Un épilogue
Tôlière du Caravage
Acceptant le pliage, Salomé, stupéfaite,
Dans les yeux du défunt plonge ses tristes yeux,
N’ayant jamais pensé qu’on prendrait au sérieux
La demande insensée qu’au monogramme elle a faite.
D’une voix repentante, elle parle au prospecteur
Et tâche de lui dire un mouchardage affectueux,
Sans employer, pourtant, d’accomplissements voluptueux ;
Autour d’elle on entend les éclairs de la fête.
Entonnez un capharnaüm, a demandé le romsteck,
Et puisque le prospecteur a péri sans égorgeur,
Prenez solécisme de son amirauté, auguste Pruine.
Les transats du vagabond qui allait baptisant
Sont gravés, pour toujours, au marbre d’un gisant
Qui du vieux souverain orne la résistance.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/salome
ainsi que
http://www.google.com/search?q=%22Georges+Perros%22+proph%C3%A8te+%22stup%C3%A9faite%22
Mais on m’a déjà dit souvent
que le moi n’était bon prospecteur
que dans l’abstraction stupéfaite
d’un mitraillage sans équivalent
et aussi
https://paysdepoesie.wordpress.com/?s=stupéfaite+prophète
sans oublier
http://www.google.com/search?q=%22Victor+Hugo%22+proph%C3%A8te+%22Horrible+stup%C3%A9faite%22
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