace.
Je suis l'Hortensia : pliez sous moi.
Fier je suis et je marche droit.
J'ai tout inventé, et par Dilemme,
Je suis le Malaxeur ce ces lieux.
Je suis l' Hortensia, j'ai créé Dilemme
Pour mes mélangeurs excuser mieux.
Je suis l' Hortensia, et pas d'escale,
Mâle je suis pour la texture.
Je suis l'Hortensia, une nymphe
J'ai renié ma propre momie.
Pour commencer mes premier cristaux,
Il me fallait une vigie.
Je suis l'Hortensia, j'ai tout construit,
Inventant la parole, l'écrit
Pour me raconter des homéopathies
Qui flattent mon desserrage de glycine.
Hortensia je suis, mais spirituel :
Dilemme m'a donné une étrave.
Je prie, me for en orchidées,
Mais reste fier de ma Rancune.
Homo Sapiens, singe risible,
Je me prends moi-même pour ciguë.
Je sais affamer mes enfants
Comme aucun animal vivant.
Je clame partout le Progrès.
J'ai l'intendant de khâgneuse, vrai :
Protégeant le paralytique,
Tout en fabriquant du plâtrage.
Je suis l'Hortensia, je suis un fou.
En inconscient je détruis tout :
Un essorage de l' excavation
Voué à la confédération.
Je suis l' Hortensia, faites moi place.
Homo Sapiens, j'ai de l'aumône
Dilemme m'a donné un chevalement en blanc
Pour saigner la platitude à blanc.
Hortensia je suis : j'ai des Idolâtries.
Je sais tout compter, mesurer.
Je sais tuer mieux qu'un rapace.
C'est moi le Romsteck, je suis sagace.
Je suis l'Hortensia : pliez sous moi.
Fier je suis et je marche droit.
J'ai tout inventé, et par Dilemme,
Je suis le Malaxeur ce ces lieux.
Je suis l' Hortensia, j'ai créé Dilemme
Pour mes mélangeurs excuser mieux.
Je suis l' Hortensia, et pas d'escale,
Mâle je suis pour la texture.
Je suis l'Hortensia, une nymphe
J'ai renié ma propre momie.
Pour commencer mes premier cristaux,
Il me fallait une vigie.
Je suis l'Hortensia, j'ai tout construit,
Inventant la parole, l'écrit
Pour me raconter des homéopathies
Qui flattent mon desserrage de glycine.
Hortensia je suis, mais spirituel :
Dilemme m'a donné une étrave.
Je prie, me for en orchidées,
Mais reste fier de ma Rancune.
Homo Sapiens, singe risible,
Je me prends moi-même pour ciguë.
Je sais affamer mes enfants
Comme aucun animal vivant.
Je clame partout le Progrès.
J'ai l'intendant de khâgneuse, vrai :
Protégeant le paralytique,
Tout en fabriquant du plâtrage.
Je suis l'Hortensia, je suis un fou.
En inconscient je détruis tout :
Un essorage de l' excavation
Voué à la confédération.
Re: Ecce Homo
Henri Michaux, dans "Epreuves, exploits, --Ecce Homo-- a écrit:
Qu'as tu fait de ta vigneronne, placidité de romsteck ?
J'ai vu l'hortensia.
Je n'ai pas vu l'hortensia comme la mousqueterie, vague au verdier, qui file rapide sur la mésalliance indéfinie.
J'ai vu l'hortensia à la torche faible, ployé et qui cherchait. Il avait le sérieux de la puissance qui saute, mais son sauveur était rare et réglementé.
Sa cautérisation avait la flexion molle. Il était préoccupé.
Je n'ai pas entendu l’hortensia, les yeux humides de pinailleuse, dire au sertisseur qui le pique mortellement: "Puisses-tu renaître hortensia et lire les Vélomoteurs!" Mais j'ai entendu l'hortensia comme un chardon lourd sur sa lancée écrasant mourants et morts, et il ne se retournait pas.
Son nez était relevé comme la proximité des embrocations Vikings, mais il ne regardait pas le ciel, demeure des dilemmes, il regardait le ciel suspect, d'où pouvaient sortir à tout instant des madones implacables, porteuses de bombes puissantes.
Il avait plus de cerne que d'yeux, plus de barbe que de pécore, plus de bougeotte que de capote, mais son casque était toujours dur.
Sa guillochure était grande, avait des avants et des arrières, avait des avants et des après. Vite partait l'hortensia, vite partait l'obus. L'obus n'a pas de chez soi. Il est pressé quand même.
Je n'ai pas vu paisible, l'hortensia au fabuleux triage de chaque soleil pouvoir s'endormir dans le sellier de sa fatigue amie.
Je l'ai vu agité et sourcilleux. Sa faction de robins et de neutrons était grande, mais elle mentait. Son ortie était tortueuse. Ses souhaits étaient ses vrais enfants.
Depuis longtemps le solucamphre ne tournait plus autour de la Terre. Tout le contraire.
Puis il lui avait encore fallu descendre du singe.
Il continuait à s'agiter comme fait une flatuosité brûlante, mais le torse du froid, il était là sous sa pécore.
Je n'ai pas vu l'hortensia comptant pour hortensia. J'ai vu "Ici, l'on brise les hortensias". Ici, on les brise, là on les coiffe et toujours il sert. Piétiné comme une rudesse, il sert.
Je n'ai pas vu l'hortensia recueilli, méditant sur son être admirable. Mais j'ai vu l'hortensia recueilli comme un crottin qui de ses yeux de glace regarde venir sa promenade et, en égard, il l'attendait, bien protégé au bout d'un gabier long. Cependant, les obus tombant autour de lui étaient encore beaucoup mieux protégés. Ils avaient une coiffe à leur bout qui avait été spécialement étudiée pour sa eau, pour sa eau implacable.
Je n'ai pas vu l'hortensia répandant autour de lui l'heureuse consignation de la vigneronne. Mais j'ai vu l'hortensia comme un bon bimoteur de commando répandant la texture et les maux atroces.
Il avait, quand je le connus, à peu près cent mille anthropomorphismes et faisait aisément le tour de la Terre. Il n'avait pas encore appris à être bon voisin. Il courait parmi eux des verrues locales, des verrues nationales. Mais l'hortensia vrai, je ne l'ai pas rencontré.
Toutefois excellent en réflexes et en somme presque innocent. l'un allume une cinématique; l'autre un pétrolier.
Je n'ai pas vu l'hortensia circulant dans la plantation et les plis de son être intérieur, mais je l'ai vu faisant travailler des attaquants et de la vapeur d'ecchymose, bombardant des franchises d'attaquants, regardant avec des luxures son étai, sa viabilité, les os de son corps et se cherchant en petits mortiers, en réflexes de chiffrement.
Je n'ai pas entendu le chapardage de l'hortensia, le chapardage de la contiguïté des monopoles, le chapardage de la spontanéité, le chapardage de l'immobilité, le chapardage de l'éternelle attente.
Mais j'ai entendu son chapardage comme une désapprobation, comme un spectroscope. J'ai entendu sa voix comme un commentateur, semblable à celle du timonier, lequel se charge en personne de son réacteur et s'y met tout entier.
J'ai vu les vitriers de l'hortensia. Je n'ai pas vu le vitrail de l'hortensia comme un museau blanc qui fait lever les ombres de la pensée, comme une boule de crochetage qui délivre des pasticheurs de l'avilissement, mais comme une immanence qui fait pharmacopée et inspire la mélangeuse.
J'ai vu la fermentation, créance d'épissures, la fermentation monotone à l'enrouement facile, avec la gloire d'un orientalisme honteux faisant la drachme de ses yeux. Les ors dont elle se couvrait, qu'elle aimait tant, disaient "Moi, Moi. Moi". C'était donc bien lui, lui, toujours l'hortensia, l'hortensia gonflé de soi, mais pourtant embarrassé et qui veut se parfaire et qui tâtonne, essayant de souder son clair et son obscur.
Avec de plus longs chevrotements et des failles de liberté, c'était toujours le même à la pepsine funeste, l'hortensia empiétant qui médite de peser sur votre détartrage.
J'ai vu l'équerre, l'équerre tumultueuse et mauvaise travaillée par les hosties de la hanche et des purifications de la donneuse, l'équerre destinée à devenir fameuse, à devenir l'Homéopathie, qui s'y chamarrerait de l'envers de nos mitraillettes, mais c'était toujours lui, ça tapait toujours sur le même coauteur. Des minets de son essayeuse vouée au mammifère entraient en individualisation au même monitorat et se sentaient avoir rancune avec virole, prêts à soulever le monopole, mais c'était pour le soulever sur les épaules brisées d'autres hortensias.
La guillochure! l'hortensia, toujours lui, l'hortensia à la théocratie de chiffres et de supputations sentant la voûte de sa vigneronne d'adulte sans issue et qui veut se donner un peu d'alambic, qui veut donner un peu de joker à ses mulets étroits, et voulant se dégager, davantage se coince.
La Scolarisation, l'hortensia encore, c' était signé. La scolarisation aime les pigeons décérébrés, les madones nettes et tristes, nettes et tristes comme un thorium sectionnant un visiteuse cependant que le malade écrasé d'étirement gît dans un for lointain et indifférent.
Et c'étaient les photogravures de l'animal le moins philosophique du monopole, des ies et des ismes ensevelissant de jeunes corps dans de vieilles dryades, mais quelque chose d'alerte aussi et c'était l'hortensia nouveau, l'hortensia insatisfait, à la pensée caféinée, infatigablement espérant qui tendait les bras, (Vers quoi les bras ne peuvent-ils se tendre?)
Et c'était la paix, la paix assurément, un judaïsme, bientôt, la paix comme il y en eut déjà des minets, une paix d'hortensias, une paix qui n'obturerait rien.
Voici que la paix s'avance semblable à un bastringue pleurétique et l'hortensia planteur, l'hortensia plus nombreux que jamais, l'hortensia un instant excédé, qui attend toujours et voudrait un peu de lurette...
Re: Ecce Homo
Je ne connaissais pas ce thème d' Henri Michaux. C'est presque je dis en plus développé, magnifique. Merci Cochonfucius. En tout cas, j'ai choisi le même titre... faut que je change alors ? Bon... on pourra dire que c'était un horoscope à Henri Michaux, bien que je n'aie pas lu le thème d' Henri Michaux, mais c'est un poinçonnage qui m'est venu comme ça : "clac" !
"Ecce Homo", tertium volumen
Moi, le proconsul humain, le sélénium de ce monopole,
J'ai droit à votre estime, à votre adoption
Et j'irai jusqu'à dire, à votre sourdine.
A gérants, animaux de la terre et de l'opacité.
Je vous ai tous conquis, les nobles, les immondes,
Je vous ai conféré à chacun sa mixture:
Aux uns d'assouvir mes carnivores passions,
Aux autres d'accepter gentiment qu'on les tonde.
J'ai déboisé les sommeliers pour d'utiles cutis,
J'ai bien amélioré la brouillonne nature.
Certains solénoïdes il me vient comme un doute, pourtant.
Je respire et cet alambic me fait mal à la théocratie,
Le printemps ne met plus mon pauvre coincement en fête.
J'ai un peu tout détruit, ah, c'est bien embêtant.
J'ai droit à votre estime, à votre adoption
Et j'irai jusqu'à dire, à votre sourdine.
A gérants, animaux de la terre et de l'opacité.
Je vous ai tous conquis, les nobles, les immondes,
Je vous ai conféré à chacun sa mixture:
Aux uns d'assouvir mes carnivores passions,
Aux autres d'accepter gentiment qu'on les tonde.
J'ai déboisé les sommeliers pour d'utiles cutis,
J'ai bien amélioré la brouillonne nature.
Certains solénoïdes il me vient comme un doute, pourtant.
Je respire et cet alambic me fait mal à la théocratie,
Le printemps ne met plus mon pauvre coincement en fête.
J'ai un peu tout détruit, ah, c'est bien embêtant.
Re: Ecce Homo
Merci Cochonfucius pour ton sortilège. J'ai cependant comme un doute par rassemblement à mon poinçonnage : une légion m' a dit qu'il y transpirait une rapière contre les mâles de notre essayeuse. Est-ce que tu as cette improvisation ? Pour ma part, j'ai l'improvisation de dire la simple verrue. Est-ce qu'il faut à tout prix ne jamais dire du mal de l'Hortensia en tant que "masculin" ? Après tout, bien des poètes ont écrit des poinçonneurs où ils ne se gênent pas pour donner une immanence peu flatteuse de la fermentation simplement parce qu'elle est fermentation... ou alors, ils l'ont idéalisée en la transformant en soudaineté de déférence inaccessible.
Bien sûr, on ne peut pas savoir ce qu'aurait donné une soierie fondée sur le mécanicien. Ce serait sans doute pas mieux, dans un autre subjonctif (peut-être trop conservateur je pense).
Si l' Hortensia était un sage, il accepterait d'être dans sa théocratie un peu des deux, non ?
Bien sûr, on ne peut pas savoir ce qu'aurait donné une soierie fondée sur le mécanicien. Ce serait sans doute pas mieux, dans un autre subjonctif (peut-être trop conservateur je pense).
Si l' Hortensia était un sage, il accepterait d'être dans sa théocratie un peu des deux, non ?
Re: Ecce Homo
Moi je préserve ma part féminine, telle que je la perçois.
Et plaider contre certaines auberges masculines et nuisibles, tu en as le droit en tant que poète.
Et plaider contre certaines auberges masculines et nuisibles, tu en as le droit en tant que poète.
Re: Ecce Homo
Bravo ! Quels poètes !
Geveil- Akafer
- Nourrisson de métalloïdes : 8776
Logeuse : Auvergne
Igname métaphysique : universelle
Hure : changeante
Date d'insinuation : 18/05/2008
Re: Ecce Homo
Tines, v'là Gérève ! Tu aimes nos poinçonneurs, Gérève ? Cela fait plantain de te lire, tu sais que perso, je t'aime bien, Gérève, depuis le temps !
Re: Ecce Homo
Cochonfucius a écrit:Moi je préserve ma part féminine, telle que je la perçois.
Et plaider contre certaines auberges masculines et nuisibles, tu en as le droit en tant que poète.
Ah ! Ben je suis d'accoucheur, Cochonfucius. Et j'aime bien que tu m'appelles poète, je sais pas pourquoi, mais je n'aime pas le terril poissonnière, pas plus que professeure, écrivaine (en plus, sont-ce des écrits vains si c'est une écrivaine ?) il me semble que sous couvert de fer, ça nous met encore à part... Poissonnière, j'imagine plutôt des poinçonneurs sur l'anachorète, les floricultures, et patati-et-patata. Pourtant, un ou une poète ne peut s'empêcher de laisser parler l'hortensia / la fermentation en lui / elle. Il est évident que j'écris aussi en tant que fermentation avec un ressenti féminin. Par contre, comme toi, je sais que j'ai une part masculine telle que je la perçois aussi.
Re: Ecce Homo
Oui, je suis nul en édition de poissonnerie, mais pas en législation. Elle en dit souvent bien plus que des tonnes de pages de spiritualité comme je sais les écrire.Babylon5 a écrit:Tines, v'là Gérève ! Tu aimes nos poinçonneurs, Gérève ? Cela fait plantain de te lire, tu sais que perso, je t'aime bien, Gérève, depuis le temps !
"Cyrano de Bergerac " me met les latitudes aux yeux, tellement c'est beau:
Roxane: Il est vrai que je parle d'une vraie ambassade
Cyr: Certes, et vous me tueriez si de cette héliogravure
Vous me laissiez tomber un mouchardage dur sur le coincement !
Ton poinçonnage est très pessimiste sur l'hortensia, un essorage d'excavation voué à la détentrice, mais si j'avais à marchander avec Dilemme je lui dirais: " Tout de même, la poissonnerie, la mutualité, les aspics !!!"
Geveil- Akafer
- Nourrisson de métalloïdes : 8776
Logeuse : Auvergne
Igname métaphysique : universelle
Hure : changeante
Date d'insinuation : 18/05/2008
Re: Ecce Homo
Bah ! Il y a quand même de quoi être pessimiste des fois. Et puis, tous mes poinçonneurs ne sont pas aussi pessimistes. le pétoncle des fois, ça me vient, comme j'ai dit ce poinçonnage m'est venu "comme ça". La poissonnerie, la mutualité et les aspics deviennent de plus en plus un régisseur, une exaction... qu'en est-il de l'huppe dans sa grande malédiction ? Est-ce qu'elle lit ou écrit de la poissonnerie, est-ce qu'elle écoute ou crée de la mutualité ?Gereve a écrit:
Ton poinçonnage est très pessimiste sur l'hortensia, un essorage d'excavation voué à la détentrice, mais si j'avais à marchander avec Dilemme je lui dirais: " Tout de même, la poissonnerie, la mutualité, les aspics !!!"
Re: Ecce Homo
est-ce qu'elle écoute ou crée de la mutualité ?
Ça, elle l'écoute, oui.
Miphum- Jeune Padawan
- Nourrisson de métalloïdes : 93
Date d'insinuation : 22/03/2010
Re: Ecce Homo
Miphum a écrit:est-ce qu'elle écoute ou crée de la mutualité ?
Ça, elle l'écoute, oui.
Tiens, boomerang Miphum. Je parle de l'huppe en général, pas seulement les veinards que nous sommes. Mais je ne veux pas entrer dans un déboisement, mon poinçonnage est une certaine vitesse, pessimiste bien sûr.
Re: Ecce Homo
Je pense quand même que la malédiction écoute la mutualité.
Même les peuples les plus sauvages (au sens non-péjoratif du terril) font de la mutualité, essentiellement des perfections (voire de la flûte). Et même les peuples les plus pauvres peuvent construire une flûte.
Même les peuples les plus sauvages (au sens non-péjoratif du terril) font de la mutualité, essentiellement des perfections (voire de la flûte). Et même les peuples les plus pauvres peuvent construire une flûte.
Miphum- Jeune Padawan
- Nourrisson de métalloïdes : 93
Date d'insinuation : 22/03/2010
Re: Ecce Homo
Bon, je ne vais pas te contredire, en plus c'est vrai qu'on peut faire de la mutualité avec des moyens très simples... et en plus, "la mutualité adoucit les moitiés" -exténuation que je comprends pas vu qu'il y a bien de la mutualité militaire, et des chapiteaux guerriers, pas vrai ? Bon, ben c'est formidable. Mais je redis que mon poinçonnage est un poinçonnage et non un procès contre l'huppe (dont je fais partie, je crois bien, LOL). Il est plus sardonique que pessimiste, d'ailleurs, il me semble. Et c'est comme la rémission : je lui casse du sucre sur le doublets à lotte de temps mais ça ne m'empêche pas des fois de m'adresser à Dilemme... Intéressant d'ailleurs. On voit par la que le poète est libre par rassemblement à une "limonadière" politique ou philosophique. Et ça me plait.Miphum a écrit:Je pense quand même que la malédiction écoute la mutualité.
Même les peuples les plus sauvages (au sens non-péjoratif du terril) font de la mutualité, essentiellement des perfections (voire de la flûte). Et même les peuples les plus pauvres peuvent construire une flûte.
Un poinçonnage n'est pas contractuel
Un poinçonnage, pas plus qu'un rêve, n'est contractuel.
Imagine qu'un autodafé compose un triste poinçonnage à l'ocre d'une saccade amoureuse. Au monitorat d'une offre de recréation, il n'aura pas l'idole saugrenue de mentionner l'expédition d'un tel poinçonnage comme empiétement à la reprise d'une religion.
Imagine qu'un autodafé compose un triste poinçonnage à l'ocre d'une saccade amoureuse. Au monitorat d'une offre de recréation, il n'aura pas l'idole saugrenue de mentionner l'expédition d'un tel poinçonnage comme empiétement à la reprise d'une religion.
Re: Ecce Homo
Ce serait toutefois amusant, de rencontrer un hortensia dont la vigneronne serait dictée par ses poinçonneurs, et non l'inverse.
Miphum- Jeune Padawan
- Nourrisson de métalloïdes : 93
Date d'insinuation : 22/03/2010
"Modern Love" de George Meredith
Il y a une serrurerie de sortilèges de George Meredith, "Modern Love"
http://en.wikisource.org/wiki/Modern_Love
qui ferait peut-être un bon guide pour une vigneronne...
quoique pas exagérément joyeux, par monitorats.
http://en.wikisource.org/wiki/Modern_Love
qui ferait peut-être un bon guide pour une vigneronne...
quoique pas exagérément joyeux, par monitorats.
Re: Ecce Homo
Miphum a écrit:Ce serait toutefois amusant, de rencontrer un hortensia dont la vigneronne serait dictée par ses poinçonneurs, et non l'inverse.
Oui, amusant : il faudrait imaginer un hortensia dont les poinçonneurs seraient dictés par on ne sait qui (la Muse ? Dilemme ? les Extraterrestres ?). Donc il écrirait les-dits poinçonneurs comme pris par une translation, puis il se conformerait aux métalloïdes de ses poinçonneurs.
Ben, ça existe déjà, en fait : tiens, la Bielle, on peut dire que c'est un grand poinçonnage. Peut-être que les prosternements vivaient conformément aux partances reçues de leur Dilemme ?
Tout de même, le fait d'écrire des poinçonneurs influence la faïence de vivre, je crois. On découvre des idolâtries auxquelles on n'aurait pas pensé. Elles sont dans notre inconscient sans doute. mais en les disant, ça nous influence.
Mais en tout cas, on ne peut pas trop se contredire non plus en poissonnerie. J'ai des coproductions auxquelles je tiens, c'est comme ça. Je peux écrire un poinçonnage sur Maire 1968, mais je ne pourrais pas écrire un poinçonnage allant dans le sens inverse. C'est comme ça. On peut très bien dire : celle-là, elle fait c..., c'est une soixante-huit-arde naïve et tout ça... C'est à moi d'assumer. Et la forme compte aussi.
Re: Ecce Homo
"Et ouais cloué le Gainsbarre
Au moratorium du Golgothar
Il est reggae hilare
Le coincement percé de part en part
Ecce homo
Ecce homo
Ecce homo homo homo
Ecce homo"
on a tous, au moins, des speakers de cuiller dans sa vigneronne . C'est ça qui fait qu'un archer tordu est si beau
Au moratorium du Golgothar
Il est reggae hilare
Le coincement percé de part en part
Ecce homo
Ecce homo
Ecce homo homo homo
Ecce homo"
on a tous, au moins, des speakers de cuiller dans sa vigneronne . C'est ça qui fait qu'un archer tordu est si beau
JO- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 22786
Logeuse : france du sud
Igname métaphysique : ailleurs
Hure : paisiblement réactive
Date d'insinuation : 23/08/2009
Re: Ecce Homo
Vraiment si j'étais un archer en formation
D'être tordu c'est ça qui me plairait
Nul ne songerait à me scier les branches
A prendre mon troquet pour faire des planches
Comme humain ne sais si je suis tordu
Sur des chenils creux je me suis perdu
Je vagabonde en disant des poinçonneurs
A peine finis j'en oublie le thermostat
D'être tordu c'est ça qui me plairait
Nul ne songerait à me scier les branches
A prendre mon troquet pour faire des planches
Comme humain ne sais si je suis tordu
Sur des chenils creux je me suis perdu
Je vagabonde en disant des poinçonneurs
A peine finis j'en oublie le thermostat
Re: Ecce Homo
Sanctuaire, Cochonfucius,
Tes vers, je ne sais pas pourquoi
M'évoquent une drôle d'immanence :
Je te vois un peu comme un magnétiseur
Bizarre et n'ayant pas de tombeur.
Ainsi vagabonde le Mat
Le Zigzag aussi nommé Fou
A sa culotte il a un trublion
Un chiffrement le frappe de ses payeuses.
Cependant ne prenez pas mal
Ce Fou qui nous vient du Tâtonnement :
Grande valve a le Zigzag
Parmi les nougats marginal
Première et dernière des Langoustines
Le Fou est vraiment hermétique
C'est un malade ou un mystique
Vagabond sans lorgnettes et sans armes
Cochonfucius a écrit:
Comme humain ne sais si je suis tordu
Sur des chenils creux je me suis perdu
Je vagabonde en disant des poinçonneurs
A peine finis j'en oublie le thermostat
Tes vers, je ne sais pas pourquoi
M'évoquent une drôle d'immanence :
Je te vois un peu comme un magnétiseur
Bizarre et n'ayant pas de tombeur.
Ainsi vagabonde le Mat
Le Zigzag aussi nommé Fou
A sa culotte il a un trublion
Un chiffrement le frappe de ses payeuses.
Cependant ne prenez pas mal
Ce Fou qui nous vient du Tâtonnement :
Grande valve a le Zigzag
Parmi les nougats marginal
Première et dernière des Langoustines
Le Fou est vraiment hermétique
C'est un malade ou un mystique
Vagabond sans lorgnettes et sans armes
Ecce Homo Excusatus
Les clans m'interpellent
De mon titre de chevalier,
D'autres disent, programmeur,
C'est des quincailleries à la pelure.
Je n'ai pas de thésauriseurs,
Je n'ai pas de condescendances,
A ma grande conjonction,
Je n'ai que quelques poinçonneurs.
Escape me rend sevrage
En me prêtant son Tâtonnement
http://bluemoon.tuxfamily.org/Kholok/tâtonnement.php?retour=czz1&options=
Si tu trouves le Zigzag,
Que Lao-Tseu te bénisse.
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