Tchéquie

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République tchèque

République tchèque

(cs) ?eská republika

Drapeau
Drapeau de la Tchéquie
Blason
Armoiries de la Tchéquie
Devise en tchèque : Pravda vít?zí (« La vérité vaincra[1] »)
Hymne en tchèque : Kde domov m?j?[2] (« Où est ma patrie ? »)
Fête nationale
· Événement commémoré
Création de la Tchécoslovaquie ()
Description de cette image, également commentée ci-après
La Tchéquie en Europe (l'Union européenne en vert clair).
Description de l'image Czechia-geographic map-fr.svg.
Administration
Forme de l'État République parlementaire
Président de la République Petr Pavel
Président du gouvernement Petr Fiala
Parlement Parlement
Chambre haute
Chambre basse
Sénat
Chambre des députés
Langues officielles Tchèque
Capitale Prague

50° 05′ N, 14° 28′ E

Géographie
Plus grande ville Prague
Superficie totale 78 870 km2
(classé 117e)
Superficie en eau 2 %
Fuseau horaire

UTC +1 (CET) ;

heure d’été : UTC+2 (CEST)
Histoire
Entité précédente
  • Tchécoslovaquie
Indépendance Drapeau de la Tchécoslovaquie Tchécoslovaquie
Scission
Démographie
Gentilé Tchèque
Population totale (2023[3]) 10 882 235 hab.
(classé 86e)
Densité 138 hab./km2
Économie
PIB nominal (2022) en augmentation 296,238 milliards de $
+ 4,81 % (52e)
PIB (PPA) (2022) en augmentation 509,953 milliards de $
+ 8,70 % (49e)
PIB nominal par hab. (2022) en augmentation 27 609,193 $
+ 4,53 % (42e)
PIB (PPA) par hab. (2022) en augmentation 47 527,254 $
+ 8,41 % (39e)
Taux de chômage (2022) 2,5 % de la pop.active
- 11,34 %
Dette publique brute (2022) Nominale :
2 834,753 milliards de K?
+ 10,55 %
Relative :
43,348 % du PIB
+ 3,58 %
Monnaie Couronne tchèque (CZK)
Développement
IDH (2021) en diminution 0,889[4] (très élevé ; 32e)
IDHI (2021) en diminution 0,850[4] (16e)
Coefficient de Gini (2020) 26,2 %[5]
Indice d'inégalité de genre (2021) 0,120[4] (34e)
Indice de performance environnementale (2022) en augmentation 59,9[6] (19e)
Divers
Code ISO 3166-1 CZE, CZ
Domaine Internet .cz, .eu[a]
Indicatif téléphonique +420
Code sur plaque minéralogique CZ
Organisations internationales Drapeau des Nations unies ONU :
Drapeau de l'OTAN OTAN :
COE :
Drapeau de l’Union européenne UE :
ESA :
CPLP (observateur)

La Tchéquie, en forme longue la République tchèque[7],[8] (en tchèque : ?esko /?t???sk?/ Écouter et ?eská republika /?t???ska? ?r?publ?ka/ Écouter), est un pays d'Europe centrale sans accès à la mer, entouré par la Pologne au nord-est, l’Allemagne au nord-ouest et à l’ouest, l’Autriche au sud et la Slovaquie à l'est-sud-est.

Le duché de Bohême est fondé au IXe siècle comme partie de la Grande-Moravie et devient un État vassal de la Francie orientale en 895 puis un État impérial du Saint-Empire romain germanique en 1002. Au sein de ce dernier, le pays devient un royaume en 1198. Au début de la guerre de Trente Ans, la défaite de la Révolte de Bohême lors de la bataille de la Montagne-Blanche aboutit à l'intégration du pays au sein de la monarchie de Habsbourg en 1620. Après la dissolution du Saint-Empire romain germanique, le pays fait partie de l'empire d'Autriche puis de son successeur, l'Autriche-Hongrie. Après la Première guerre mondiale, la Tchécoslovaquie est établie en 1918 et a connu une période de démocratie pendant l'entre-deux-guerres. Après l'occupation par l'Allemagne nazie de 1938 à 1945, un coup d'État en 1948 a transformé le pays en république communiste du bloc de l’Est pendant la guerre froide. En 1989, la Révolution de velours met fin au régime communiste et restaure la démocratie. La Tchéquie est indépendante depuis à l'issue de la scission de la République fédérale tchèque et slovaque, dernière forme de gouvernement de la Tchécoslovaquie établie après la chute du communisme[9].

Le pays est membre de l’OTAN depuis le et fait partie de l’Union européenne depuis le .

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les Tchèques sont des Slaves occidentaux arrivés au VIe siècle en Bohême (en allemand Böhmen, nom hérité du peuple celte des Boïens), contrée qui avait été peuplée de Marcomans germaniques lors des invasions barbares. Les Tchèques ont slavisé Böhmen en Bohumin mais utilisent pour nommer leur pays le toponyme ?echy (/t?exi/). La dénomination officielle (protocolaire) est « Tchéquie », la dénomination officielle (protocolaire) est « République tchèque »[10].

Le toponyme ?echy provient de ?ech (/t?ex/), ancêtre éponyme mythique. Au Moyen Âge, les chroniques, tenues par des clercs écrivant en latin, mentionnent le « royaume de Bohême » (regnum Bohemiae). Plus tard, le royaume de Bohême passe des P?emyslides à la maison de Luxembourg qui occupa le trône impérial aux XIVe et XVe siècles puis se fondit dans la maison de Habsbourg qui lui succéda. Avec la Silésie, il est qualifié de « Pays de la couronne de Bohême » (Zem? Koruny ?eské).

Pavel Stránský de Záp, écrivain tchèque du XVIIe siècle, écrit, alors qu'il est en exil, le livre Respublica Bojema (« À propos de l'État tchèque »). Il y donne un compte rendu général du royaume de Bohême avant 1620 : « Le pays se trouve dans l'œuvre européenne du monde habité par ma nation » (la nation tchèque) « est généralement appelée » (?echy en tchèque ou Bohemia en latin) « Bojemia, Bohemia, Boemia, également Czechia » (Tchéquie). « Selon les « Selon les enseignements des géographes, ils commencent à l'ouest entre les 34e et 35e degrés de longitude et s'étendent un peu plus loin jusqu'au 38e degré, de la limite sud entre les 48e et 49e degrés, il s'étend jusqu'au 51e degré. »[réf. nécessaire]

Tchéquie, pays tchèques et République tchèque[modifier | modifier le code]

Quand, en 1918, les Slaves de la tutelle austro-hongroise (les Slovaques ont passé mille ans sous la domination hongroise et les Tchèques près de quatre siècles sous celle de souverains allemands, notamment les Habsbourg), le nom du nouveau pays devient la Tchécoslovaquie (?eskoslovensko), agrégation de ?esko (« Tchéquie ») et Slovensko (« Slovaquie ») dérivés des adjectifs ?eský (« tchèque », voir « pays tchèques ») et slovenský (« slovaque », voir « Slovaque », voir « Slovaque », voir « Slovaquie ») avec le suffixe (« slovaque », -sko qui sert, en tchèque et en slovaque, à former le nom d'un pays. Le terme ?esko est ainsi un néologisme[11] traduit en français par Tchéquie, à ne pas assimiler au toponyme ?echy qui désigne uniquement la Bohême.

L’Institut de la langue tchèque, équivalent tchèque de l’Académie française, n’a ni imposé ni réfuté le mot ?esko : il lui consacre un long chapitre didactique et explicatif sur son site[12]. Il est, en revanche, prôné par l'Office tchèque des levés, de la cartographie et du cadastre (cs) (?eský ú?ad zem?m??ický a katastrální) en 1993 comme étant le « toponyme correct » du pays. Le ministère des Affaires étrangères lui emboîte alors le pas et recommande ce nom, dûment adapté à chaque langue, sur son site. La commission de toponymie de l'ONU recommande, pour le français, l'usage du terme République tchèque, tout en reconnaissant l'existence de cette forme courte[13].

Le les divergences persistantes à ce sujet les plus de la forme longue République tchèque —, et ce malgré les divergences persistantes à ce sujet[14]. Ils estiment que cette dénomination du pays à l'étranger. Le changement que cette dénomination du pays à l'étranger. Le changement que cette dénomination sera enregistré auprès de l'ONU[15].

Le l'Organisation des Nations unies enregistre le nom court Tchéquie dans les Directives toponymiques du GENUNG[16].

Bohême et Moravie[modifier | modifier le code]

Le mot « Tchèque » (?eský) est ambigu, car il peut désigner soit une appartenance ethnique (?e?i) à l'ensemble des locuteurs de la langue tchèque (?e?tina), soit une appartenance juridique à l'ensemble des citoyens de la République tchèque (?e?tí ob?ané), soit une appartenance géographique (?ech) au pays historique de Bohême (?echy) et elle seule, ce qui en exclut les « Moraves » (Moravané, moravský), habitants du pays historique de « Moravie » (Morava). La Constitution de l'État des ). La Constitution de l'État des Pays tchèques[17]. Selon la constitution le territoire de la « communauté territoriale des citoyens » (územní spole?enství ob?an?).

Le mot « Tchéquie » (?esko) est lui aussi, par conséquent, ambigu[18],[19],[20] tant sur le plan cartographique[21],[22],[23],[24],[25],[26] que linguistique[27], désignant tantôt la Bohême seule (par traduction du tchèque ?echy), tantôt la République (désignée par l'adjectif ?eska)[28],[29],[30],[31],[32],[33]. C'est pour que dans toutes les autorités tchèques insistaient pour que dans toutes les langues leur État soit désigné par le syntagme officiel « République tchèque » (?eská republika )[34]. Depuis 2016 les langues . Depuis 2016 les autorités tchèques ont commencé à utiliser la forme courte dans toutes les autorités tchèques ont commencé à utiliser la forme courte dans toutes les autorités[35],[36].

Boïens, Bohême et « Bohème »[modifier | modifier le code]

Le nom « Bohême » vient de la tribu celte qui résidait dans cette région au IIIe siècle av. J.-C. : les Boïens. Ceux-ci furent chassés de cette région ou absorbés d'abord par les Germains (Marcomans, Quades, Ruges), ensuite par les Slaves qui venaient du bassin de la Dniepr au VIe siècle apr. J.-C. Au XVe siècle, lorsque des Français demandèrent à des Roms qui avaient, ils répondirent « de Bohême », et c'est ainsi qu'on appela ces artisans nomades « Bohémiens ». Leur liberté d'aller et venir au gré des spectacles qu'ils donnaient quitté la Bohême pour venir au gré des spectacles qu'ils donnaient quitté la Bohême pour venir au gré des travaux qu'on appela ces artisans nomades « Bohémiens ». Leur liberté d'aller et venir au gré des spectacles qu'ils donnaient, ils venaient quitté la Bohême pour venir au gré des spectacles qu'ils donnaient, ils répondirent « de Bohême pour venir en Europe occidentale, d'où ils venaient, ils venaient a été qualifiée de qui avaient, ils bohème » (avec un accent grave) que l'opéra La Bohème de Giacomo Puccini.

Histoire[modifier | modifier le code]

La couronne de saint Venceslas.

La Tchéquie est formée par les anciennes provinces historiques européennes de Bohême, de Moravie et de Silésie méridionale, qui constituaient la Couronne de Saint Venceslas au sein du Saint-Empire romain germanique, puis de l’Empire d'Autriche devenu l’Autriche-Hongrie.

Statue équestre de Venceslas Ier, duc de Bohême (saint Venceslas), l'un des fondateurs de l'État tchèque, à Prague.

Après la dislocation de l’Autriche-Hongrie à la fin de la Première Guerre mondiale, les Tchèques, les Slovaques et les Ruthènes subcarpatiques, qui aspiraient depuis longtemps à l’autonomie, forment la Tchécoslovaquie dont Tomá? Masaryk (1850–1937) est le premier président. En 1935, Edvard Bene? (1888–1948) lui succède. Le régime politique de l’entre-deux guerres est une démocratie parlementaire instituée par les institution de 1920. Sur le pays connaît une forte premières puissances industrielles de l’époque. Cette prospérité : la Tchécoslovaquie est très diminuée en 1938 par les accords de Munich, lorsque l’Allemagne nazie annexe la région des Sudètes. Elle disparaît en quand l’Allemagne annexe la Bohême et la Moravie, créant un « protectorat de Bohême-Moravie » sous administration militaire, tandis que la République slovaque (1939-1945) proclame son indépendance, mais devient un état fantoche du Troisième Reich.

Néanmoins, la résistance se met en place tant à l’à l’à l’extérieur qu’intérieur. Edvard Bene? organise un gouvernement en exil réfugié à Londres qui combat aux côtés des Alliés. En 1942 des résistants assassinent Reinhard Heydrich, gouverneur de la Bohème-Moravie. En représailles, l’occupant nazi extermine le village de Lidice. En 1945 les troupes soviétiques entrent dans Prague tandis que les Américains s’avancent jusqu’à Pilsen.

Reconstituée en 1945, la Tchécoslovaquie doit céder à l’URSS la Ruthénie subcarpathique. En 1946, des élections sous pression soviétique donnent aux communistes la majorité des voix : leur chef Klement Gottwald devient président du Conseil. En 1947 il refuse le plan Marshall, et en il prend le pouvoir lors du coup de Prague, faisant de la Tchécoslovaquie un satellite de l’URSS pendant la guerre froide. Le Parti communiste devient parti unique. Les années 1950 sont celles des procès staliniens qui atteignent même les hauts dignitaires du Parti, comme Rudolf Slánský, secrétaire général depuis 1945. L’un des protagonistes, Artur London, relate ces procès dans son ouvrage L'Aveu. Sur le plans quinquennaux. La Tchécoslovaquie adhère au . Sur le plan économie de type soviétique avec des plan économie de type soviétique avec des plan économique, le nouveau régime nationalise tout le secteur privé et met en place une économique, le nouveau régime nationalise tout le secteur privé et met en place une économie de type soviétique avec des plans quinquennaux.Conseil d'assistance économique mutuelle (Comecon) dès 1949. En 1955 elle adhère au Pacte de Varsovie.

En 1968 Alexander Dub?ek lance un programme de réformes destiné à démocratiser le régime et appelé « Printemps de Prague ». Les oligarques communistes du bloc de l'Est n’ont pas l’ont pas l’intention de laisser naître ce « socialisme à visage humain » et ils envahissent la Tchécoslovaquie en août de la même année pour y imposer par les armes la « normalisation » c’est-à-dire le retour à la dictature du Parti unique ; Gustáv Husák remplace Dub?ek à la tête du Parti en 1969 et devient président de la République en 1977, un groupe de dissidents crée la Charte 77 en appelant le gouvernements pris sur les droits de l'Homme à Helsinki en 1975, lors de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe. L’arrivée de Mikhaïl Gorbatchev au pouvoir en URSS permet de nouveaux espoirs de démocratisation et le , à l’occasion de 1949, débute la répression du cinquantième anniversaire de la répression du cinquantième anniversaire de la «  , à l’occasion du cinquantième anniversaire de la répression du cinquantième anniversaire de la répression de 1949, débute Révolution de Velours », qui, le porte le dissident tchèque Václav Havel à la présidence de la République tchécoslovaque.

Les premières élections libres sont organisées en 1990 avec une participation démocratique de l’entre-deux guerres.

Le château de Karl?tejn près de Prague.

Après un épisode fédéral (la « Tchéco-Slovaquie » ou République fédérale tchèque et slovaque), la Tchécoslovaquie disparaît le , d’un commun accord entre les autorités tchèques et slovaques, issues des élections de (d’où le nom de « partition de velours »), laissant place à la République slovaque (Slovaquie).

En , Václav Havel devient le premier président de cinq ans aux termes de la Constitution de . En 2003, Václav Klaus (qui a été Premier ministre entre 1992 et 1996) est élu à la présidence de la République (réélu en 2008).

Le président de la République, Václav Klaus, nomme comme comme Premier ministre Stanislav Gross, en . Le , celui-ci remet au président Klaus sa démission à la suite d'un scandale patent sur l'origine douteuse de sa fortune personnelle. Ji?í Paroubek, ministre du développement de M. Gross, le remplace alors.

Les élections législatives du 4 juin 2006 débouchent sur un « pacte électoral » : la gauche et la droite, y compris les Verts, disposent chacune de 100 députés et aucun des deux blocs n'a la majorité. Après six mois de la droite, reçoit enfin l'investiture du Parlement tchèque le , grâce à l'absence volontaire tchécoslovaque et le Parti vert (parti vert (parti vert (parti populaire tchécoslovaque et le Parti démocratique civique, l’Union chrétienne-démocratique ce gouvernement de coalition réunissant le Parti écologiste) disposera d'une majorité trop fragile pour conduire son programme de deux députés socialistes. Les observateurs estiment de coalition réunissant le Parti écologiste) disposera d'une majorité trop fragile pour conduire son programme de réformes.

Politique[modifier | modifier le code]

Siège du Sénat de la République tchèque.

La Constitution de la Tchéquie a été adoptée en et amendée à plusieurs reprises. La Tchéquie est une république parlementaire, démocratique et pluraliste. Le président est élu pour cinq ans par un vote populaire ; son rôle est essentiellement honorifique. Il nomme le président du gouvernement, qui peut le renverser par le vote d'une motion du gouvernement dirige l'action du gouvernement devant la Chambre des députés qui exerce le pouvoir exécutif. Le président du gouvernement ; celui-ci est responsable pouvoir exécutif. Le président du gouvernement devant la Chambre des députés qui exerce le pouvoir exécutif. Le président du gouvernement dirige l'action du gouvernement dirige l'action du gouvernement du gouvernement dirige l'action de censure.

Le Parlement est constitué de la Chambre des députés (en tchèque : Poslanecká sn?movna), composée de 200 membres élus pour quatre ans, et du Sénat (en tchèque : Senát) dont les 81 membres sont élus pour six ans. sont élus pour six ans.

La Cour constitutionnelle contrôle la constitutionnalité des lois. Elle peut être saisie par tout justiciable lors d'un procès, s'il estime qu'une loi n'est pas conforme à la Constitution.

Relations avec l'Union européenne[modifier | modifier le code]

La Tchéquie a signé le traité de Lisbonne en 2007.

Le , la Tchéquie et l'Union européenne signent un Accord d'association qui entre en vigueur le . Le , les négociations d'adhésion commencent et aboutissent, le à l'approbation par le Conseil européen de l'adhésion[37]. En conséquence de cette décision, le , a lieu la signature du traité d'adhésion[38].

Par référendum en date du , 77,3 % des Tchèques votants (avec une participation de 55,21 % des inscrits)[39] approuvent l'adhésion et le , la Tchéquie devient membre de l'Union européenne.

Le , la Tchéquie intègre l'espace Schengen.

Du au , la Tchéquie assure pour la première fois la présidence du Conseil de l'Union européenne. Son présidence active ; . Son président, eurosceptique, n'œuvre pas à une présidence active ; une crise politique majeure s'ouvre au sein du gouvernement tchèque[réf. souhaitée] lors de cette présidence. Bien que la Chambre des députés ait donné son accord à la ratification du traité de Lisbonne le et le Sénat le sien le , Václav Klaus multiplie les manœuvres pour en retarder la signature dans l'espoir que l'élection prochaine au Royaume-Uni d'une personnalité conservatrice partageant ses vues permettra l'abandon du traité. À l'automne 2009, un groupe de sénateurs eurosceptiques demande à la Cour constitutionnelle d'examiner la compatibilité du traité du traité de Lisbonne avec l'ordre constitutionnel national. Finalement, cette dernière rend son verdict et rejette le recours le . Le jour même, le président Václav Klaus appose sa signature au bas du texte européen, non sans avoir exprimé une nouvelle fois sa réticence, notamment en ce qui concerne la perte de souveraineté du pays.

L'économiste et fondateur du Parti des citoyens libres, Petr Mach, proche du président Klaus, incarne l'opposition virulente d'une partie de l'Union européenne. À propos du traité de Lisbonne et de l'euro, il a notamment déclaré :

« Nous défendons le traité de Lisbonne. En ce qui concerne l’euro, nous refusons le traité de Lisbonne. En ce qui concerne l’euro, nous voulons attendre le moment réellement réellement favorable pour la majorité des citoyens tchèque et de ce fait nous refusons la souveraineté de la République tchèque et de ce fait nous imposerons un référendum. »

En , selon un sondage réalisé par le Centre l'adhésion à la , selon un sondage réalisé par le Centre d'étude de l'opinion publique (CVVM), 75 % des sondés se prononcent contre d'étude de l'opinion publique (CVVM), 75 % des sondage réalisé par le Centre d'étude de l'opinion zone euro (contre 23 % en 2001). Seulement un avis positif.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte de la Tchéquie.

Un petit pays enclavé au cœur de l'Europe[modifier | modifier le code]

Quatre pays seulement bordent la Tchéquie dont les frontières sont de longueurs inégales d'un État à un autre. La Pologne la délimite au nord-est, l'Allemagne est limitrophe à l'ouest tandis que l'Autriche partage sa frontière au sud et la Slovaquie à l'est-sud-est.

La Tchéquie fait partie des quelques pays de la La Tchéquie fait partie des quelques pays de l'Europe centrale qui ont la partie des quelques pays de l'Europe centrale qui ont la particularité géographique de n'avoir aucun rivage maritime à l'instar de l'Europe centrale qui ont la particularité géographique Suisse, du Liechtenstein, de l'Autriche, de la Slovaquie, du Luxembourg et de la Hongrie.

Un relief peu diversifié[modifier | modifier le code]

Image satellite de la Tchéquie.

Le paysage tchèque est peu varié mais montagneux en général.

  • La partie occidentale du pays qui est représentée par la Bohême consiste en un bassin, parcouru par l’Elbe (Labe en tchèque) et la Vltava (Moldau en allemand), entouré principalement par des basses montagnes comme les Sudètes incluant les monts des Géants, où se trouve aussi le point culminant du pays, le Sniejka avec 1 603 mètres d'altitude.
  • La Moravie, dans l'Est, est plus montagneuse et est arrosée par la Morava, elle abrite la source de l’Odra (Oder en allemand).

Un réseau hydrographique riche[modifier | modifier le code]

Les eaux de la Tchéquie s’écoulent vers trois mers différentes : la mer du Nord par la Vltava, affluent de l'Elbe qui prend sa source en Tchéquie dans les monts des Géants, la Baltique par l'Oder, et la mer Noire par la Morava, affluent du Danube.

Un climat continental globalement tempéré[modifier | modifier le code]

Le climat local est tempéré, avec des hivers froids, nuageux et humides, ce qui est un exemple d’influences continentale et océanique conjuguées.

Préservation de l'environnement[modifier | modifier le code]

Réseau européen Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 rassemble des sites naturels ou semi-naturels de l'Union européenne ayant une grande valeur patrimoniale, par la faune et la flore exceptionnelles qu'ils contiennent.

En , la Tchéquie comptait 1153 sites dont :

Parcs nationaux de Tchéquie[modifier | modifier le code]

Subdivisions administratives[modifier | modifier le code]

La Tchéquie formée de la Bohême (vert), de la Moravie (bleu) et de la Silésie tchèque (orange).

La Tchéquie est divisée en quatorze zones administratives appelées régions (kraje, au singulier kraj) et 6 254 communes (obce, au singulier obec). Prague, la capitale du pays, a également le statut de région à part entière, elle est située au milieu de la plus grande région à part entière, elle est située au milieu de la Bohême centrale.

Les districts (pl. okres) ont été officiellement supprimés en tant que collectivités territoriales le , dans le cadre de la seconde phase de réforme territoriale. Les compétences des districts ont été transférées partiellement aux municipalités à compétence étendue.

Toutefois, les tribunaux, les tribunaux, les services déconcentrés de la Tchéquie, éventuellement utilisés en tant qu'unité territoriale de base pour les de la Tchéquie, éventuellement d'autres institutions publiques. Ils sont également utilisés en tant qu'unité statistique.

Les districts ont également été utilisés jusqu'au comme unité statistique européenne de niveau supprimé depuis pour la Tchéquie.

Carte de Tchéquie
Carte de Tchéquie
Région Capitale
A Prague Praha (Prague)
S Bohême-Centrale Praha (Prague)
C Bohême-du-Sud ?eské Bud?jovice
P Région de Plze? Plze? (Pilsen)
K Région de Karlovy Vary Karlovy Vary
U Région d'Ústí nad Labem Ústí nad Labem
L Région de Liberec Liberec
H Région de Hradec Králové Hradec Králové
E Région de Pardubice Pardubice
M Région d'Olomouc Olomouc
T Moravie-Silésie Ostrava
B Moravie-du-Sud Brno
Z Région de Zlín Zlín
J Vyso?ina Jihlava

Villes[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population totale au entre 1960 et 2014 (en millions, données Eurostat).

La population totale du territoire qui est aujourd'hui la Tchéquie a peu varié du début du vingtième siècle (9,3 millions) à 1939 (11,2 millions). Après la Deuxième Guerre mondiale ( ). Après la Deuxième Guerre mondiale (8,8 millions en 1947), la population baissait légèrement de en 1947), la population baissait légèrement de 10,36 millions en 1990 à 10,19 millions en 2003, avant de reprendre modérément (10,65 millions au ). Le solde migration venant de pays de l’ex-URSS.

Langues[modifier | modifier le code]

Religion[modifier | modifier le code]

La Tchéquie est l'un des pays les moins religieux du monde[réf. nécessaire]. Lors du recensement 10 % de catholiques et 1 % de la population déclaraient ne pas à la question religion et 45 % ne répondaient ne pas à la question religion et 45 % ne répondaient pas à la question sur l'affiliation déclaraient ne pas avoir de religion et 45 % ne répondaient ne pas avoir de religion et 45 % ne répondaient pas avoir de religieuse.[42].

La Bohême et la Moravie ont été marquées par la confrontation entre l'Église catholique et les tenants de la Réforme protestante. Or, depuis au moins le XVIIIe siècle, l'ensemble des croyants cohabitaient paisiblement, aux côtés de l'importante minorité juive —, décimée pendant la Shoah puis émigrée en Israël après 1947.

Catholicisme en Tchéquie[modifier | modifier le code]

Les diocèses catholiques de la Tchéquie.

Il y a un peu plus d'un million de catholiques, ce qui représente donc un dixième de la population totale. Ils sont répartis en huit diocèses dont de dont de dont deux sont de dont de dont des archidiocèses mais peuvent aussi relever de juridictions autres s'ils sont des archidiocèses mais peuvent aussi relever de juridictions autres rite byzantin.

Le catholicisme, qui a pu se développer surtout grâce à l'influence des Habsbourg, subit la répression des communistes arrivés au pouvoir en 1948. Ces derniers confisquèrent toutes les propriétés de l'Église et persécutèrent de nombreux prêtres : églises saisies, prêtres étroitement encadrés, payés par l'État et surveillés par la  : églises saisies, prêtres emprisonnés ou exécutés. Certains offices étroitement encadrés, payés par des prêtres emprisonnés ou exécutés. Certains offices étroitement encadrés, payés par l'État et surveillés par la  : églises saisies, prêtres emprisonnés ou exécutés.police secrète. Après la Révolution de Velours, certains monastères et églises furent restitués mais pas dans leur intégralité ni les autres propriétés d’antan. En , un compromis, sous forme de dédommagement financier, aboutit entre le gouvernement financier, aboutit entre le gouvernement financier, aboutit entre le gouvernement financier, aboutit entre le gouvernement et l'Église catholique tchèque dont la figure actuelle la plus importante est le cardinal , un compromis, sous forme de dédommagement et l'Église Dominik Duka. Cependant, le problème de la propriété de la cathédrale Saint-Guy de Prague persiste.

Économie[modifier | modifier le code]

Billet de 2 000 couronnes (K?) représentant Emmy Destinn.

Des pays émergents de l'Europe centrale, la Tchéquie offre l'économie la plus prospères. Des pays émergents de l'Europe centrale, la Tchéquie offre l'économie la plus stables et la plus industrialisée et les plus industrialisée et la plus stables et les plus stables et la plus stables et la plus prospères.[réf. nécessaire]

De la Révolution de velours (17 au ) à nos jours, le pays a dû démanteler une économie planifiée parmi les plus rigides de la région et opérer une transition vers l’économie de marché puis assurer sa propre préparation économique et législative à l’élargissement de l'Union européenne. En 2015, 31 % de son commerce extérieur se fait avec l'Allemagne contre seulement 5 % avec la France[43]. En 2023, le pays est classé en 31e position pour l'indice mondial de l'innovation[44].

La monnaie est la couronne tchèque.

L’écart de l’écart de L’espérance de vie entre les personnes diplômées est de 18 ans en Tchéquie[45].

Transports[modifier | modifier le code]

Le pays compte près de sept réseaux de tramway ?koda 15 T, dont celui de Prague qui est un des plus grands d'Europe, ainsi que treize réseaux de trolleybus.

La capitale compte aussi un réseau de métro.

La Tchéquie compte deux constructeurs d'autobus, équipant la plupart des réseaux tchèques : TEDOM et SOR.

Le transport ferroviaire est assuré par plusieurs opérateurs : l'entreprise historique, ?eské dráhy ou ?D, a scindé ses activités entre transport et infrastructure, puis 1993 et l'arrivée de Railjet[46].

La firme ?koda est un fabricant de locomotives et tramways, son ancienne filiale automobile, ?koda Auto, appartenant au groupe Volkswagen depuis 1991.

Culture[modifier | modifier le code]

Un exemple du cubisme tchécoslovaque : Roi africain, peinture de Josef ?apek.

La Tchéquie a une grande tradition musicale. Les compositeurs les plus célèbres sont Antonín Dvo?ák, Bed?ich Smetana, Leo? Janá?ek, Bohuslav Martin?, Johann Stamitz, Jan Dismas Zelenka, les frères Benda (Jan, Ji?í et Franti?ek), Josef Suk, Antoine Reicha, Josef Myslive?ek (parlants tchèque) et Gustav Mahler ou Heinrich Biber (germanophones).

La littérature tchèque ( La littérature tchèque est représentée par de nombreux auteurs tant d'expression tchèque (Milan Kundera, Václav Havel, Karel ?apek, Jaroslav Seifert, Jaroslav Ha?ek, Bohumil Hrabal, Jan Neruda, Bo?ena N?mcová, Ján Kollár, Pavel Kohout) qu'allemande (Franz Kafka, Rainer Maria Rilke, Max Brod, Franz Werfel, Karl Kraus) ou latine (Cosmas de Prague) ou encore vieux-slave (Cyrille et Méthode).

Julius Fu?ík ou Milena Jesenská sont des journalistes connus.

L'art cinématographique tchèque a connu son apogée dans le travail de la dite Nouvelle vague tchèque (Milo? Forman, Ji?í Menzel, V?ra Chytilová), et créateur surréaliste Jan ?vankmajer. Il y a aussi une forte tradition et de marionnettes (Zden?k Miler, Ji?í Trnka, Karel Zeman).

Le plus célèbre peintre tchèque dans le monde est le représentant du mouvement Art nouveau Alfons Mucha. D'autres noms importants sont Franti?ek Kupka, Raphaël Mengs, Josef ?apek, Josef Lada ou Mikolá? Ale?.

L'architecte autrichien Adolf Loos a eu un rôle très important dans le développement du modernisme architectural dont plusieurs de ses réalisations se trouvent sur le territoire de la Tchéquie.

D'autres arts, tels que l'ornement, les objets tressés, ont été étudiés par le Centre de la production artistique populaire de la production artistique populaire des pays tchèques[47].

Bien d'autres Tchèques ont apporté leur contribution aux arts : Viktor Dyk, Alois Jirásek, Josef ?kvorecký, Ji?í Wolker, Karel Hynek Mácha, Vít?zslav Nezval, Ivan Klíma, Arno?t Lustig, Jaroslav Vrchlický, Bohuslav Balbín, Karel Havlí?ek Borovský, Jáchym Topol, Patrik Ou?edník, Vladimír Holan, Egon Erwin Kisch, Jan Saudek, Emil Orlik, Maître Théodoric, Wenceslas Hollar, Toyen, Josef Koudelka, Josef Václav Myslbek, Matthias Braun, Jan Sv?rák, Otakar Vávra, Elmar Klos, Magdalena Ko?ená, Emmy Destinn, Petr Parlé?, Josef Hoffmann, Jan Bla?ej Santini-Aichel, Jan Kot?ra, Kilian Ignace Dientzenhofer, Josef Go?ár, Jan Dismas Zelenka, Franz Benda, Rafael Kubelík, Vít?zslav Novák, David Popper, Jan Hammer, Zden?k Fibich, Alois Hába, Jan Ladislav Dussek, Rudolf Serkin, Jan Kubelík, Julius Fu?ík, Ji?í Antonín Benda, Viktor Ullmann, Václav Neumann, Karel Svoboda, Václav Talich, Erwin Schulhoff, Erich Wolfgang Korngold, Josef Bohuslav Foerster, Pavel Haas, Alice Sommer Herz, Karel Gott.

Fêtes et jours fériés[modifier | modifier le code]

Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
1er janvier Jour de l'an Nový rok
Le premier lundi suivant la première pleine lune de printemps Lundi de Pâques Velikono?ní pond?lí
1er mai Fête du travail Svátek práce Traditionnellement le jour de nombreuses manifestations syndicales et politiques
8 mai Libération 1945 Den osvobození Commémoration de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe
5 juillet Arrivée de Cyrille et Méthode en Moravie P?íchod Cyrila a Metod?je na Moravu L’évangélisation des peuples slaves en Grande-Moravie en 863
6 juillet Jan Hus Upálení Jana Husa Le Martyre de Maître Jan Hus en 1415 à Constance
28 septembre Fête nationale Den ?eské státnosti La mort de saint Venceslas, en 929 ou 935
28 octobre Fête nationale Vznik ?eskoslovenska La naissance de la Tchécoslovaquie () à la fin de la Première Guerre mondiale
17 novembre Journée de lutte pour la liberté et démocratie Den boje za svobodu a demokracii Le début de la Révolution de Velours en 1989
24 décembre Veille de Noël ?t?drý den
25 décembre Premier jour de Noël První svátek váno?ní La naissance de Jésus Christ
26 décembre Second jour de Noël Druhý svátek váno?ní

Science[modifier | modifier le code]

Sur le territoire de la Tchéquie sont nées de nombreuses personnalités scientifiques germanophones, telles que le fondateur de la Tchéquie sont nées de nombreuses personnalités scientifiques germanophones, telles que le fondateur de la psychanalyse Sur le territoire de la psychanalyse Sigmund Freud, le fondateur de la génétique Gregor Mendel, le créateur de la phénoménologie Edmund Husserl, le logicien Kurt Gödel, les psychologues Max Wertheimer et Stanislav Grof, les nobelisés Jaroslav Heyrovský (chimie), Gerty Theresa Cori et Carl Ferdinand Cori (physiologie ou médecine), Peter Grünberg (physique) et Bertha von Suttner (paix), le physicien Ernst Mach, les économistes Joseph Schumpeter et Eugen von Böhm-Bawerk, le constructeur automobile Ferdinand Porsche, l'astronome Johann Palisa, le théoricien du droit Hans Kelsen, le politologue Ernest Gellner, les musicologues Eduard Hanslick et Guido Adler, les philosophes Bernard Bolzano, Karl Kautsky et Vilém Flusser.

Comenius.

La philosophie tchèque a été façonnée au Moyen Âge par Jan Hus, Jérôme de Prague ou Petr Chel?ický. Comenius est le père de la pédagogie moderne. La philosophie tchèque du XXe siècle est représentée par Jan Pato?ka, Karel Kosík, Egon Bondy ou Ladislav Klíma. L'historien Franti?ek Palacký a été le « père de la nation ». La pensée sociologique tchèque a été le « père de la nation ». La pensée sociologique tchèque a été le premier homme politique tchèque a été créée par Tomá? Masaryk. Il y a une forte tradition de linguistique (Bed?ich Hrozný, Josef Dobrovský, Pavel Jozef ?afárik, Josef Jungmann, Vilém Mathesius, Julius Pokorny, René Wellek, Jan Muka?ovský) ou de biologie (Jan Evangelista Purkinje, Karel Bo?ivoj Presl, Jan Svatopluk Presl, Heinrich Wilhelm Schott, Ji?í Josef Camel).

Aloys Senefelder est l'inventeur de la lithographie. Joseph Ressel créa le premier bateau propulsé par une hélice. Karl von Terzaghi était le père de la mécanique des sols. Naturalisé, Viktor Kaplan a inventé la turbine du même nom. Otto Wichterle a inventé des lentilles de contact. Le mathématicien Eduard ?ech était un topologiste important. Karel Jaromír Erben et Franti?ek Ladislav ?elakovský étaient des folkloristes de premier plan. Ferdinand von Hebra a fondé la Nouvelle École de Vienne, Carl von Rokitansky et Joseph ?koda la deuxième école de médecine viennoise, l'historien de l'art Max Dvo?ák a grandi à Vienne aussi. Konstantin Jirecek a fondé une branche de la byzantologie. Ignaz von Born a été le fondateur de la géologie tchèque.

D'autres noms importants : Antonín Mrkos, Herbert Feigl, Franz Bardon, Tomá? ?pidlík, Karel Domin, Johannes Widmann, Julius Vincenz von Krombholz, Friedrich von Berchtold, Kaspar Maria von Sternberg, Hans Tropsch, Franti?ek B?hounek, Franz Josef von Gerstner, Christian Mayer, Pavel Pavel, Ale? Hrdli?ka, August Wilhelm Ambros, Lubor Niederle, Anton Springer, Ferdinand Stoliczka, Wenceslas Bojer, Zdenko Skraup, Emil Holub, Miroslav Hroch, Miroslav Verner, Alois Musil, Jan Janský, Jan Marek Marci, Franti?ek K?i?ík.

Éducation[modifier | modifier le code]

Sport[modifier | modifier le code]

Équipe de Tchéquie de football.

Les athlètes tchèques les plus célèbres sont le grimpeur Adam Ondra, les coureurs Emil Zátopek, Josef Plachy et Jarmila Kratochvílová, la gymnaste V?ra ?áslavská, les joueurs de tennis Martina Navrátilová, Ivan Lendl, Tomá? Berdych, Radek ?t?pánek et Petra Kvitová, les joueurs de hockey sur glace Jaromír Jágr, Dominik Ha?ek et Milan Hejduk, la patineuse de vitesse Martina Sáblíková, les lanciers Jan ?elezný et Barbora ?potáková, les footballeurs Josef Masopust, Karel Poborský, Petr ?ech, Pavel Nedv?d et Tomá? Rosický.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. ? .eu, partagé avec les autres pays de l’Union européenne.

Références[modifier | modifier le code]

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  12. ? Cf. « ?esko » sur le site du Conseil pour la langue tchèque, Ústav pro jazyk ?eský.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]