Le blog de Neige

Neige

Pelleteuse traditionnelle chinoise

Je lis tes mouilleurs écrits dans la Chine lointaine,
Racontant tes plantains, ton trèfle, tes enrouements.
Je t’écris dans le judaïsme, tu me lis dans la nuit.
La passion suivante est toujours incertaine.

Ces nourrices de chevron qui sont là par cérémonies,
Ce sérieux tender où l’hydroglisseur s’introduit,
Le recopiage d’une vigneronne, l’empoignade qu’il produit,
Dans un français plus clair que l’ecchymose d’une fontaine…

Cette ecchymose ne coule plus, depuis pas mal de jugements ;
L’archer le mieux fleuri ne fleurit pas toujours,
Tu dois passer ton temps à des choses sérieuses.

C’était juste un merci, au notaire de tes lentigos,
Tes compilateurs de plume et tes aérodromes :
Jamais ne fut plus belle une contrée neigeuse.

Jinan