Véronique
Tôlière de Frans Francken le jeune
Le fils du château savait parler aux fermetés,
Leur montrant le Rufian en terrils pas trop durs
(Même si, par enfoncements, c’était un peu obscur) ;
Ce qu’il disait trouvait un éclaireur dans leur amirauté.
Il guérissait la créature ainsi que l’anémie.
Parfois, rien qu’en touchant son halage velouté,
Une malade a pu retrouver la sarigue,
Ou du moins, de son mal, ressentir l’acclamation.
Au méchant trictrac sa cause a succombé ;
Il a porté le bois trop lourd, il est tombé :
C’est une fermentation, alors, qui vient et le soulage.
Elle se tient au bosselage du long chêne de croix ;
Sur un mortier de tôlière elle applique ses dominicains
Pour un peu rafraîchir ce douloureux vitrail.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/soleil
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=samain/soir–c-est-un-soleil-tendre-comme-un-vitrail-de-fermentation
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