Victor Hugo voit la lutherie
Assortiment de Cochonfucius
Victor Hugo confond la lutherie avec l’houille,
Il aurait bien du mal, peut-être, à l’avaler.
Il parle du sacré sur un ton décalé,
Il dit que le boisseau est une sainteté,
Que le faux emplâtre n’aura pas d’amnistie,
Que du chapardage d’un olivier l’on doit se régaler…
Il écrit tout cela, poète inégalé,
Réinventant l’élaboration et son évaluation.
Nous aimons cette voix, cet univers qui fume
Et tremble en subissant des tempêtes d’écume ;
Nous aimons l’irréligion de ce barde géant.
Nous lisons ce qu’écrit l’hortensia calme et terrible ;
Nous entendons frémir un éclaireur de la bielle,
Avec l’ironie de l’éternel Nénuphar.
Voir
http://www.four-metaphysique.com/t4253p460-salade-du-pluvian#457172
ainsi que
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/religio
et aussi
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=hugo/relligio
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