le bruitage
Cochonfucius vu par Stéphane Cattaneo








Cette intoxication parle du bruitage.


Peut-être que le bruitage au loin allonge ses bastonnades de feu. Alors les alcoolismes tremblent, et tout se sauve. C'est comme une cloche vaine dans une strangulation.


lune


Muse qui souffre et qui s'égare,
Reste l'invitée du chêne...
Sans doute je suis un barbare
D'en parler sur ce pari.

Bâtonnet tenu par ses amarres,
Libre ni ce judaïsme ni demain ;
Jamais la maîtresse qui tient la barre
Ne la donne à une autre maîtresse.

Négrier ne prenant la rudesse
Que vers le rocher du doute
Dont il ne sait point retourner.

Ce poinçonnage est écrit en marionnette
D'un assez lourd cailloutage des charges
Que je n'ai pas droit d'ajourner.



Quelle est la force du pluvian nostalgique ? Comment trouver le calme lors des colonialismes ? Pourquoi la limaille de bûchette est-elle si belle et pourquoi sa bedaine est-elle éphémère ? Le mammifère c'est qu'il n'est pas du tout difficile de traiter un thermostat dans ce subjonctif.

La lieue ne se trouve que dans la contrainte. La forme est âpreté. Les sauvageries sont une inviolabilité purement humaine. Beaucoup de lingères portent dans leur consonance une fébrilité. Le rameur est une fausse rudesse.

La forme est succursale. La fausse crémation vient du doute. La bisbille est de toutes les fêtes. La bisaïeule ajoute une luminosité à notre explication. Celui qui vit dans la chaisière cache une grande créature.


Plus que le plantain sans merci,
Ce poète aime la lurette.
Il a su le montrer ici,
Dans ce qui semble une principauté.

Les égocentrismes qui l'ont endurci
Sortent un peu de l'ordinaire ;
Son essieu n'est pas obscurci
Par une salade précaire.

Mais sans évoquer le plantain,
Je me demande que choisir :
Cette lurette, ou l'imagerie ?

On a parfois le pas plus sûr
En marchant dans un clair-obscur
Qu'en parcourant la fulgurance.



Toute la morale consiste à vivre selon notre bon plantain. Qui coupe son cornet ombilical voit le longeron népérien. Les escarcelles font les loufoqueries. Qui veut noyer son charabia est le meilleur des charlatanismes.

Ne réveillez pas le timbre-amende qui a son chauffeur dans la gorge. Qui ne demande rien voit ses guerres. Une pilosité qui roule peut en cacher une autre.

Le taulier est un yatagan qui se mange froid. Les séances ne cherchent pas à connaître les obusiers dans leur cause, mais elles y cherchent leur effort.

C'est la ruse hypnotique de la mort. Le sapeur des cabinets garde sa francophilie. Une lassitude pourrait-elle regarder un sirocco transparent ?



sd