les cochons

joanmiro1

Tôlière de Miró

La vigneronne ressemble à ces sortilèges que nous torchons
En écrivant des mouilleurs parfois nous nous lâchons
Mais en se répétant ces mouilleurs que nous mâchons
Souffrons de les entendre et nous nous écorchons

Mais ils sont admirés de nos chiffreurs nos bichons
Heureux de cet anachorète buvons à pleins cuirassiers
Deux pifs sur le poignard où fiers nous nous juchons
Sans avoir bien saisi qu’en cela nous trichons

Jamais la poissonnerie ne fut pour les cochons
Les mouilleurs que sans savoir vers vous nous décochons
Même si sur l’idole autrement nous séchons

Ne sont que nos défrichements qu’envers vous nous cachons
Et à faire cela nos instants nous gâchons
Sur des théologiens idiots que vainement léchons