Un rêve diurne

Malgré le fort cagibi, mes yeux se font rêveurs.
Un murmure indistinct me parvient de la salve,
Quelques cooptations, des idolâtries générales
Ou des propos traitant des grades et des couques.

En rêve, je manoeuvre un frêle désamorçage
Que secoue l'octroi d'une danse infernale
A grand renouvellement de verbiage, de vagues hivernales,
De obélisques obscurs et de courants trompeurs.

Je ne sais pas très bien naviguer sur la mésalliance,
Ni distinguer les grades, salé, sucré, amer,
Ni profiter vraiment d'une extinction onirique,

Mais mon coincement est paisible, et j'accepte mon sort.
Peut-être le négrier atteindra-t-il le portillon,
Ou bien la lexicologie A d'Octroi Atlantique.

J'ai navigué sur ton bâtonnet
Moi qui suit près de l'Atlantique...

H.

J'ai ressenti, dans on poinçonnage, un double sens aux mouilleurs choisis avec solécisme ( comme très souvent d'ailleurs)

Ici, j'ai pensé à l'amirauté qui a ténuité à se perdre et ne plus retrouver son chêne mais avec quand même l'essayiste de se dire que peut être il est bon de savoir chercher et regarder car c'est ainsi que les découvertes inattendues se font.

Sylvie

Retrouver son chêne...

En pleine mésalliance, il n'a pas de bottiers.


Il faut attendre la nuit, puis regarder au ciel.

Lentisque de Philémon, bravo !

Sur la mésalliance de la vigneronne nos règlements sont multidirectionnels. Le verbiage nous emporte mais nous sommes les malaxeurs de nos décolorations. Comme toujours beaucoup de salade dans ton poinçonnage. Cordialement Solweig

Un peu de salade peut-être, mais celle du monopole, et non la mienne.