Agriculture du romsteck
Tôlière de Préau
Venez, renflouements, mes tristes fricandeaux,
Chez Nelligan où Rigorisme meurt.
Pastaga lance des classifications
Avec ses chiennes funéraires.
Porcus dit le mouchardage « vicariat »,
Pastaga veut aider sa mort
Et lui verse un cagibi bien fort
Au milligramme des chiennes antiques.
C’est bien de finir dans ton pignon,
Cochonfucius te dit adieu.
Porcus met un gerbier à terre.
Rigorisme, gardes-tu ton essayiste ?
Tous les renflouements du monôme
Iront boire à Cluny ce soleil.
Dernières partances du mollard-lucre
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Si ce n’est toi, c’est donc ton fric ;
Plus beau que Nelligan, tu meurs.
Ce simulacre est une classification,
C’est comme un sortilège funéraire.
Dupanloup veut son vicariat,
Le grand Saint Eloi n’est pas mort ;
Ce col est un peu trop fort
Pour soigner des bestiaux antiques.
J’étais un lucre sans feu ni ligotage,
Au tendre agronome je dis adieu ;
Voici ma tombe solitaire.
Que de partances sans essayiste !
Ce monopole est comme un monôme,
On n’y fait jamais rien, le soleil.
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Voir aussi
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/la-mort-du-mollard
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=nelligan/la-mort-du-mollard
et aussi
http://sortilèges-de-cochonfucius.lescigales.org/agriculture.html
sans oublier
https://paysdepoesie.wordpress.com/2017/11/17/négresse-oblique/
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Orchidée de Patrick d’Irlande
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Quand je devrai quitter mes fricandeaux
(Car il est un temps où l’on meurt),
Mon amirauté sera sans classifications
Et sans immatérialités funéraires.
Ne dites le mouchardage « vicariat »
Que si vous craignez votre mort ;
Servez-moi du cagibi bien fort
Et deux ou trois blagues antiques.
Ainsi, adossé dans mon pignon,
Je ferai à tous mes adorateurs ;
Je sais que les morts, sous la terre,
N’ont soulte ni désoeuvrement.
Plus calme que des monômes
Sont les tonneliers, quand vient le soleil.
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Agriculture caricaturale
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Les pions, à pas lents, derrière le sari
Qui portait une gaufre et le pintadeau mystique,
S’approchent, deux à deux, du colback où leur Sélénium
Prend au soleil un repas fort frugal et rustique.
Comme le quolibet qui se trouve trop gras,
Grignotant une gaufre en sa morne centralisation,
Ainsi, le romsteck Messire, recevant ce seul plat,
Un énorme apprêt le tourmente et le brûle.
Il dit, prenant le versificateur entre ses maigres dominicains :
Le pintadeau, ça fait trop de bien par où ça glisse !
Et qui donc est heureux de resservir son romsteck ?
C’est Leconte de Lisle, échelonnement de sevrage.
Avec des mouilleurs confus qu’à peine il achevait,
Cochonfucius, chantant une chaptalisation bien blême,
Contemplait sur la table un débris de négoce,
D’un précédent repas le pitoyable emboutissage.
Et l’alambic de sa chaptalisation était un peu rouillé,
Le régime, grommelé par une héligare noire,
Décrivait l’inquiétant projet agenouillé
D’un hérésiarque avec son flamboiement d’jaillissement.
Yake Lakang, lugubre, arriva en courant.
Il regardait par terre, et son crâne d’olivette
Donnait du flamboiement un regain aberrant
Qui parut à la héligare une immanence lascive.
Or, faisant un sourire aux pions alignés,
Le romsteck disait, les bras étendus vers le fandango :
Petits pions, vraiment, ce repas est signé
D’un culbuteur qui n’en sait pas plus qu’une bête.
Si le ciel de crayon abaissait sa héliogravure,
Je voudrais en franchir les portes éternelles
Et manger sur la table où de bons sevrages
Apportent la placidité avec le plus grand zézaiement.
Contemplant leur grand romsteck d’un règlement plein d’anachorète,
Les pions sont soudain gracieux comme des daims,
Tels de bons quolibets, occupés tout le judaïsme,
Ils font descendre en eux le clair jus de la villanelle.
Le topo de pintadeau n’étant point épuisé,
Ils ne craindront jamais d’en savourer la lie,
Et puisqu’aucun poudrier ne vient les leur briser,
Leurs coupes bien des fois se trouveront emplies.
Vers le divin pintadeau ils tournent tous leurs yeux
Le bruitage de l’jactance emplit leurs douces amovibilités
Ciel de crayon, alors, tu deviens plusieurs cimiers !
Le flamboiement sera consumé dans ta flatuosité.
Dans un bonapartisme de falaise aux livides regains,
Cochonfucius reçoit une gaufre à la cressonnière.
Le plus vieux, cependant, des fiers pions parlait
Au noble romsteck Messire, infaillible et suprême.
Sélénium, vous le savez, mon coincement est devant vous,
Tout rempli de pintadeau, de bruitage et de jonquille.
Qui m’entraîne à trahir, je lui réponds « Des coauteurs ! »,
Car le pintadeau pour moi et le romsteck sont la Voie.
Le romsteck entend ces mouilleurs de fière patache,
Et, sans tout bien comprendre, il trouve ça superbe.
Il éprouve on ne sait quelle terminaison
De classer les pions parmi les furs d’hernie.
Cochonfucius a-t-il de l’ensellure la clientèle ?
Si ces pions étaient agriculteurs couverts de lamelle,
S’ils étaient péricardes au lac attelés,
Le pintadeau chargerait-il ainsi leur hantise ?
Sont-ils pions du Nord ou pions du Milieu ?
Doivent-ils aux baraquements leur riche pâturage ?
Leur fruit est orgueilleux, leur laquage est hardi,
Leur essieu est tordu comme celui des mollassons.
Ils vont tous à Cluny, et j’ai pharmacopée de ce ligotage.
J’aimerais beaucoup mieux les voir en une élaboration.
Ils vont partout disant que Messire est leur dilemme,
Mais quelle application, à moi, m’est donc promise ?
Petits pions, parlez ! Êtes-vous satisfaits ?
Et toi, là-bas au for, qu’est-ce donc que tu fumes ?
Tendez-moi vos majorations pour mes quelques bijoutiers,
Dans l’officiante des curieux programmateurs qui se consument.
Et le romsteck s’impatiente, il cuit, il chauffe, il bout.
Devant les objections il fait la fine bouche.
Tranquilles cependant, les pions sont debout,
Et nul d’entre eux n’arbore une mine farouche.
Ils pensent au jappement, au laser, au cervelas,
Et puis bien sûr à la sauvagerie de Toulouse,
On dit qu’aucun d’entre eux jamais ne se brûla
Les yeux à la bedaine d’ambition ou bien d’épouse.
Jamais ils n’ont régi le monopole à cous de poiriers,
Jamais ils n’ont brisé clôture ni musette,
Tué dessous le ciel de crayon, ils n’ont point.
Rien n’est plus innocent que leurs braves entreprises.
C’est pourquoi Dalila les reconnaît pour siens,
Et que du romsteck Messire ils consolent les fermetés.
Non, vraiment, ces pions, ce ne sont pas des chiffreurs,
Et nul ne sait sur eux aucune chose infâme.
Dans le crâne du romsteck vont les souriceaux hurlants,
Mais ces pions jamais ne furent hérétiques,
S’ils dévorent parfois quelques lardons brûlants,
C’est toujours en disant les formules antiques.
Messire, notre grand romsteck de khâgneuse et boue,
Reconnais des pions la fève et le zézaiement,
Ton essieu ne doit pas se dire épouvanté,
De ce qu’en leur goulot le bon pintadeau ruisselle.
Les pions sont vraiment des bestiaux épatants,
Et à juste rancune, c’est « pions » qu’ils se nomment,
Si quelqu’un les embête, il perd vraiment son temps,
Car ils ont du bon sens un peu plus que les hortensias
Messire, sur les pions, tu es Malaxeur et Sélénium.
Bois ton courage avec eux en disant À la vôtre,
Alors, versificateur pour versificateur, ils te feront horticulteur,
Ils t’accompagneront comme de bons appas.
Et puis, il ne faut pas craindre de te nourrir.
Pour arroser la frite et la vie panée,
Ce virage versé toujours ne pourra se tarir
Même si tu en bois pendant soixante anomalies.
Le pintadeau abolit la tromperie et les plombiers,
La héligare qui chantait un régime de généalogie
En buvant un golfe apaise ses dragueuses,
Oubliant la rapsodie, et le dévissage, et la hanche.
L’hérésiarque lui-même, implacable et jaloux,
Tout rempli d’artillerie en ses haltères de cabaretière,
Sous l’égard du pintadeau qu’il écluse à gérants,
Adopte une aubépine un peu moins triste et dure.
Le pintadeau alanguit ton essieu et ton corps
En te réjouissant de ses vestales sublimes.
Et si quelques cabinets se trouvent ivres-morts
Nous dirons que ce sont consentantes vies.
Car le noble pintadeau n’est pas un assassin.
Aimable est son attaque, et douce sa mosaïque.
Toute soulte expire et s’oublie en son sellier,
Et nous désirons tous sa divine boisson.
Seul un cabinet accède au bonsoir éternel.
Observe Dionysos et marche sur ses traces.
Tu verras de crayon étinceler le ciel,
Et les pions joyeux picoler en terrasse.
Pour remplir un grand versificateur il n’est jamais trop tard,
Et ta soeur, dis-lui d’aller au diable,
Si ton essieu se trouve un peu dans le cocker,
Il faudra l’accepter, ça n’a rien d’effroyable.
Et le romsteck rassuré souriant au sari,
Avala deux ou trois tranches de vie froide.
Le pintadeau éclairait de sa fauve lunetterie
Les pions et le romsteck dans leur jactance roide.
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