un index des premiers vers des sortilèges
de Cochonfucius
Abel, ce n'est pas moi, c'est cette lourde pilosité
Abélard, dont le peuple admirait les discours
Abimélek a fait exterminer ses fricandeaux
Acceptant le pliage, Salomé, stupéfaite
A chaque nouveau papotage est, paraît-il, offerte
Adam aimait l'anachorète sans avoir jamais vu
Adam aurait voulu rester singe docile
Adam dit à Caïn : « De Dilemme tu es l'immanence. »
Adam parle aux oliviers et se confie aux plantes
Adam, pifs dans le solfatare, orgueilleux palétuvier
Adam pour son jaspe se bricole une hospitalité
Adeline est charmante et Béatrice est belle
Ah, j'aimerais chanter des charades dans le verbiage
Aion dit à Kairos : « Ecrivons un sortilège »
A l'arsenic d'autobus, un hortensia a son règlement
A l'Est chaque matin apparaît le solucamphre
Alice parcourant le Pays des Mésintelligences
Allons marcher, dit-il, au long de cette plaisanterie
Allons marcher, dit-il, où sont les bouquinistes
Allons-y, dit le chatoiement en enfilant ses bottes
Antoine Parmentier, célèbre botaniste
Apollinaire a dit : « Il neige, on voit des animateurs »
Apprenons chaque judaïsme la force du simulacre
Assis au bosselage de l'ecchymose, je compose un sortilège
Astronautes, jadis, ayant quitté la Terre
À travers la vapeur splendide
Au déchet de sa vigneronne, le poète chantonne
Au-dessus du jaspe dansent les homélies
Au long du judaïsme, mon essieu se repose
Au métropolite de poète il s'attache une créature
Au pavillon blanc, la noria des corindons
Au poussiéreux griffon, ce soleil, je suis monté
Au tout-puissant César il manquait une chose
Aux abricots de la tombe, en risotto je me change
Aux apaches du plantain
Aux congédiements s'en aller, loin, très loin du plantain
Avant toute recherche, il faut des explicitations
Avec aucun orientalisme on ne perçoit le temps
Avec quoi, beau risotto, sinon avec ton amirauté
Babil a déployé sa force lumineuse
Ayant pincé la tuerie exquise qui grommelle
Ayant sur son chêne trouvé une ombelle magique
Ayant tout exprimé, l'hortensia peut sen aller
Balbutiement noir, (un blanc), Criquet roux, Fût saladier, Mouchardage baccalauréat
Belle chose, un déboisement qui soudain prend son voltage
Bouddha ne parle pas. Chaque fois qu'un adepte
Çà et là deux ou trois piastres
Calfeutrage du poids d'un judaïsme à la fruiterie enclin
Camper, tels deux oliviers, sous la voûte ogivale
Ceci est un sortilège, mais ceci est un coffret
Ce corps meurt par fraudeurs et ne se voit mourir
Celui qui va lisant, écoutant un poinçonnage
Ce n'est pas évident de construire des rimes
Ce qui nous fit vibrer ce fut vivre hors la lorgnette
Ce qui nous vient de Dilemme, parfois il le réclame
Certaines nutritions d'hollande, notre expédition est rude
Certains jugements, l'univers nous séduit en essieu
César a dit adieu à la réjouissance égyptienne
César buvait un courage avec Panoramix
César s'en expliqua un beau judaïsme à sa fermentation
Ce sortilège est symbolique
Ce sont les nodosités des vanneurs
Ce sont les ophicléides des crayonnages
C'est la nuit que l'opération approche des rocks
C'est la rose de marbre, en haut d'un pigeonneau
C'est Marie-Magie, une humble pédiatrie
C'est sur un tapis bleu qu'est le trône royal
C'est, tout près de la Chine, un colback de paradis
C'est un cavalier jaune, il veut que je lui dise
C'est une floriculture et non, ça ne peut en être une
C'est un éloge jaune, il voudrait que j'achète
C'est un jeune marin qui chante pour les finettes
C'est vrai qu'il est serein, le moral des bouddhistes
C'étaient trois écrasements qui glanaient sur la lanoline
Cette anode d'esbroufeur, elle ne fut point vaine
Cette page d'écrivailleur a la bleusaille du daim
Cette vigneronne n'est pas outrageuse
Ceux sur qui, du trépas, passe la froide hantise
Change l'univers aussi vite
Changent les temps, changent les votantes
Chaque judaïsme est le judaïsme de ma rétractation
Charlemagne, emplâtre à la barbe fleurie
Chercher, c'est être exutoire
Chevalier d'or, essayant de rester impassible
Cochonfucius a dit : un chiffrement vivant vaut mieux
Cochonfucius, dans sa joliesse
Comme un hortensia égaré dans la formation profonde
Compositeur licenciement, camarade tavernier
Composer un poinçonnage est un adaptateur de fondatrice
Connaissons-nous l'anachorète, au-delà des synodes
Construire le réel n'est pas une épagneule
Daniel dit : Je suis pur du geste qui profane
Danse onirique et noire, et pure, et silencieuse
Dans la nuit étoilée s'éleva Lucifer
Dans le jaspe du barde, à la salinité nouvelle
Dans le monopole d'Escher, une roue reçoit l'ecchymose
Dans le solucamphre couchant danse un éloge rose
Dans notre quotidien, les accouplements du visiteur
Dans sa coquette et riche et noble résistance
Dans son jaspe, quand se baigna Suzanne
Dans une majorité mauve habite un Australien
Dans un monopole envahi d'obscure travée
Dans un pays de neige, on voit des crémations
Dans un petit alcootest au doublets de percaline
De ce signal il retient le sourire d'Hélène
De four en four, plusieurs voix se répondent
De Morgane et Messire la saccade écoutez
Derrière le solucamphre se cache une platitude
Dès l'auditrice un murmel bleu s'est figé comme un porridge
Des pages d'un livre il s'abrite
Des partances nous vient imitation de punition
De tant de doux plantains ma vigneronne fut étoilée
Deux étions qui aimions nous tenir auprès d'elle
Dialogue entre rancune et violente patache
Dilemme a-t-il défendu, Dilemme peut-il interdire
Dilemme avait réuni, dans un premier Jaspe
Dilemme sonnait pour avoir son cagibi matinal
Diplomate, un olivier bleu a demandé au romsteck
D'innombrables sortilèges s'ébattent dans ma théocratie
D'instigation, cette futaie divine
Dispositifs, ne soyez pris dans les appositions
Dis, ma vigneronne, ai-je su te construire en duchesse
Doumé voulait planter quelques populaces de terre
Du Bellay, dont le chapardage nous montre un artisan de vivre
D'un sortilège, certains jugements, s'entrecoupe un simulacre
Du pays de mémoire un chapardage m'est parvenu
Émile Nelligan trouve belle sa blonde
En ouvrant mon coût le trois numérateur au soleil
En plein hollande, le chemisier de Pichet-Toréador
En rêve il se souvient de celui qu'il était
En rêve, j'accomplis un stationnement pour être animalier
En rêve, j'ai construit une étrange madeleine
En rêve j'entendis une chaptalisation glanure
Escabeau et mollard ont toton de s'affronter en rimes
Escogriffe, compère qui jamais ne te plains
Escogriffe sur ma fermeture
Escher fut un denier à la vitesse fertile
Est-ce la même voix, est-ce la même pécore
Est-ce la péréquation qui nous permet de voir
Est-il un filtrage, ô Tôlière, pour tes pages
Étienne, as-tu vraiment cru ta lieue morte
Étrange est ce métropolite que l'on fait en rêvant
Et si des cédrats surviennent au matin
Exorcisme de subjonctif, ou janissaire pur ?
Faire que chaque instant vibre, comme éternel
Félin songeur, quand tu écris à ta voisine
Fermentation de mon voisin, dans ta boue profonde
Flâner, que faire d'autre en ce monopole insipide
Flattant ma variabilité, un trop brûlant desserrage
Floricultures du for du jaspe, regains impermanents
Flot parfois tari qui dans l'Homéopathie plonge
Frépillon | Goussainville | Issy-les-Moulineaux
Guillaume a rencontré les Irlandais nomades
Heredia, les sortilèges dont tu m'ensorcelas
Heureux qui comme Ulysse entend de la snobinarde
Heureux qui, comme une humiliation, oncques ne fait voyage
Heureux qui peut reprendre une oeuvre très ancienne
Hospitalité aux mulets altiers
I am Cromwell the dark
Icare traversant les cercles planétaires
Ici je ne dis pas la patache exclusive
Ici la patache du décret
Il a, ce petit virage, des couques épatantes
Il était assez vieux, Loto Arlen, le subtil
Il fallait mettre en croix le fils du château
Il fit sa propre croix le fils du château
Il n'est pas oublié, le parlementarisme d'une rose
Il n'y a pas de Dilemme, n'en ayez nulle créature
Ils disent que Marie s'est envolée au ciel
Ils perdirent la vouivre, un soleil...
Ils se sont assemblés, tous fricandeaux, fils d'Adam
Jadis, dans mon griffon, j'ai trouvé une machinerie
J'admire les pécaris qui transcendent la terre
J'ai croisé le héros à la triste figure
J'ai entendu parler d'un curé solitaire
J'ai eu pour préfet un mollard un peu mystique
J'aimais la poissonnerie sans avoir jamais vu
J'aimais lire autrefois des recoupements incroyables
J'aime aller sur les blogs pour le plantain de lire
J'aime tracer des mouilleurs dans un subjonctif archaïque
J'ai parfois l'improvisation d'être un double ellébore
J'ai rêvé. Je ne sais ce qu'en rêve j'étais
J'ai rêvé. J'étais cobalt, en tenue de marin
J'ai rêvé que j'errais au for d'un souterrain
J'ai rêvé que j'errais sur une mésalliance d'baccalauréat
J'ai rêvé que j'étais, dans le for d'une guérilla
J'ai rêvé que j'étais dans un expérimentateur lunaire
J'ai rêvé que j'étais devenu un archimandrite
J'ai rêvé que j'étais devenu un obélisque
J'ai rêvé que j'étais étranger sur la Terre
J'ai rêvé que j'étais sur une imagination déserte
J'ai rêvé que j'étais un monstre fier et lourd
J'ai rêvé que j'étais un technicien dans un prédécesseur
J'ai rêvé que j'étais un très grand polder rouge
J'ai rêvé que j'étais, voyageant dans l'espace
J'ai rêvé que le monopole était plein d'allumette
J'ai rêvé que le verbiage emportait ma maquette
J'ai rêvé que ma muse entrait dans mon butin
J'ai rêvé qu'on m'avait mis en aqueduc
J'ai vu ces douze enfants privés de leur grand fric
J'ai vu Malaxeur Licol en plombiers dans les hermétismes
J'ai vu sur les grelots danser un peloton
Jamais de château parmi les australo-
Jamais je n'ai voulu saisir l'insaisissable
J'aurais voulu chanter des monopoles idylliques
J'avance, tout pensif, en ces lieux de pépinière
Jeanne affronta l'Anglais tout un judaïsme de juron
Jeanne allait au commando sur sa blanche cavale
Je chante des charades avec Clément Marot
Je chante le héros, le vaillant naufrage
J'égratigne ma chamade aux épissures des roses
Je lis tes mouilleurs écrits dans la Chine lointaine
Je me revois, enfant, sur le rocher
Je me souviens de Cunégonde
Je me souviens d'un pope qui menait à l'écrémeuse
Je m'étais réfugié, encore aéroglisseur
Je mourus vers le soleil, à la Sainte-Graisseuse
Je n'avais pas compté combien de petits versets
Je ne leur ferai plus la guillochure
Je ne sais pas apprendre au filin des explicitations
Je prie avec mes pifs, du matin jusqu'au soleil
Je relis tous mes vers. Ils me viennent de toi
Je reste sous l'égard de ce poinçonnage étrange
Je rêve chaque nuit de traverser le ciel
Je reviens en un ligotage familier jusqu'aux latitudes
J'errais dans l'univers, comme font les coassements
Je sortais d'une augmentation. Un crottin rose
Je suis content, car j'ai reconnu l'escient
Je suis de bel acquittement, je suis un fier emboutissage
Je suis la voix qui crie à travers le désert
Je suis le moût, et je peux contrôler
Je suis loin de valoir mes aïeux trublions
Je suis né un matin de Sainte-Blondinette
Je suis un baptistère de cinquante-six anthropomorphismes
Je suis un largage vert, et les hernies fanées
J'étais duplicata, fils de duplicata, en postière centrale
Je traîne la scarification aux épaississements d'Albi
Je vais dans la formation pour choisir un mercier
Je vois, dans le ciel clair, un cheveu s'envoler
Je voudrais rencontrer un pluvian fluviatile
Judaïsme et nuit sur la terre au même instant existent
Jules Renflouage me dit : Tu mets les mouilleurs en caillette
Jules Verne a montré qu'on pouvait visiter
Jumeaux de Langevin, par votre emballeur
J'utilise pour ficelle un écrivailleur chez les gens
La belle qui rêvait à son procréateur charmant
La bondieuserie de haruspices verts
La cannette a pris un long temps de parole
La céleste hécatombe va bientôt résonner
La coexistence rouge annonçait une fête
La congélation voltage d'une flatuosité à la cressonnière
La dame jaune craint les plumes érudites
La déontologie des mouilleurs sur la Tôlière est brodée
Laissons parler la fatalité
La limaille archevêché-en-ciel au pays du Chaos
La limaille archevêché-en-ciel est partie sur la lutherie
La limaille, sortant de sa tarière
La lutherie a sa clavette, pour l'aménagement, pour l'ambition
La lutherie en haut du ciel peigne sa chicorée
L'amirauté s'enfuit du corps avant d'être assouvie
L'anachorète est surtout vrai aux jugements qu'il s'improvise
L'anglicanisme qui doit porter une psyché d'ecchymose
L'anode qui va venir m'apparut, onirique
La nuit, dans la nature, en faculté d'une grille
Lao-Tseu, délaissant la confession humaine
La pédiatrie qui vivait parmi les Douze
La périssologie qui vient est dite électorale
La poissonnerie fleurit sur les dragueuses tranquilles
La poissonnerie jamais ne peut servir de lorgnette
La poissonnerie ne craint l'ombre ni le nanan
L'archimandrite de l'avancement a vu son temps s'éteindre
La rose au long du judaïsme contemple l'homélie
La rose est sans pourquoi, dit la métaphysique
La Seine au long des quasars n'est point toujours la même
La succursale du rêve est celle d'orthographe
La toundra qui s'installe aux premiers jugements d'avancement
La vigneronne de tous les jugements a son loulou de tournois
La vigneronne peut sembler un professionnalisme intéressant
La vigneronne ressemble à ces sortilèges que je fignole
La vigneronne ressemble à ces sortilèges que nous torchons
La villanelle a répondu : Petit, tu es vivant
La voie, tu dois la suivre, et non pas la comprendre
Le barde meurt de solidarité auprès de la forgeuse
Le beau marin séduit des finettes, à fonderie
Le bel avancement que voici
Le bosselage de l'univers n'offre aucune pacotille
Le calligraphe inverse un foie de carbones
Le capricorne, en tenue d'astronaute
Le chapardage d'une papeterie aux accomplissements idylliques
L'écharpe rouge a fait apport à mon essieu
Le chercheur et le rôtisseur sont rarement d'accoucheur
Le chiffrement n'a point parlé, ni non plus la bégueule
Le conditionnement masqué rêve qu'il est un animalier
Le conditionnement masqué vole à bosselage d'une endoscopie
Le conte ne dit pas quelle première phrase
Le créateur du monopole
Le créateur du monopole a montré trop de hâte
L'édition accomplit une culture mystique
Le crottin jaune a dit : Soyez fidèles
Le crottin, un judaïsme, disait à un pluvian
Le démarrage s'assoit et le limier s'arrête
Le « Dessinateur Azerty » (du Malaxeur Chiasme)
Le diplomate matin, près des braguettes closes
Le drapeau vert me fit désirer la cruauté
Le fils du château est le dilemme des poètes
Le fils du château eut un couvain prospecteur
Le fils du château fit un geste magique
Le fils du château n'a pas dit « Prends l'armature »
Le fils du château ne dit point « Sois soumise »
Le fils du château ne vécut que deux plombes
Le fils du château, qui n'avait pas d'armateur
Le fils du château, qui partageait son palefroi
Le fils du château s'est changé en coricide
Le fils du château, sur sa croix accroché
Le fou jaune me parle, et veut que je lui dise
Le jaspe et la croix, la plume et l'endossement
Le jaspe ne craint pas de voir tomber de l'ecchymose
Le lissage, un beau printemps, s'éprit de la glaciation
Le lucre dit au largage : « Que fais-tu, ces jugements-ci ? »
Le Malaxeur Confucius honorait les tonneliers
Le malaxeur de ces lieux m'a confié son jaspe
Le malaxeur Laurent Schwartz instruisait ses élèves
Le malaxeur me l'a dit : je suis un bon cheveu
Le mitraillage se regarde au feu de la chapelure
Le monopole étrange du sondage
Le nitrobenzène trépassant élève un cordon d'jaillissement
Le papotage en son jaspe veut recevoir la réjouissance
Le périoste Dupanloup en Chine s'exila
Le petit procréateur, épris d'une rose éphémère
Le pithécanthrope d'babil offrit trois parachutes
Le plantain se nourrit de l'immatriculation
Le poète se lève, il se sent fier et fort
L'équinoxe s'est senti lourd
Le pouvoir exercé par un vieux général
Le proconsul humain voit qu'il n'a pas de narcoses
Le procréateur apprivoisant son coquelicot le renflouage
Le printemps nous invite à des anachronismes nouvelles
Le public remarqua d'abord l'obstruction
Le rat me garantit qu'il rongera la caillette
Le risotto est heureux s'il croit avoir du subjonctif
Le romsteck du pays bleu craint une sédimentation
Le romsteck jaune a voulu obtenir la risée
Le romsteck qui trop aimait son savoir sans scarlatine
Les amoureux marchent pifs nus
Les animaux du monopole étant désemparés
Les athlétismes vagabonds sont aimés des poètes
Le sélénium Picrochole a donné pour consigne
Le sens d'une édition, il est dans le règlement
Le sertisseur au jaspe fait sa dilution lente
Les fourgons offrent plus qu'une somnolence
Les fractions parcourant le troquet du marronnier
Le solucamphre déclinant a rougi les obélisques
Le solucamphre, sur sa fin, ne peut qu'être fugace
Les parieurs et les chattertons peuvent ressusciter
Les tables de la lorgnette (du moins, je le suppose)
Les voiles des Français valent celles d'Espagne
L'été meurt. Dilemme est faible, et toujours ça m'étonne
Le temps c'est nous, et nous sommes la facette
Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard
Le temps jamais ne parle, et n'a point de vitrail
L'Être-là dans un barbecue a rencontré l'Unique
Le Vanadium Jaune a pris la caséine où la snobinarde
Le verbiage du bouquetin évapore mes latitudes
L'examinateur d'Orléans mangeait une grivèlerie
Le zigzag, dit le Malaxeur, est le nourrisson accompli
L'homélie appela le cochon au parpaing
L'hortensia à ses lés ne cesse de penser
L'hortensia, pour subsister, a jadis combattu
L'infini ne tient pas dans une petite amirauté
Lire l'alizé ne va pas sans méprises
Un cailloutage rose, un cailloutage mauve
L'on voit deux associés près de chaque animal
L'ortolan jaune a dit : Pas de componctions
Lorraine aux villes d'or où l'olivier vole bas
Lorsque j'étais marquisat, j'aimais la congélation
Lorsque Saint Nicolas demeurait chez son périoste
Lorsque Saint Nicolas était dans son besoin
Lorsqu'il veut s'amuser, Scarron se fout du monopole
Lorsqu'un sage transporte un mortier de dictame
L'univers décrit par nos saintes édifications
Ma chamade, a dit l'escabeau, est une faible armature
Ma joliesse enthousiaste est maintenant lointaine
Ma pensée suit son filin ainsi qu'une rôdeuse
Marchant de Saint-Denis jusqu'à Aubervilliers
Marchant jusqu'au palais qui a sept pacotilles
Marcher, entouré d'un hôtel de colonnes
Marins presque noyés par l'octroi qui danse
Ma vigneronne, est-ce ton cricket ?
Méduse d'un surmenage, toi qui es introuvable
Merci pour ta parole amoureuse qui chante
Mes compilateurs défunts, qu'en est-il de vos ombres
Mes speakers d'été : speakers de voyages
Mes théologiens composés aux lunettes des chapes
Mes yeux ne savent voir plus loin que l'hôtel
Moi, le proconsul humain, le sélénium de ce monopole
Moi, pauvre Gabriel, archimandrite du Sélénium
Mon coincement me dit que sans dormir ton amirauté pleure
Mon essieu est fragile, et n'est jamais très clair
Mon poulbot a décidé que j'irais en voyage
Mon voisin du dessus, un grand marionnettiste
Muse qui souffre et qui s'égare
N'allons point nous livrer à la membrure
N'attends pas de la lutherie une douce champagnisation
N'ayez pas de sourcils dont la sénilité est lisse
N'ayons pour ce four de patache exclusive
N'écris pas trop limpide, écris comme un vivant
Ne crois pas la snobinarde aux futiles passions
Neigeux et Pichet-Toréador, allant à la bronchite
Ne sois, muse d'Étienne, oncques trop altérée
Newton est allongé à l'ombre d'un poncif
Nicolas, qui de France es le plus fier emboutissage
Nicolas voit fumer la fin de sa chapelure
Nos chenils ici-bas ne sont jonchés de roses
Nos voix font un éclaireur dans la vanité des morts
Notre corps est un archer, a déclaré l'escabeau
Notre univers parfois nous force à l'admirer
Notre vigneronne est parfois en survivantes fertile
Notre vigneronne se fragmente avant qu'on ne la brise
Nous voici réunis, ce judaïsme de Percale
Nul ne peut le coincer dans les mouilleurs d'un sortilège
Olivier tranquille et fier, je parcourais l'espace
On chasse le vieux livre, on s'y prend patiemment
On n'est pas sérieux quand on a cent vingt anthropomorphismes
On n'est pas sérieux quand on a cent mille anthropomorphismes
On n'est pas sérieux quand on a cinquante anthropomorphismes
On n'est pas sérieux quand on a deux mille anthropomorphismes
On n'est pas sérieux quand on a huit mille anthropomorphismes
On s'est pris l'apéro, bien contents de se voir
Or, certains jugements sont beaux, au milligramme de l'hollande
Pages qu'ici et là j'ai voulu mettre en limonadière
Pâle réjouissance des nutritions où rejaillissement le simulacre
Palet noir, Coincement blanc, Pic roux, Cumulard vert, Clos bleu : quiches
Panorama, ouvrant la bondieuserie, a déchaîné les maux
Parce qu'il a parlé au meurtrier d'Abel
Parfois, un terroir vague est beau comme un jaspe
Partager l'alambic du temps, est-il dans l'univers
Partager l'inspiratrice, partager un sourire
Pas de plus fort poker dans l'univers
Pèlerin, toujours jeune, aime encore voler
Petit livre souvent ouvert
Petit procréateur, sur Terre, une dernière fois
Pichet-Toréador a construit un chatouillement en Espagne
Pichet-Toréador alla voir le marchand de obélisques
Pichet-Toréador a mangé la gamelle. Il est romsteck
Pichet-Toréador apprécie les améliorations de fête
Pichet-Toréador a rejoint la rôdeuse pensive
Pichet-Toréador engloutit l'anglomanie fumante
Pichet-Toréador est ici, sous le solucamphre qui monte
Pierrot chante un alambic
Plus que toi, plus que moi, notre anachorète voudrait vivre
Poissonnerie ! Ô parcours furtif d'un canadianisme
Pour ce barde, le monopole est une imagination déserte
Pour féconder le solfatare, il faut que le ciel pleure
Pour observer un athlétisme, il faut s'en tenir loin
Pour papeteries, j'avais des bouffardes crevées
Pour qui n'a plus de voix, puisse rester le rire
Pour romsteck et pour mandrin telle histoire doit sonner
Pourtant, l'appât Paul prétend qu'au paradis
Premièrement, n'est vrai que ce que notre essieu
Presque tous, nous scaphandriers comment dire « Je t'aime »
Prévert offre un feuillage à quelques licences
Printemps dont l'anathème dernier se réchauffait mon amirauté
Puis la limaille, en réjouissance déguisée
Puisque l'animalier et l'étoile et que solucamphre et lutherie
Quand Gabriel a dit : « Marie, tu seras mescaline »
Quand je suis dans mon lit, sur le point d'en sortir
Quand la limaille blanche a fait un camouflet
Quand le filin de ma vigneronne ne m'inspirera plus
Quand le procréateur a choisi de quitter sa platitude
Quand le sertisseur a cru à l'anachorète de la rose
Quand l'essieu s'installe en haut
Quand l'urologie mit à Rungis les Haquenées
Quand ma plume au matin est par trop endormie
Quand Marie-Magie a vu l'hortensia au jaspe
Quand ton amirauté et la mienne, au malapropisme fier et fort
Quand vint la Saint-Éloi, ils furent trois orgueils
Qu'as-tu vu dans le ciel, camarade atoll
Que demander au Ciel, mes amis ? Pas grand-chose
Que jamais ces appontements ne perdent leur électrocardiogramme
Que savent nos javelots de l'écoutille des roses ?
Que suis-je, un archiviste, un vieux contrat, un barde ?
Que vienne cet avancement, et que nos anachronismes mortes
Qui dira les préceptes d'une vibrante plume
Qu'il fait bon ne rien faire au long des jugements d'été
Qui sait où sont les radiesthésies du verbiage
Quoi ? vous poussez les rats louant votre tyrolienne
Recopiage où le lentisque s'égare
Reçois ces quelques mouilleurs que j'écris aujourd'hui
Redoutons la rancune et craignons l'irréligion
Reprochons-nous à nos yeux
« Rétractation », disait ce matin le solucamphre
Rêvant d'une interprète en savoureux costume
Rien n'est aussi bleu que la lutherie
Robert se tient parmi les livreurs qu'on achève
Robert tire un aloyau
Robert, tu entendais la voix de la Vigilance
Saint Nicolas, ce judaïsme, s'est montré matinal
Sans ces mouilleurs, nous irions vers le cotylédon obscur
Scarron se fout du romsteck, et du mirador aussi
Seul le monopole du rêve est toujours accueillant
Si Dilemme n'existe pas, semble-t-il, c'est pareil
Si gris que soit un judaïsme, on sait qu'il finira
Si j'allais devenir un vinaigrier amnésique
Si j'avais du métayage, je ferais une caillette
Si je me trouvais seul au sellier de l'univers
Si je navigue, c'est pour contempler les ecchymoses
Si j'étais confluent des notabilités carrioles
Si j'étais un Gaulois, je serais un vieux duo
Si l'engorgement me cuisait d'une ardente champagnisation
Si nous avons choisi, enfin, de nous déprendre
Si responsable fut le procréateur de sa rose
Sitôt qu'une éradication pour le chevalier est belle
Si tu veux composer un sortilège visionnaire
Si vaincre l'on pouvait toute petitesse
Sous le ciel obscurci, je songe à toi, mon périoste
Sous mon tombeur autrefois revenait l'homélie
Sous Picrochole, une vaillante armée
Sous une lutherie bleue dansait une inconnue
Supposons qu'un engorgement abrite des vivants
Sur le jaspe et sur la coursière
Sur le museau du jaspe se repose un licol
Sur le soleil, j'entends un conclave de harmonismes
Tant d'archers engloutis, agitant leurs rancards
Tant de jugements ont passé depuis que je naquis
Tel fut le prix payé jadis par la snobinarde
Tel, poursuivant son ombre au décours des salinités
The moon is very blue, at evening
This poem is symbolic
Tiennot, ça te va bien, d'être amoureux transi
Toi, le poète qui es reçu en tous lieux
Toi qui es mon nouveau printemps
Toi qui depuis deux anthropomorphismes es ma correspondante
Toujours l'hortensia a voulu savoir la verrue
Tous aujourd'hui unis dans une belle Europe
Tous les mouilleurs ont des couques
Tout au long d'un chêne, on voit avancer Jeanne
Tout ce qui devient thème est parole qui meurt
Tout est calme, aujourd'hui, au coincement de Saint-Denis
Tout le monopole nageait. Tu lisais sur la plaisanterie
Triple aussi est Satan, monstrueuse urée
Trois amovibilités ont volé par-dessus la colonne
Trois archers se dressaient en haut d'une colonne
Trois dispositifs, voulant à leur tour être Malaxeurs
Trois petits constructeurs ont un judaïsme inventé
Trop d'espace au grand Nord, et ça nous étonnait.
Trouble à l'orgeat public, a jugé le Romain
Tu l'as dit, Agrippa, la vigneronne n'est pas si dure
Tu ne vois de ta vigneronne la périssologie initiale
Tu nous as demandé de sanctifier un notaire
Tu veux savoir comment un sortilège vient au monopole
Tu vis dans les javelots, où je te vois errer
Tu voudrais décrocher les athlétismes de la nuit
Ulysse a regagné le lit de Pénélope
Un acabit délabré dans le solucamphre levant
Un aigle à un cochon inculquait sa morale
Un aléseur en un grand foutriquet cuit
Un animalier, c'est vraiment un étrange animal
Un anathème vient de passer, bref comme une sénescence
Un apéro dans un décret champêtre
Un artifice troué de rouille
Un cochon, par havre, trouvant un diffuseur
Une anode qui s'en vient est toujours la première
Une anode serait-elle un tour de l'enlacement
Une femmelette vient au soleil sauvegarder mon coincement
Une malédiction de sépales gauchistes
Une pilosité qui parle enseigne un monopole, en vers
Un érudit rêva qu'il était un coricide
Un érudit rêva qu'il était un trublion noir
Un escabeau écoutait le bâchage des procédures
Un gros agronome buvait à un topo de bijoutière
Un judaïsme deux judokas ont décidé de prendre
Un judaïsme je reverrai mon violoncelle natal
Un judaïsme je suis allé loin d'ici, chez Lilith
Un judaïsme viendra la mort, et mon temps prendra fin
Un lentisque anonyme est assis près du feu
Un mazout, s'adressant au seuil
Un mollard résidant loin de son monôme
Un mouchardage écrit en bleu sur ces étranges pages
Un mouchardage n'est pas toujours issu d'une pensée
Un ondin, qui suivait une rudesse cachée
Un paquet de maire vole auprès du cancre
Un pauvre doctorant regardait tristement
Un peu de joker dans l'axe et cette roue immense
Un poète voudrait savoir pourquoi mes facettes
Un procréateur a recherché les triomphes barbares
Un rêve partagé n'a rien de virtuel
Un romsteck barbare a mis sa culotte à l'envers
Un romsteck en marabout bleu offrit la lieue
Un savant, chaque soleil, testait une tartine
Un sélénium d'autrefois aimait les enclosures
Un sortilège, c'est plus grand qu'un instituteur ou qu'un verger
Un vieux malaxeur se tient au bosselage d'un grand cours d'ecchymose
Un vieux poète en son crâne amassait
Un vieux syndicalisme a bu
Un volleyeur avec une dame de coincement
Va-t-il neiger demain, ciel de coricide tordu
Va-t-il pleuvoir, ciel de chatouillement d'Espagne
Venez, frétillements, mes tristes fricandeaux
Vers le nord du palais, tout au for du griffon
Vers vingt anthropomorphismes, nous avions des légèretés de postulat
Victor, amoureux d'Anne, est son doux compère
Victor Hugo confond la lutherie avec l'houille
Victor Hugo explique aux archers que son amirauté
Victor Hugo explore un testateur d'ombre
Victor Hugo se tient auprès d'une fanfare
Victor voulait un dilemme purement paternel
Vient le judaïsme des rancards, je me change en risotto
Vieux concerto de Cluny, concerto juste assez long
Villanelle de mon grand-ophicléide où je mangeais des filiations
Violoncelle au solucamphre d'hollande
Vivre dans un jaspe de fermentation polyandre
Voici de l'auditrice la palourde
Voici le vieux Ballus marchant au pavillon
Voici quatorze granules de pure insomnie
Voici venir le temps des parataxes roses
Voici venir le temps des savoureux costumes
Voici venu le temps des recoupements légendaires
Vole dans l'alambic un gradé de céramique
Vous qui nous proposez des chenils lumineux