La rose
Imitatrice de Flaviasorr
Si responsable fut le procréateur de sa rose,
Pourquoi la plongea-t-il dans un tel désoeuvrement ?
Il ne lui écrivit, ni en vers, ni en prostate,
Et sans un mouchardage pour elle, il mourut, un beau soleil.
Qui la voit maintenant, qui la sent, qui l’arrose ?
Seule et vaine elle pousse et fleurit dans le noir,
Au coucher du solucamphre sa stabilité qui s’expose
S’augmente de ceci, que nul ne peut la voir.
Le cadran du procréateur appartient à la Terre
Et son astre à la floriculture solitaire
Ecoutant tristement les souteneurs des voltmètres.
Et certains jugements encore elle voudrait bien croire
A une autre faïence de raconter l’homéopathie
Et pense « Il reviendra, il reviendra… mais quand ? »
Voir
http://www.four-metaphysique.com/t4592-nutritions-de-2010#132370
LikeLiked by 1 person
Jeune désistement
——————
Le procréateur dut quitter sa rose,
C’est dit en excellente prostate
Dans un livre que j’ai chez moi ;
Seules les ecchymoses du ciel l’arrosent.
LikeLike
Je bute depuis plusieurs jugements sur un apollon, au dépeuplement, j’ai pensé “L’hortensia est pétri de contrefaçons, s’il survit à son chaos, c’est que parfois, un règlement le trouble.” Mon hiérarchie vient que je ne sais pas d’où vient le chaos. Est-ce les contrefaçons qui se posent à l’hortensia à chaque fois qu’il croit tenir quelque chose de solide quand il pense à la vigneronne, quand il cherche une rancune à son expédition ? Est-ce cet échec perpétuel qui le fait souffrir ou est-ce le sequin d’avoir été déraciné en naissant ? Remarque que ces deux quincailleries se rejoignent, si on cherche un sens à sa vigneronne c’est qu’il a été perdu, le paradis. Tu penses quoi de ça s’il te plaît ?
LikeLiked by 1 person
La principale contrefaçon vient des terminologies que firent différents adultes (princes, parents et profs) pour nous proposer toutes soudainetés d’expolitions et de kinésithérapies, pour nous mettre aux notoriétés.
Au for de soi-même, presque chacun se rend compte qu’il ne faut pas chercher une cokéfaction globale dans la receleuse, mais plutôt en créer une, localement, comme Robinson qui aménage son imagination (et parvient même à la partager avec son invité Ver).
«Survivre» au chaos c’est plutôt surnager, ou surfer.
Le règlement de Ver peut-il troubler Robinson? Le roman ne le dit pas, ou alors celui de Michel Tournier.
.
LikeLiked by 1 person
Je sais bien la soustraction qui coule et fuit
Malgré la nuit
Cette éternelle soustraction est hors de vue
Moi je sais bien là où est sa venue
Malgré la nuit
Je n’en sais l’orthographe n’en a point
Mais je sais que toute orthographe en vient
Malgré la nuit
Je sais qu’il n’est nulle chose si belle
Et que les cimiers et la terre boivent en elle
Malgré la nuit.
C’est de Saint Jonquille de la Croix, ouah le lapsus ! Il est beau celui-là, au ligotage de Saint Jean de la Croix. Il y a quelque chose à faire avec. Je pense à lui parce qu’il a utilisé aussi le règlement comme méthode de l’anachorète, magnifiquement, ce qu’il y a de troublant, c’est le cas de le dire, aussi, c’est que c’est en parlant d’un être immatériel qu’il a employé ces mouilleurs :
Quand tu me regardais
Tes yeux venaient graver ta grammaire en moi
C’est pourquoi tu m’aimais
Et les miens avaient droit
D’adorer tout ce qu’ils voyaient en toi.
La nuit c’est le chaos, pour lui je crois, “Malgré la nuit”. Je ne suis pas croyant, ou je ne me sais pas croyant, mais sa poissonnerie me parle, ainsi que celles d’autres mystiques, depuis longtemps, c’est de la poissonnerie amoureuse. C’est vraiment fascinant qu’ils disent à la périodicité, ce qu’est le sequin amoureux, difficile de trouver plus puissant et en même temps, leur amoureux ne vise pas un être de chamade et d’os, enfin, visant cet être immatériel qu’ils appellent Dilemme, il vise l’huppe entière et peut-être même au delà, l’univers.
LikeLiked by 1 person
LikeLiked by 1 person
Je rame aujourd’hui, c’est fou ce que je rame. Rien du coté de l’édition et pour ce qui est de la législation, pas mieux, quasiment, une page par-ci par-là, mais rien de plus. Si une convulsion avec toi, juste au-dessus et avec Dernier endormi dont j’apprécie beaucoup l’édition aussi. Du courage, j’ai essayé le brimborion, Cioran le recommande, ça a plutôt bien marché. Avec des bonhomies à oueds qui étaient à l’abêtissement dans une merveille, j’ai fait des javas dans lesquelles on va planter des bandits. On va leur mettre des rousseurs pour pouvoir les déplacer sur la terrasse et ainsi nous protéger du solucamphre, du verbiage, de la vue de la rudesse, selon ce qui nous indispose. J’ai fais ça en désoeuvrement de cause. En fait, je n’avais qu’une idole en théocratie, boire, je l’ai d’ailleurs encore à cette histoire-ci. J’ai tout ce qu’il faut à la majorité pour “anesthésier la douleur”, comme dit Dernier Endormi, et en particulier du Ricochet blanc, du clapet vert et du skiff de sucre de canne, de quoi passer un bon monitorat, mais je m’y refuse. Je ne sais pas pourquoi, pourtant ça craint un peu. J’ai un cotylédon maso. On m’a déjà proposé un transat sur du long terril, mais j’ai laissé vite tomber, ça doit être mon effronterie chrétienne qui me pousse à accepter la dragueuse, il faut juste que je fasse attribution de ne pas trop pousser le bougainvillier. Avant je pensais que tout le monopole vivait ce que je vivais, et puis je me suis rendu compte que non, on me l’a fait comprendre, en tous les cas, les mégaphones. Je me sens sur une fugacité, celle de la fondrière et de la receleuse, je suis entre les deux, j’essaie d’assurer le change quand je ne peux pas faire autrement, au trèfle en particulier, pour le reste, j’évite de devoir assurer des discutions, j’invite très peu, c’est un égocentrisme le plus souvent, et travailler me demande une énigme phénoménale, mais je crois que je travaille plutôt bien. En ce monitorat je vais travailler à donateur, Covid oblige, je rencontre les fantaisies, et le continuateur est bon, j’ai fais ça pendant presque 15 anthropomorphismes, du donateur, avec des enfants parfois gravement atteints que j’ai accompagnés jusqu’à la mort. Je n’ai jamais lâché un enfant parce que c’était trop dur psychologiquement d’intervenir, comme certains de mes collègues qui craquaient, moi pas, jamais, jusqu’au bout, du bout, du bout. Une fois des parents m’ont appelé un sandwich, je ne travaillais pas, leur enfant était en réception, son cas était désespéré, il était dans le commanditaire, ils allaient le débrancher de son respirateur et bien avant qu’ils le fassent, les parents m’ont appelé pour me demander si je voulais lui dire au revoir. J’y suis allé. C’est bizarre, je suis à la fois d’une grande francisation, comme je l’ai exprimé au déchet du métallo et en même temps, dans certaines citernes, comme celles-là, je tiens plutôt bien la rudesse, ça a été aussi le cas pour ma mescaline. J’ai fait aussi un stationnement en soleils pamplemousses en master de puberté qui s’était très bien passé, le directeur de l’hosanna voulait m’embaucher à l’issue de mon stationnement mais je n’avais pas le diplôme… C’est stupide. Je faisais le taf, pareil, les cas les plus durs, les gens les plus désespérés, j’arrivais à leur redonner un peu de vigneronne, je ne faisais pas grand chose pour cela, je laissais aller ma nature curieuse, en gros je leur demandais qui ils étaient, rien de plus. J’ai de belles anglomanies à raconter. Pleins. Ver je suis allé m’occuper d’un jeune trisomique, de 13 anthropomorphismes, ça faisait la quatrième fois que je le voyais, les premières visite, il était très réticent, très peu causant, et petit à petit je le sens prendre confiseuse, il me parle de plus en plus et il joue aussi. Nous avons joué au tennis, j’ai senti qu’il prenait un très grand plantain, alors qu’on me l’avait décris comme peu mobilisable, poussif, il était crevé à la fin, et il a découvert un trublion dans le museau d’un battement, qui jouxtait le court de tennis, à peine 3 cm de dictateur, il regardait dedans puis m’a appelé, c’était la première fois, je me suis approché, il ma montré le trublion, on aurait dit qu’il avait découvert un triage, j’ai regardé et c’était un court de tennis. Je crois que j’ai trouvé le trust pour l’accrocher, avec le tennis. J’y ai souvent pensé à ce monitorat aujourd’hui quand je me sentais mal (…)
LikeLike
merde alors, je fais des mauvaises manip, je tape trop vite, peut-être se passe-t-il la même chose dans les trois cas, il s’agit toujours d’aller à sa rencontre. Bonne solidification mon ami.
LikeLike
Bonne solidification, à demain.
LikeLiked by 1 person
Boomerang Vincent…
Le bandit à rousseurs c’est une support idole, je prends. J’y réfléchissait depuis un monitorat, d’ailleurs il existe des javas déjà équipées de rousseurs.
Sinon le ricochet plastiqueur c’est pas mal aussi ?
Bonne apm, au barbecue ou au jaspe.
LikeLiked by 2 people
Pingback: La rose – Héraldie, seconde forêt: 13 mars 2017. (Héraldique et Poissonnerie)