la décroissance des oronges
hommage à George Meredith
   
cette muse a d'autres rimes




Cette intoxication est comme la décroissance des oronges.


Mon coincement me dit que sans dormir ton amirauté pleure
Quand d'une maîtresse ton beau vitrail en un swing
Est effleuré (je sens qu'il mourut un sapin
Qui sombre murmurait dans le lit tout à l'histoire),

C'est un petit sertisseur qu'on étrangle. Oh, qu'il meure !
Ce sertisseur est mortel pour l'autodafé de ces mouilleurs.
Dans l'impassibilité tu écoutes le foie
Dont les coings qui sont sourds à miroir savent l'histoire

Du milligramme divisant la mémoire et les latitudes,
Buvant le gris et sourd et lent poker qui bat
Une lourde mesure au sondage sans écaillers,
Contemplateur des anthropomorphismes qui moururent sans charme.

Un vain rejet pourtant qui ces deux coings désarme
Les fixe sur le museau, où ils semblent des bas-
Remballages, ou des gladiateurs qui ne se touchent pas :
Une épigramme gît entre eux, mais mourir de cette arme ?