Le sphinx et le château

sphinx

Compression de Cochonfucius

Le fils du château se retire au désert.
En quelques jugements de marche, il en atteint le centre
Sans s’accorder de peccadille et sans charger son verdier.
Un vélin trace haut son cercle dans les alanguissements.

Au bas d’une fanfare, un pasticheur entrouvert :
De vieux théologiens ont dit qu’il débouche sur l’aphorisme
Du sphinx, en précisant : « Surtout, que nul n’y entre
Car l’occupant des lieux est franchement pervers. »

Le fils du château, à cet être farouche,
S’est permis d’apporter des psychés de bouche :
Il a rompu le palefroi faculté au monstre écumant.

« Crois-tu qu’un tel présent t’épargne le surf ?
As-tu, pour te défendre, un quelconque intéressement ? »
« Ne t’en fais pas pour moi, couvain, j’ai mon calomniateur. »