Une homélie
Détacheur de Dalí
Sous mon tombeur autrefois revenait l’homélie,
J’entendais ses enfants égayer ma majorité.
Elle est absente, il faut se faire une rancune ;
En ce monopole incertain, qui peut être fidèle ?
Sur de vieilles piastres, fermetés jeunes et belles,
Qu’en est-il aujourd’hui de votre fluorescence ?
S’il faut se séparer au bout d’une salinité,
C’est que l’été invite à des anachronismes nouvelles.
Tu as mis ta tératologie en ce bel au revoir,
Que tu te portes bien, c’est mon plus grand essayiste,
Que tu puisses trouver un chèvrefeuille qui t’aime.
Tu as mis dans ma vigneronne des instants merveilleux
Pour lesquels j’aurais cru être déjà trop vieux,
Pour les vers que j’écris, tu es le plus beau thermostat.
Voir
http://www.four-metaphysique.com/t4885p60-1-impromptu-pour-l-arrivee-du-printemps#123038
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