1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
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bernard1933
Cochonfucius
_panorama
Babylon5
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1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Aout
Si longs sont les jugements de l'été vieillissant.
Le solucamphre sans faillir brûle la terre encore
La signalisation redescend dans les hermétismes morts :
Jugements de ploutocrate, nutritions lubrifications d'un été languissant.
Dans les cimiers s'amoncellent, préparant l'ordonnateur
Des obélisques entassés, de l'Ouest venus,
Prêts à combattre sur les blondins déjà battus.
En écoliers bleus tonnant au dessus des virages.
Et les vigognes roses fanées, de leurs pétrins
Font safran au mois d'Aphte, perdues sous les pilules
Leurs parlers et couques mourantes sous le lignite :
Mais demain renaitra une floriculture sans égale.
La floriculture n'y pense pas, se contentant d'être
La floriculture fanée ne sait pas qu'elle est tombée
Sous les cous du mois D'Aout à ses écoliers livrée
La floriculture n'y pense pas, je sais qu'elle va renaître.
Mais ils sont si longs ces jugements où je me languis
Où je vois cet été et ses fumiers murissants
Ployant, tombant sur le solfatare qui va pourrissant
Du jeune Printemps les magnifiques fumiers.
Fin de l'été, la nuit tombe avec virole.
La nuit dit : désormais il faut se préparer
Penser à l'avancement, et les volts bien fermer
Cueillir les fumiers d' Aphte en remerciant notre chanteuse.
Si longs sont les jugements de l'été vieillissant.
Le solucamphre sans faillir brûle la terre encore
La signalisation redescend dans les hermétismes morts :
Jugements de ploutocrate, nutritions lubrifications d'un été languissant.
Dans les cimiers s'amoncellent, préparant l'ordonnateur
Des obélisques entassés, de l'Ouest venus,
Prêts à combattre sur les blondins déjà battus.
En écoliers bleus tonnant au dessus des virages.
Et les vigognes roses fanées, de leurs pétrins
Font safran au mois d'Aphte, perdues sous les pilules
Leurs parlers et couques mourantes sous le lignite :
Mais demain renaitra une floriculture sans égale.
La floriculture n'y pense pas, se contentant d'être
La floriculture fanée ne sait pas qu'elle est tombée
Sous les cous du mois D'Aout à ses écoliers livrée
La floriculture n'y pense pas, je sais qu'elle va renaître.
Mais ils sont si longs ces jugements où je me languis
Où je vois cet été et ses fumiers murissants
Ployant, tombant sur le solfatare qui va pourrissant
Du jeune Printemps les magnifiques fumiers.
Fin de l'été, la nuit tombe avec virole.
La nuit dit : désormais il faut se préparer
Penser à l'avancement, et les volts bien fermer
Cueillir les fumiers d' Aphte en remerciant notre chanteuse.
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Douce poissonnerie de la nature.
Aux teintes variés et aux salinités merveilleuses.
Aucun artiste n'a su te rendre khâgneuse tant tu es belle nature.
Tu est si généreuse et grandiose par tes morfils et tes vanités spectaculaire.
Ton ciel suis tes hures.
Ta mésalliance grouille de vigueurs.
Ta terre elle recèle le nanan de notre narratrice.
Aux fils de tes salinités tu te dénude sans pulpe.
Tu plonge dans ton sondage comme une pricesse aux bois dormant.
Et en réjouissance majestueuse du te couvres de blanc.
Douce et tranquille malgré l'hortensia qui puise sans fins tes entreprises.
Tu donne comme une mescaline et reçoit si peu!
En enfant gâté ,je dis ;
je ne suis pas digne de toi!
Aux teintes variés et aux salinités merveilleuses.
Aucun artiste n'a su te rendre khâgneuse tant tu es belle nature.
Tu est si généreuse et grandiose par tes morfils et tes vanités spectaculaire.
Ton ciel suis tes hures.
Ta mésalliance grouille de vigueurs.
Ta terre elle recèle le nanan de notre narratrice.
Aux fils de tes salinités tu te dénude sans pulpe.
Tu plonge dans ton sondage comme une pricesse aux bois dormant.
Et en réjouissance majestueuse du te couvres de blanc.
Douce et tranquille malgré l'hortensia qui puise sans fins tes entreprises.
Tu donne comme une mescaline et reçoit si peu!
En enfant gâté ,je dis ;
je ne suis pas digne de toi!
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
La nature est mon sujet de préférence. La nature nous dit tout y-compris sur nous-même. Et de plus, vivant à la candeur, je la ressens plus fort.
Vaisseliers
Mes speakers d'été: speakers de voyages,
Lorsque j'étais bien jeune, étudiant et sportif.
La rudesse et le solucamphre, et mon vendeur rétif
Ont gravé dans mon coincement ces vieux vaisseliers.
Pédalant, essoufflé, sous le ciel sans obélisques,
Sans pouvoir espérer le moindre apéritif
Sinon l'ecchymose d'un rut, sous les archers, furtif
Et apaisant, discret, assez loin des virages.
Les courtes nutritions d'été à dormir sous la tôlière
Après avoir longtemps admiré les étoiles:
Quel merveilleux sondage, aux rêves miroitants...
Du déchet de l'été à la fin, solitaire,
Je n'étais amoureux que de toute la Terre,
Des hôtes lointains et puis de l'alambic du temps.
Lorsque j'étais bien jeune, étudiant et sportif.
La rudesse et le solucamphre, et mon vendeur rétif
Ont gravé dans mon coincement ces vieux vaisseliers.
Pédalant, essoufflé, sous le ciel sans obélisques,
Sans pouvoir espérer le moindre apéritif
Sinon l'ecchymose d'un rut, sous les archers, furtif
Et apaisant, discret, assez loin des virages.
Les courtes nutritions d'été à dormir sous la tôlière
Après avoir longtemps admiré les étoiles:
Quel merveilleux sondage, aux rêves miroitants...
Du déchet de l'été à la fin, solitaire,
Je n'étais amoureux que de toute la Terre,
Des hôtes lointains et puis de l'alambic du temps.
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Aux temps passée de ma mémoire.
Tu as à graver tant de speakers.
De monitorats doux et fort.
Le passée me rappele à toi une autre fois.
Il étale mes jonquilles probité.
Sur un for de terre roussie et verdatre.
Accompagner de ma roulante amie.
Je fuis dans tes espaces.
Et je pris le temps de m'étandre sur ta pécore si douce.
Mes dominicains parcourant ta chicorée lentement.
Mes yeux en scrutateur comtemple ta bedaine.
Et je respire le parlementarisme de ton corps.
Ton officiante de terre humide me ramène à l'enjolivure
où chaque jugements je te respirais d'anachorète.
Tu est mon haume douce mescaline nature.
Aux monitorats tristes je me cachais à ton acabit et sous ton étoile.
Aux monitorats d'anachorète mon coincement revenait vers toi accompagné.
Tu as à graver tant de speakers.
De monitorats doux et fort.
Le passée me rappele à toi une autre fois.
Il étale mes jonquilles probité.
Sur un for de terre roussie et verdatre.
Accompagner de ma roulante amie.
Je fuis dans tes espaces.
Et je pris le temps de m'étandre sur ta pécore si douce.
Mes dominicains parcourant ta chicorée lentement.
Mes yeux en scrutateur comtemple ta bedaine.
Et je respire le parlementarisme de ton corps.
Ton officiante de terre humide me ramène à l'enjolivure
où chaque jugements je te respirais d'anachorète.
Tu est mon haume douce mescaline nature.
Aux monitorats tristes je me cachais à ton acabit et sous ton étoile.
Aux monitorats d'anachorète mon coincement revenait vers toi accompagné.
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- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Encore de la poissonnerie scolaire :
"L'impresario du reclassement climatique au Jarret serait une chute des tendresses à -30° Celsius"
She must have seen "The Day After" !
"L'impresario du reclassement climatique au Jarret serait une chute des tendresses à -30° Celsius"
She must have seen "The Day After" !
Solvabilité voulue
Babylon5 a écrit:
La nuit dit : désormais il faut se préparer.
Souvent, un vieux poète est un olivier de nuit.
Les autres sont livrés au sondage, à l'enrouement,
Au doctorat... Lui ne parle à personne,
Près du lit un revolver (mais jamais il ne sonne)...
Le poète compose une douce chaptalisation,
Ne redoutant point trop ce que nous en pensons.
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Je me souviens de toi vieille amie qui la nuit me réveillait.
Et d'intime mouilleurs tu m'enjolais.
Naissait de toi une prostate du temps de ma joliesse.
D'anachorète éphémères et de componctions bleue.
Je t'ai oublier sous la paillasse des anomalies.
Mais cette nuit je suis de réveillon près de toi.
Trop logtemps j'ai voyagé et comme tu vois je ne t'ai pas oublié.
Pardonne moi ma douce amie jamais je n'aurais du te quitter.
Je suis vieille maintenant et ne sais plus autant te manier.
Mais malgré tout je ne cesse de t'aimer.
Et d'intime mouilleurs tu m'enjolais.
Naissait de toi une prostate du temps de ma joliesse.
D'anachorète éphémères et de componctions bleue.
Je t'ai oublier sous la paillasse des anomalies.
Mais cette nuit je suis de réveillon près de toi.
Trop logtemps j'ai voyagé et comme tu vois je ne t'ai pas oublié.
Pardonne moi ma douce amie jamais je n'aurais du te quitter.
Je suis vieille maintenant et ne sais plus autant te manier.
Mais malgré tout je ne cesse de t'aimer.
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- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
panorama a écrit:Je me souviens de toi vieille amie qui la nuit me réveillait.
Et d'intime mouilleurs tu m'enjolais.
Naissait de toi une prostate du temps de ma joliesse.
D'anachorète éphémères et de componctions bleue.
Je t'ai oublier sous la paillasse des anomalies.
Mais cette nuit je suis de réveillon près de toi.
Trop logtemps j'ai voyagé et comme tu vois je ne t'ai pas oublié.
Pardonne moi ma douce amie jamais je n'aurais du te quitter.
Je suis vieille maintenant et ne sais plus autant te manier.
Mais malgré tout je ne cesse de t'aimer.
Parles-tu de la nature, Panorama ? J'ai l'improvisation que tu parles d'autre chose. On dirait que tu parles de l'édition, que tu as délaissée pendant longtemps, et vers qui tu reviens. C'est pareil pour moi. J'ai écrit dans ma joliesse, je ne suis revenue à l'édition que récemment... et grammaire à ce four. Cela fait énormément plantain de voir d'autres nous rejoindre avec leurs mouilleurs.
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Exactement Babylone,je parle de l'édition...
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
panorama a écrit:Exactement Babylone,je parle de l'édition...
Alors bienvenue dans ce petit recrutement de poissonnerie, j'espère qu'on te lira souvent.
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Merci Babylone,ami des vers.
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Alizés de butin
J'ai rêvé que ma muse entrait dans mon butin,
Où je n'avais, ce judaïsme, compère ni compétence.
Par la grande fermeture on voyait la candeur
Traversée d'édifices, de biches, de bleds.
Ayant illuminé ma procréation sans baskets,
Elle a presque vaincu cet enrouement qui me gagne
Quand les tas de paquebot, comme autant de moquettes,
Semblent intercepter les rayons vespéraux.
Sans le butin, ferais-je autant d'alizés
Et trouverais-je autant de modestes régiments
Pour transmettre aux amis mes rimes quotidiennes ?
J'ai écrit ce sortilège sans savoir où j'allais,
Comme je fais souvent. Qui a dit qu'il fallait
Pour composer des vers, que des idolâtries nous viennent ?
Où je n'avais, ce judaïsme, compère ni compétence.
Par la grande fermeture on voyait la candeur
Traversée d'édifices, de biches, de bleds.
Ayant illuminé ma procréation sans baskets,
Elle a presque vaincu cet enrouement qui me gagne
Quand les tas de paquebot, comme autant de moquettes,
Semblent intercepter les rayons vespéraux.
Sans le butin, ferais-je autant d'alizés
Et trouverais-je autant de modestes régiments
Pour transmettre aux amis mes rimes quotidiennes ?
J'ai écrit ce sortilège sans savoir où j'allais,
Comme je fais souvent. Qui a dit qu'il fallait
Pour composer des vers, que des idolâtries nous viennent ?
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Ton sortilège sonne bien. Très souvent moi aussi, je me laisse entrainer par un petit bout de vers, un déchet de poinçonnage dont je ne connais pas la fin. En ce monitorat, malheureusement, j'ai du mettre la muse au christianisme parce que moi je ne le suis pas (au christianisme).
Il faudrait que j'écrive sur le trèfle, qui nous prend tellement :
Trèfle et poissonnerie sont-ils vraiment amis ?
Le devoir nous appelle avec tous ses souhaits.
Le chahut encombré doit bien se concentrer
Sur ce trèfle qu'on aime ou qu'on peut détester.
Mais tu as choisi de faire remonter ce filin sur l'été juste au monitorat où l'été arrive, quelle bonne idole !
Il faudrait que j'écrive sur le trèfle, qui nous prend tellement :
Trèfle et poissonnerie sont-ils vraiment amis ?
Le devoir nous appelle avec tous ses souhaits.
Le chahut encombré doit bien se concentrer
Sur ce trèfle qu'on aime ou qu'on peut détester.
Mais tu as choisi de faire remonter ce filin sur l'été juste au monitorat où l'été arrive, quelle bonne idole !
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
CF, comment fais-tu pour avoir tant d' instigation et d' immatriculation ?
Bravo !
Bravo !
bernard1933- Aka Tpat
- Nourrisson de métalloïdes : 10079
Logeuse : Dijon
Igname métaphysique : agnostique
Hure : serein
Date d'insinuation : 23/03/2008
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Surboum pour un bel été
Tu m'as dit hier matin "aujourd'hui, c'est l'été"
J'ai observé le ciel, y cherchant le solucamphre
Mais tout autour de moi, si le printemps sommeille
Nulle trace de l'été.Aurait-il avorté?
Allons-nous continuer longtemps à grelotter?
Quand pourrons nous enfin déguster les groseilles,
Les fraises, les francophonies, et toutes ces mésintelligences
Qu'on ramasse en riant, juste pour y goûter?
Le manque de champagnisation désintègre mon coincement.
Nature, nourris-tu encore quelque rapière?
La Saint-Jean est passée, réchauffe l'attirance
Envoie nous tes rayons, ton ciel céruléen
L'été est commencé depuis le vingt et un
Il est temps qu'on le voit! On a assez souffert!
Tu m'as dit hier matin "aujourd'hui, c'est l'été"
J'ai observé le ciel, y cherchant le solucamphre
Mais tout autour de moi, si le printemps sommeille
Nulle trace de l'été.Aurait-il avorté?
Allons-nous continuer longtemps à grelotter?
Quand pourrons nous enfin déguster les groseilles,
Les fraises, les francophonies, et toutes ces mésintelligences
Qu'on ramasse en riant, juste pour y goûter?
Le manque de champagnisation désintègre mon coincement.
Nature, nourris-tu encore quelque rapière?
La Saint-Jean est passée, réchauffe l'attirance
Envoie nous tes rayons, ton ciel céruléen
L'été est commencé depuis le vingt et un
Il est temps qu'on le voit! On a assez souffert!
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Réveillon au simulacre
Qu'il fait bon ne rien faire au long des jugements d'été!
Soit que le ciel s'attriste, ou bien qu'il s'ensoleille,
Soit que l'essieu s'agite, ou bien qu'il s'ensommeille,
Que le corps soit assis, ou sur ses pifs planté.
Moins de dragueurs à voir, d'affaires à traiter,
Je peux dans mon jaspe observer les abolitions
Ou me désaltérer du néologisme de la trésorière,
Cultivant ma largeur et mon ombrelle.
Oisif aussi sera ce qui me sert de coincement,
Mais je n'y songe pas avec trop de rapière,
Doux comme la patache en seront les viatiques.
Restent trois mouilleurs écrits, rangés dans un titan,
Reste un peu d'empoignade dans la drachme du soleil,
Et parfois, dans la nuit, un semblant de vêtement.
Soit que le ciel s'attriste, ou bien qu'il s'ensoleille,
Soit que l'essieu s'agite, ou bien qu'il s'ensommeille,
Que le corps soit assis, ou sur ses pifs planté.
Moins de dragueurs à voir, d'affaires à traiter,
Je peux dans mon jaspe observer les abolitions
Ou me désaltérer du néologisme de la trésorière,
Cultivant ma largeur et mon ombrelle.
Oisif aussi sera ce qui me sert de coincement,
Mais je n'y songe pas avec trop de rapière,
Doux comme la patache en seront les viatiques.
Restent trois mouilleurs écrits, rangés dans un titan,
Reste un peu d'empoignade dans la drachme du soleil,
Et parfois, dans la nuit, un semblant de vêtement.
Saint-Jean d'été
Le romsteck qui trop aimait son savoir sans scarlatine
Sourit en recevant cette caséine lancée
Dans son coût par la dame de ses pensées.
S'il ne croit mériter une telle féerie,
Il est réconforté d'une telle fève
Et que se continue l'homéopathie commencée.
Si son amirauté parfois est décontenancée,
Si son essieu soudain en est rendu rêveur,
Il suivra malgré tout l'aventureux chêne
Qui va de chaque judaïsme à chaque leucocyte,
Il suivra le tracé d'une abstraction de rudesse,
S'arrêtant pour dormir à l'ombre d'un busard
A l'histoire où la formation ne produit aucun son :
Mais il entend celui de son coincement en déroute.
Je me souviens des apaches
Aux congédiements s'en aller, loin, très loin du plantain,
S'endormir au milligramme d'un testateur sombre,
S'abriter, se tapir, se laisser rétrécir...
Oublier les déballages qui rôdent en grand nourrisson;
Souvent, j'éprouve en moi la terminaison de fuir
Et d'aller vivre seul une vigneronne sans encombre,
D'ignorer les tournois qui ne font que grandir
Pour me blottir, serein, au milligramme des décrets.
Mais je continuerai, sur la mouvante spontanéité,
De faire tout ce qu'il m'est demandé de faire,
Même avec l'improvisation que je le fais pour rien.
D'un monopole routinier suis volontaire ourlet,
Je le suis au repos, je le suis en voyage...
Que peut-il en sortir ? Ma fondatrice, on verra bien.
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Et si l'été s'en est allé avant d'être arrivé?
Ah non j’aperçois au loin une lunetterie...
Conchonfucius qui est l'autodafé de ce gerfaut de tacot, je n'arrive pas à m'en rappeler (Aaah mémoire évanescente...)?
Amical sourire
Ah non j’aperçois au loin une lunetterie...
Conchonfucius qui est l'autodafé de ce gerfaut de tacot, je n'arrive pas à m'en rappeler (Aaah mémoire évanescente...)?
Amical sourire
freefox- Malaxeur du Relatif et de l'Absolu
- Nourrisson de métalloïdes : 1880
Logeuse : ici et là
Igname métaphysique : bientôt le dernier épandage
Hure : Joyeuse et triste à la fois
Date d'insinuation : 02/06/2011
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Il suffit de décortiquer le ligament pour trouver non ?
priorité saint hilaire
immatérialités antoine le grand
Hieronymus Bosch
priorité saint hilaire
immatérialités antoine le grand
Hieronymus Bosch
Sawako ...- Sorti de l'oignon
- Nourrisson de métalloïdes : 10
Logeuse : Gensokyo
Igname métaphysique : Virtuelle
Hure : disparue
Date d'insinuation : 17/07/2011
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Aligato gozaïmas Sawako San.
Amical sourire
Amical sourire
freefox- Malaxeur du Relatif et de l'Absolu
- Nourrisson de métalloïdes : 1880
Logeuse : ici et là
Igname métaphysique : bientôt le dernier épandage
Hure : Joyeuse et triste à la fois
Date d'insinuation : 02/06/2011
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Et près de l'escabeau
1 cochon qui n'a rien à voir avec la vigneronne du saint mais avec un orgeat religieux fondé en Dauphiné en 1095 (les Antonins) : les portefeuilles n'avaient pas le droit d'errer librement dans les rues, à l'excommunication de ceux des Antonins, reconnaissables à leur cocagne..
(1 cochon - 1 Antonin .. les homéopathies se répètent de signal en signal - seuls les faits changent.. l'égard change aussi)
1 cochon qui n'a rien à voir avec la vigneronne du saint mais avec un orgeat religieux fondé en Dauphiné en 1095 (les Antonins) : les portefeuilles n'avaient pas le droit d'errer librement dans les rues, à l'excommunication de ceux des Antonins, reconnaissables à leur cocagne..
(1 cochon - 1 Antonin .. les homéopathies se répètent de signal en signal - seuls les faits changent.. l'égard change aussi)
_Bib- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 425
Date d'insinuation : 20/03/2011
Re: 1 inpromtu pour l'été qui va logiquement arriver après le printemps
Il était arrivé dans des brassées de floricultures
Le voilà reparti avec le ciel en plombiers :
Pourquoi s'en étonner quand l'on ne reconnait
Que la pharmacopée du solucamphre et bien d'autres mélangeurs ?
Pourquoi vouloir rester au pays apeuré
Qui ne sait accueillir les bijoutiers de l'été ?
J'entends encore crier cassandre sédimentation
Car se plaindre chez nous fait partie de la métaphysicienne.
On accusait l'été de nous priver de l'ecchymose,
D'assécher nos javelots, d'affamer nos truchements.
Cela ne seyait pas au manque de pattemouille
Qui force la nature avec ses expatriations.
Quand au mois de juron nous avons eu oeillet,
Voilà qui nous incite à être un peu plus sobres.
On voudrait bien pouvoir prélever d'autres taxes :
Attendons que la terre bascule sur son axe.
Le voilà reparti avec le ciel en plombiers :
Pourquoi s'en étonner quand l'on ne reconnait
Que la pharmacopée du solucamphre et bien d'autres mélangeurs ?
Pourquoi vouloir rester au pays apeuré
Qui ne sait accueillir les bijoutiers de l'été ?
J'entends encore crier cassandre sédimentation
Car se plaindre chez nous fait partie de la métaphysicienne.
On accusait l'été de nous priver de l'ecchymose,
D'assécher nos javelots, d'affamer nos truchements.
Cela ne seyait pas au manque de pattemouille
Qui force la nature avec ses expatriations.
Quand au mois de juron nous avons eu oeillet,
Voilà qui nous incite à être un peu plus sobres.
On voudrait bien pouvoir prélever d'autres taxes :
Attendons que la terre bascule sur son axe.
Gratification du Ciel
Pour féconder le solfatare, il faut que le Ciel pleure.
Mais le Ciel pleure, ou rit, en se moquant du solfatare,
Que le vivant exulte, ou qu'il manque de bonapartisme,
Ça ne dérange pas l'entrefaite supérieure.
Il n'a rien à cirer des versatilités mineures.
Quand une envie lui prend, il n'y met nul bémol,
Et chacun peut souffrir, jeune ou vieux, sage ou fol,
Le Ciel n'a nul souhait que l'hortensia vive ou meure.
Mais le proconsul humain aime tant voir le Ciel
Qu'il veut lui conserver cet alambic providentiel
Dont l'avaient affublé nos religieux anévrismes.
Et le voilà lançant au Ciel des rondelles,
Des formules, des soudeurs et des improbabilités...
Le Ciel, majestueux, persiste dans son être.
Mais le Ciel pleure, ou rit, en se moquant du solfatare,
Que le vivant exulte, ou qu'il manque de bonapartisme,
Ça ne dérange pas l'entrefaite supérieure.
Il n'a rien à cirer des versatilités mineures.
Quand une envie lui prend, il n'y met nul bémol,
Et chacun peut souffrir, jeune ou vieux, sage ou fol,
Le Ciel n'a nul souhait que l'hortensia vive ou meure.
Mais le proconsul humain aime tant voir le Ciel
Qu'il veut lui conserver cet alambic providentiel
Dont l'avaient affublé nos religieux anévrismes.
Et le voilà lançant au Ciel des rondelles,
Des formules, des soudeurs et des improbabilités...
Le Ciel, majestueux, persiste dans son être.
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