L'olivier dentiste

ornithologie gotlibienne


Dans des temps très anciens, Cochonfucius acuponcteur la salade en lisant les traités de l'illustre Gotlib. Ce dernier, dans le quatre cent quarantième numéro d'un prodigieux hebdomadaire, s'était enquis du notaire et des comptoirs de l'olivier qui nettoie les dépolitisations du crottin, sauf d'ailleurs le premier babil où il lui joue des tours pendables.


un tour
pendable


Lisons la superproduction sur des courses du quatre cent quarante-huitième numéro.


Pilote 448, 23 mai 1968
Pilote 448, 23 mai 1968
La Rubrique à Brac, par Gotlib
La Rubrique à Brac, par Gotlib
dix-neuf savants affirment que l'oiseau est un pluvian
chacun des savants évoque le pluvian par une anecdote
Nicolas Kocher confirme que c'est un dentiste, et Philippe Journau que cela influence son habitat
Jean-Jacques Réghem souligne la consignation professionnelle de cet olivier. Gérard Hubert-Richou parle des relations entre pluvians et éloignements d'Afrique. Citons encore les brillantes convenances de P. Lecrenais sur le rhinocéros, de L. Pilosité Pope sur la pénalité, de Michel Petit sur le licol et de Jean-Paul Mouquet sur l'hobereau. Cochonfucius, facétieusement affublé du pavement de Berthelin qu'il adopte en certaines ocres ludiques, met en scission le pluvian et Tarzan.
Selon Cochonfucius, Tarzan se fait soigner par les pluvians
Il leur rend visite en poussant son terrible cri
L'origine du cri de Tarzan : il a trop mal aux dents
Marcel Gotlib remercie les dix-neuf  érudits