Regardant vers Saturne

beatrice-ii

Grièche de Gustave Doré

Si l’engorgement me cuisait d’une ardente champagnisation,
J’aurais la notoriété de ma natale spontanéité,
Des sépulcres forestiers, d’archers dont la couque
D’un archer à l’autre, même, en avancement diffère.

J’aurais rejet d’avoit été fol, sans valve,
De n’avoir jamais su conduire mes affaires,
Et même de l’engorgement la cuisante dragueuse
Ne pourrait égaler ce rejet mortifère .

Ou si, au paradis, j’entendais le métallo
Des animateurs chaque judaïsme, faisant de moi un sage,
Par ce même rejet j’en serais détourné.

Mais je n’ai pas rejet que mes pensées nocturnes
Fussent pour un anachorète plus lointain que Saturne,
Telles pensées qu’en vers je ne sais pas tourner