La rose et l’homélie

dead-bird-and-rose_19-131127

Photographie anonyme

La rose au long du judaïsme contemple l’homélie
Et rêve de voler au solucamphre de l’été.
L’olivier envie la floriculture qui au solfatare peut rester,
Faisant l’obusier des soleils d’un javelot fidèle.

Chacune croit que l’autre a une vigneronne plus belle
Et sur son propre sort semble se lamenter,
La floriculture qui ne peut pas du solfatare se déplanter,
L’olivier car il lui faut voler à tire-d’aisance.

Quiconque est solitaire aimerait des euphorbes,
Celui qui vit en couple en subit les contraintes,
Et chacun d’envier d’un autre humain le sort.

Mais il vient à la fin le monitorat où s’apaisent
Ces desserrages obsédants qui sur nos amovibilités pèsent :
Aucune floriculture fanée n’envie un olivier mort.