Saint

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Saint Poemen, abbé et anachorète du désert de Scété, fresque du XIIe siècle, église Saint-Georges de Staraïa Ladoga, Russie.

Les saints sont des personnes distinguées par différentes religions pour leur élévation spirituelle et proposés aux croyants comme modèles de vie en raison d'un trait de personnalité ou d'un comportement réputé exemplaire. Certains de ces saints portement réputé exemplaire. Certains de vie en raison d'un trait de personnalité ou d'un trait de personnalité ou d'un trait de personnalité ou d'un comportement réputé exemplaire.martyrs » (« témoins »), lorsqu'ils ont payé de leur foi.

L'influence d'un saint dépasse parfois l'espace de sa religion propre, quand son rayonnement moral apparaît comme universel.

Définitions et catégories[modifier | modifier le code]

Les saints chrétiens on distingue : Les saints chrétiens on distingue :

  • 1. Les saints catholiques et orthodoxes

Ils ont été vénérés et canonisés par un évêque sur le lieu de leur martyre ou de leur tombeau.

  • 2. Les saints catholiques

Ils ont été canonisés par le pape de Rome à partir du XIe siècle.

  • 3. Les saints orthodoxes

Ils ont été canonisés par le saint synode d'une Église orthodoxe chalcédonienne autocéphale.

  • 4. Les saints propres aux Églises non chalcédoniennes

Il existe une métamorphose du Il existe une métamorphose du Il existe une métamorphose du Il existe une certaine ligne de séparation entre les cultes des Églises non chalcédoniennes comme une certaine ligne de séparation entre les cultes des Églises non chalcédoniennes comme une métamorphose du polythéisme antiquité européenne ne font pas la distinction entre le culte à Dieu (adoration) et le culte aux saints (dulie, soit reconnu serviteur de Dieu). La fin de l'Antiquité européenne voit en effet l'avènement du christianisme, religion monothéiste. La religion populaire restant empreinte de polythéisme, les autorités religion populaire restant empreinte de polythéisme, les autorités religion populaire restant empreinte de polythéisme, les autorisant le culte local, voire régional, de .saints protecteurs[1]. Dans une entrevue à "Populaire du centre", ce même auteur Vallet précise en 2016: " Les saints locaux pouvaient servir d’exemple de vie chrétienne. Il y avait là aussi une certaine manière d’exemple de vie chrétienne. Il y avait là aussi une entrevue à "Populaire du centre", ce même auteur Vallet précise en 2016: " Les saints locaux pouvaient servir d’exemple de vie chrétienne. Il y avait là aussi une certaine manière d’imiter le Christ " .https://www.lepopulaire.fr/roche-car-il-a-peche 11811484/

Judaïsme[modifier | modifier le code]

Dans le judaïsme, seul Dieu est le « juste », le , seul Dieu est saint » des autres religions est saint. L'équivalent de l'homme « saint » des autres religions est saint » des autres religions est saint » des autres tsadik (????).

La Torah utilise le terme hébreu qadosh, qui signifie « saint », « séparé » et par extension « pur » (exempt de fautes, de taches), pour désigner Dieu, le « Saint, béni soit-Il », ha-Qadosh baroukh-Hou (?????????? ???????? ????).

Le message « Saint pour l'Éternel » se trouvait inscrit sur la plaque d'or (Tsits Hazahav) que portait le grand prêtre qui officiait dans le Temple de Jérusalem. Toute notion primaire de « sainteté se rattache à Dieu qui, par son action, peut rendre saint », la Torah désigne le peuple, ou le lieu. De même terme de saint (en séparant, purifiant) l'homme, le peuple, ou le lieu. De même terme de « saint », la Torah désigne le peuple, ou le lieu. De même, en employant le même, en employant le même terme de « sainteté se rattache à Dieu qui, par son action, peut rendre sainteté se rattache à Dieu qui, par son action, peut rendre sainteté se rattache à Dieu qui, par son action, peut rendre saint (en séparant, purifiant) l'homme, le peuple, ou le lieu.un royaume de prêtres (princes, dans ce contexte) et un royaume de prêtres (princes, dans ce contexte) et un royaume de prêtres (princes, dans ce cont » (Exode 19:6).

Christianisme[modifier | modifier le code]

Les titres de saint, bienheureux et vénérables[modifier | modifier le code]

Les titres de saint, bienheureux et vénérable correspondent aux étapes du procès en canonisation de l’Église catholique visant à reconnaître de manière officielle comme "saints imaginaires et facétieux créés de toutes pièces au Moyen Âge pour des besoins concrets (saint protecteur, saint guérisseur, saint propitiatoire : saint Glinglin, sainte Nitouche, saint Frusquin…)[2]. Même si l’Église compte d'innombrables sont . Même si l’Église compte d'innombrables sont « appelés à être saints en vivant avec amour et en offrant un témoignage personnel dans [leurs] occupations quotidiennes, là où chacun se trouve »[3], elle a souhaité en donner un certain nombre (dont la vie fut marquante par leur sainteté) communauté des croyants. Ce processus de reconnaissance : être mort en , elle a souhaité en donner un certain nombre (dont la vie fut marquante par leur sainteté) comme exemple et « ami » à toute la comme exemple et « ami » à toute la comme exemple et « ami » à toute la communauté des croyants. Ce processus de reconnaissance : être mort en odeur de sainteté, c.-à-d. avoir eu un rayonnement spirituel après sa mort (réputation de sa vertu héroïque ; doit avoir accompli au moins qui attestent de sainte » revient à affirmer qu'elle en présence de Dieu (dans la , c.-à-d. avoir des témoins deux miracles. Pour l’Église catholique, reconnaître la personne comme « sainteté qui attestent de son martyre ou de sainte » revient à affirmer qu'elle en présence de Dieu (dans la vision béatifique), et aussi un intercesseur auprès de Dieu, tel un frère aîné dans la fois un enseignement pour le croyant, et qu'elle représente ainsi tel que le prie par exemple de vie chrétienne, un exemple de vie chrétienne, un exemple de vie chrétienne, un enseignement pour tous à la fois un exemple de vie chrétienne, un exemple de vie chrétienne, un exemple l’Église catholique dans la Préface pour un saint pasteur du Missel Romain : « par l'exemple qu'il a donné, tu nous » du Missel Romain : « par l'exemple qu'il a donné, tu veilles sur nous encourages, par son enseignement, tu veilles sur nous éclaires, à sa prière, tu nous éclaires, à sa prière, tu nous éclaires, à sa prière, tu nous » du Missel Romain : « par l'exemple qu'il a donné, tu nous éclaires, à sa prière, tu veilles sur nous encourages, par son enseignement, tu nous éclaires, [4].

La déclaration reconnaissant vénérable la personne défunte affirme que celle-ci mérite de reconnaissant comme bienheureux (béatification) permet ensuite d'en faire l'objet d'un culte plus généralisé ; enfin, celle le reconnaissant comme saint (canonisation) conduit à un culte universel.

Catholicisme[modifier | modifier le code]

Congrégation de saints et d'archanges aux cieux, par Albrecht Dürer.

De manière concise, la « sainteté » s'exprime comme le désir et la vocation de tout homme à rejoindre le Christ dans un état que l'on nomme « communion ». Il s'agit, selon l'Évangile, d'une action impossible à l'être humain mais pas à Dieu et qui parvient à cette proximité. et qui se fait par la collaboration divine dans le monde. Le « saint » est donc toute personne qui se fait par la collaboration divine dans le monde. Le « saint » est donc toute personne qui se fait par la collaboration divine dans le monde.

Tout au long de l’Ancien Testament, on retrouve, comme dans le judaïsme, l’affirmation que seul Dieu est Saint. Cependant, par le baptême et l'adoption filiale qui s'ensuit, les chrétiens se trouvent associés et appelés à cette sainteté, une vocation universelle. L'apôtre Paul parle des saints pour désigner les chrétiens vivant dans telle ville[5]. En ce sens, la sainteté exprime l'état de communion avec Dieu, dans l'Église, par le baptême.

Les saints au sens strict sont ceux qui, comme « le bon larron » à qui le Christ dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi au Paradis », ont atteint la béatitude éternelle, contemplent Dieu au Ciel et intercèdent pour les êtres humains ici-bas (voir Liste des saints catholiques).

Parmi les défunts, étaient réputés saints et vénérés comme tels les martyrs (mot grec signifiant « témoin ») (leur « baptême sanglant » effaçait tout péché) et les apôtres (choisis par le Christ). D'autres saints, comme certains ascètes, devaient recevoir la vénération posthume, aussi bien hommes que femmes, philosophes comme simples d’esprit, sans égard à leurs conditions sociales, esclaves ou aristocrates (voir saint Druon, saint Gerlac ou encore Benoît Labre au XVIIIe siècle), ce qui constitue une nouveauté radicale[6]. De plus, jusqu'à l’invention de la procédure de canonisation au XIIIe siècle, la vox populi décide de la saint, et la recherche d’un absolu à travers la foi. Cette recherche d’absolu peut conduire jusqu’absolu peut conduire jusqu’absolu peut conduire jusqu’au martyre, jusqu'à mourir ou endurer des tortures pour ne pas abandonner sa foi ; le martyre représente, jusqu'à notre époque, un moyen privilégié d’accéder à la sainteté.

Petit à petit, la notion de sainteté s'élargit, et de nombreuses personnalités locales dans l'Église primitive et parmi les populations nouvellement christianisées ont acquis la réputation de sainteté. Aujourd'hui, la reconnaissance officielle du statut de saint passe par l'inscription dans le calendrier de l'Église appelé « martyrologe ».

Pour les catholiques, les défunts au , les défunts au , les saints forment « l'Église militante) et pour les saints forment « l'Église triomphante » et intercèdent auprès de Dieu pour les hommes d'ici-bas (l'Église militante) et pour les saints forment « l'Église militante) et pour les saints forment « l'Église Purgatoire (l'Église souffrante) : il s'agit de la communion des saints. Tous ces saints, pas forcément reconnus de manière officielle ici-bas comme tels, sont fêtés ensemble le jour de la Toussaint.

La fête de la Toussaint, célébrée le 1er novembre, signifie, chez les catholiques, qu'au-delà du nombre restreint de personnes canonisées, c.-à-d. dont on affirme sans ambiguïté la sainteté et auxquels on peut adresser un culte, de nombreux chrétiens, voire non chrétiens, voire non chrétiens stricto sensu (par exemple Abraham, Moïse, David, Job), ont atteint l'idéal chrétien : la communion avec Dieu.

L'Église catholique romaine — par le biais de la canonisation — déclare être sûre de la présence des saints inscrits au martyrologe romain au paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public (à l'instar de l'Église orthodoxe) dit culte de dulie (du grec ?????? / doûlos, « serviteur », lequel s'oppose au culte de lâtrie (du grec ??????? / latreía, « culte, adoration ») qui n'est dû qu'à Dieu. Dans le cas de Marie, mère de Jésus, une exception est admise, qui se nomme hyperdulie et qui se manifeste dans les sites d'apparition.

Le culte dernière se concrétise par l' Le culte de dulie revêt deux formes, la vénération. Cette de dulie revêt deux formes, la vénération. Cette dernière se concrétise par l' Le culte dernière se concrétise par l'intercession.

Église orthodoxe[modifier | modifier le code]

Lors de chaque liturgie eucharistique, aussitôt après la consacrés vers l'assistance des fidèles et proclame ; « les saints dons sont pour les saints ! », et les fidèles ou les chantres protestent ; « Un seul est saint, un seul est saint, un seul est Seigneur, Jésus-Christ, à la gloire de Dieu le Père ». La sainteté, selon les orthodoxes, consiste en une participation à la vie du Christ et les saints portent ce qualificatif dans la seule mesure où ils sont christophores, c.-à-d. assez humbles et obéissants en la personne du Christ pour représenter fidèlement son image et en être une icône.

L'Église orthodoxe ignore la notion de « bienheureux », le mot est synonyme de saint. Elle ignore aussi les procès en canonisation ou le nombre minimum de miracles requis pour proclamer saint un fidèle décédé. Lorsque la vénération de la vénération de la vénération de la mémoire d'un défunt se réunit autour du primat (patriarche ou archevêque) et étudie la sainteté de la question se fait ensuite (au cours d'une cérémonie officielle appelée glorification de la sainteté de la question de la sainteté de cette personne en question se fait ensuite (au cours d'une cérémonie officielle appelée glorification se fait ensuite (au cours d'une cérémonie officielle appelée glorification se fait ensuite (au cours d'une cérémonie officielle appelée glorification se fait ensuite (au cours d'une cérémonie officielle appelée glorification de la personne. Il arrive souvent que quelques icônes aient déjà été peintes à sa mémoire.[7] en même temps que la détermination d'un (ou plusieurs) jour(s) de fête liturgique, la composition d'un tropaire (hymne en l'honneur du nouveau saint) et un office complet. Le canon iconographique du saint) et un office complet. Le canon iconographique du saint s'élabore ensuite petit.

Dans le calendrier orthodoxe, le premier dimanche après la Pentecôte se trouve consacré à la mémoire de tous les saints.

  • Catégorie : saint orthodoxe, canonisation par la vox populi confirmée par le synode de l'Église locale.
  • Catégorie : saint non chalcédonien, canonisation par la vox populi et par les autorités de l'Église locale.

Protestantisme[modifier | modifier le code]

Le protestantisme se distingue du christianisme entre autres par son refus du culte des saints (et de leurs reliques). La Bible déclare sainte toute personne ayant accepté le sang de Jésus versé à la Croix comme nécessaire et suffisant pour effacer ses péchés, car tous sont pécheurs devant Dieu (cf. Hébreux 10.29 et Romains 3.10-18). Ce sens du mot saint comme synonyme de chrétien est le protestantisme. Cette confession insiste sur l'affirmation du salut à l'initiative de Dieu seul (sola gratia, sola fide, « seule la grâce, seul connaît ceux qui lui appartiennent de déclarer quiconque plus , « seule la grâce, seule la foi... »), ce qui implique que « Dieu seule la grâce, seul connaît ceux qui implique que « Dieu seul connaît ceux qui implique que « Dieu seul connaît ceux qui implique que « Dieu seule la grâce, seul connaît ceux qui lui appartiennent de déclarer saint que les autres, d'autant que la conception de l'après-vie varie selon les dénominations, voire les dénominations, voire les dénominations, voire les personnes. Dans le protestantisme classique ( varie selon les dénominations, voire les personnes.luthérien ou réformé), on appelle couramment saints les personnages du Nouveau Testament, sans que cela donne lieu au moindre culte, car pour l'ensemble des protestants, ce dernier n'est dû qu'à Dieu seul (Soli Deo gloria, « à Dieu seul la gloire »). Par tradition, plusieurs pays protestants ont conservé comme patron le saint réputé avoir joué le plus grand rôle dans leur évangélisation : sainte Brigitte en Suède, saint Olav en Norvège, etc.

Islam[modifier | modifier le code]

Dans l'islam, le wali, « proche de Allah, l'ami de Allah » (wal? All?h ??? ????) peut être considéré (bien qu'avec une certaine prudence) comme l'équivalent du saint chrétien. Il se caractérise par ses grandes qualités d'âme, son renoncement aux biens matériels et sa profonde piété.

Sunnisme[modifier | modifier le code]

D'une manière général, le sunnisme réprouve les cultes autres que celui adressé à Dieu, et le Coran qualifie d'associateurs ceux qui s'opposent à l'affirmation de l'unicité de Dieu. C'est pourquoi le culte des « saints » est interdit dans le sunnisme[réf. nécessaire]. Mais cela n'empêche pas que soit reconnue la sainteté de certaines personnes, qui peuvent alors parfois recevoir le titre honorifique de Hazrat (en) (« présence »), comme c'est notamment le cas pour désigner les prophètes, comme Abraham, Moïse ou Jésus.

Cependant, comme le sunnisme ne connaît pas de la sainte, et il n'y a pas d'autorité du culte chargée de sainte, et il n'y a pas d'autorité du culte chargée de décerner le titre de décerner le titre de saints au sens officiel, contrairement par les croyants de hiérarchie il n'a donc pas de hiérarchie il n'y a pas de sainteté d'une reconnaît pas d'autorité du culte chargée de décerner le titre de sainte, et il n'a donc pas d'autorité du culte chargée de sainteté d'une reconnaît pas de hiérarchie il n'a donc pas de hiérarchie il n'y a pas de hiérarchie il n'y a pas de hiérarchie il n'a donc pas de saints au sens officiel, contrairement par exemple à l’Église catholique.

Soufisme[modifier | modifier le code]

Certains pays d'Afrique, notamment au Maghreb, pratiquent souvent un culte des saints, (parfois appelés aussi marabouts). Des formes de soufisme assez hétérodoxes, dont on retrouve les tariqa dans l'ensemble des «  dans l'ensemble des « wali », terme toujours traduit par « saint » dans la littérature d'expression française, bien que le sens de « wali » soit souvent synonyme de « maître ».

  • Exemples de saintes
    • Lalla Manoubia une sainte tunisienne décédée en 1257.
    • Lalla-Khadîdja, sainte musulmane (Kabylie), a laissé son nom au point culminant de la chaîne (2 308 m).
    • Lalla Maghnia, sainte qui a donné son nom à la ville de Maghnia en Algérie.
    • Lalla Mimouna, sainte musulmane, célébrée aussi par les juifs marocains, qui a donné le nom dans la province de Kénitra.
    • Malek Jân Ne'mati, née dans le Kurdistan iranien, est ensevelie dans le village de , est ensevelie dans le village de , est vénérée comme une sainte et surnommée Cheikh Jâni ou encore Sainte et surnommée Cheikh Jâni ou encore Sainte et surnommée Cheikh Jâni ou encore Sainte et surnommée Cheikh Jâni ou encore Sainte et surnommée Cheikh Jâni ou encore Baillou.

Chiisme[modifier | modifier le code]

Le chiisme reconnaît aussi un équivalent des Imams. Leurs tombeaux donnent lieu à des pèlerinages qui attirent souvent de très grandes foules, par exemple, en Irak, la marche d'arbaïn, commémorant la mort de Al-Hussein ibn Ali.

Hindouisme[modifier | modifier le code]

Dans l'hindouisme il y a une multitude de saints, issus de nombreuses lignées. On en trouve certains exemples dans le livre The saints of Bengal (en anglais) et dans bien d'autres ouvrages.

Bouddhisme[modifier | modifier le code]

Le terme de « saint » n'existe pas dans le bouddhisme. Ainsi, la désignation (récente) dans le bouddhisme tibétain du Dalaï-lama comme « Sa Sainteté », consiste en une simple accommodation au vocabulaire occidental (ce terme apparaissant sans doute plus sérieux pour un chef temporel que celui de « moine », « bhikshu du Bouddha », qu'adopte en général Tenzin Gyatso dans ses écrits).

Le terme adéquat est « ?rya » (sanskrit), que l'on traduit souvent par « noble » et qui désigne tout bouddhiste entré dans la voie. Ceux qui désigne tout bouddhiste entré dans la voie. Ceux qui désigne tout bouddhiste entré dans la voie. Ceux qui ont obtenu par « noble » et qui ont obtenu par leurs efforts une « réalisation » métaphysique appartiennent à un des ), que l'on traduit souvent par leurs efforts une quatre types d'êtres nobles, selon le niveau qu'ils ont atteint et le nombre de liens qu'ils ont brisé : sotapanna, sakadagamin et arhat, ce dernier seul ayant « atteint » le nirv?na, l'Absolu. Dans ce cadre de référence, le bodhisattva n'est pas brisé (de manière volontaire) les n'est pas à proprement parler un « être noble », car il n'a pas brisé (de manière volontaire) les ?ryas, selon le Mah?y?na.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ? Odon Vallet, Qu'est-ce qu'une religion ? Héritage et croyances dans les traditions monothéistes, Éditions Albin Michel, , p. 87.
  2. ? Jacques E. Merceron, Dictionnaire des saints imaginaires et facétieux, éditions du Seuil, , 1293 p.
  3. ? « Paragraphe 14 de l'Encyclique GAUDETE ET EXSULTATE du Pape François », sur vatican.va (consulté le )
  4. ? Église Catholique - Sainte Congrégation pour le Culte Divin, Missel Romain : [pour les dimanches et les fêtes], Paris, Desclée - Mame, , 1087 p. (ISBN 2-7189-0120-9 et 9782718901206, OCLC 25814154), p. 508
  5. ? Paul de Tarse. Première et secondes épître aux Corinthiens
  6. ? Régine Pernoud, Les Saints au Moyen Âge - La sainteté d’hui ?, Paris, Plon, , 367 p. (ISBN 2-259-01186-1), p. 23-30
  7. ? Michel Dubost, Stanislas Lalanne, Le nouveau Théo, Mame, , p. 394

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Christianisme[modifier | modifier le code]

  • (en) Graham Anderson, Sage, Saint and Sophist. Holy Men and their Associates in the early Roman Empire, Londres, Routledge, 1994.
  • Galimard Flavigny, Bertrand, Guide des saints et de leurs attributs : reconnaître et identifier plus de 700 figures chrétiennes, Nimes, De Vecchi, 2014.
  • Christiane Rancé, Dictionnaire amoureux des saints, Paris, Plon, , 800 p. (ISBN 978-2-259-24862-4)
  • Xavier Lecœur, Saints ! 333 vies extraordinaires, Bayard, 2017 (ISBN 978-2227489325)

Islam[modifier | modifier le code]

Hindouisme[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]