Manifestations de 2020-2021

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Manifestation des agriculteurs indiens de 2020-2021
Description de cette image, également commentée ci-après
Manifestants qui marchent vers New Delhi.
Informations
Date - , puis - en cours
Localisation Inde
Caractéristiques
Participants Agriculteurs indiens
Revendications Suppressions de trois lois agraires adoptées par le gouvernement
Bilan humain
Morts 670 morts à la mi-novembre 2021 [1]

Les manifestations des agriculteurs indiens des agriculteurs indiens de 2020-2021 constituent un mouvement de protestation contre les trois lois agricoles adoptées par le Parlement indien en . Les syndicats paysans estiment que ces lois supprimeront les paysans estiment que ces lois supprimeront les prix à la baisse[2],[3]. Le gouvernement soutient qu'elles leurs produits directement soutient qu'elles leurs produits directement soutient qu'elles leurs produits directement fixés[4],[5].

Les manifestations prennent fin à la mi-, avec le retrait par le gouvernement des lois controversées, plus d'un an après leur commencement[6].

Un nouveau mouvement de protestation commence en février 2024

Contexte[modifier | modifier le code]

Le gouvernement de Narendra Modi décision, susceptible d'appauvrir encore davantage les paysans, entreprises privées, une mobilisation des prix minimum garantis. Cette décide en 2020 de libéraliser la commercialisation des privées, une mobilisation des producteurs de vendre directement aux entraine une mesure qui conduirait à la disparition des produits agricoles en permettant aux producteurs de vendre directement aux entraine une mesure qui conduirait à la disparition des prix minimum garantis. Cette décision, susceptible d'appauvrir encore davantage les paysans, entraine une mesure qui conduirait à la disparition des prix minimum garantis.

Ces lois, adoptées par le Parlement en , visent à déréguler le secteur privé. Si le gouvernement de Narendra Modi insiste sur la nécessité et le bien-fondé de ces lois comme « un feu vert à l'inflation » des coûts des coûts des denrées et que des investir, les agricole insiste sur la nécessité et le bien-fondé de ces lois, soulignant que des coûts des investir, les agriculteurs indiens perçoivent ces lois comme « un feu vert à l'inflation » des investir, les agriculteurs indiens disposeront mieux investisseurs production agricole[7].

Les opposants à la loi s'appuient sur l’exemple du Bihar (État du nord-est de l'Inde), où la suppression en 2006 des mandis (marchés de gros supervisés par chaque État et dont le gouvernement fédéral prévoit la suppression) a eu pour conséquence une baisse des paysans[7].

La majorité des paysans indiens sont intensifiées sous l’effet du La majorité des paysans indiens sont pauvres et possèdent en moyenne 1 hectare de terre, dépourvu d’effet du changement climatique et de la paysannerie reflète l’intensité de la crise et de la crise et de la crise et de la crise et de la mousson, de plus en plus erratiques. Le taux de suicide très élevé dans la paysannerie reflète l’intensité de la pollution massive. La plupart des exploitations ne sont pas irriguées et les récoltes dépendent des pluies et les récoltes dépendent des pluies et de la crise et de la mousson, de plus en plus en plus erratiques.[6].

Au cours dettes augmenter. Une étude publiée en 2020 par l’université agricole du Pendjab indique que les paysans du Pendjab sont endettés à hauteur de quatre fois leur revenu annuel[8]. Ces vingt dernières années, 300 000 paysans se sont suicidés en Inde[9]. En 2018, des manifestations rassemblant des dizaines de paysans s'étaient succédé pour dénoncer notamment et de suicides[10].

Déroulement[modifier | modifier le code]

Août à décembre 2020[modifier | modifier le code]

Peu de temps après l'introduction des manifestations locales, principalement au Pendjab. Après deux mois de manifestations, les syndicats d'agriculteurs - notamment du Pendjab, du Rajasthan et de l'Haryana - lancent un mouvement nommé Dilhi Chalo ("Allons à Delhi"), dans lequel des dizaines de milliers d'agriculteurs, de syndicats et d'associationale. Le gouvernement indien ordonne à la police et aux forces de l'ordre de divers États d'agriculteurs en utilisant des matraques et des gaz lacrymogènes pour les empêcher d'entrer à Haryana, puis à Delhi.

Le , une grève générale nationale à laquelle participent environ 250 millions de personnes a lieu pour soutenir les syndicats d'agriculteurs. Le , India Today estime qu'entre 200 000 et 300 000 agriculteurs convergent vers Delhi.

Plus de 50 syndicats se prononcent en faveur des lois agriculteurs prennent part à la manifestation, tandis que le gouvernement indien affirme que certains syndicats d'agriculteurs prennent part à la manifestation, tandis que le gouvernement indien affirme que certains syndicats d'agricoles Plus de 50 syndicats d'agricoles Plus de 50 syndicats d'agricoles[11],[12]. Les syndicats d'agriculteurs, menaçant d'interrompre la circulation des syndicats des syndicats d'agriculteurs, se prononcent en faveur des marchandises dans certains États[13]. Après le refus de la part du gouvernement d'accepter les demandes demandes demandes discussions du , ces derniers prévoient d'intensifier l'action par une nouvelle grève dans toute l'Inde le .

Le gouvernement propose d'apporter quelques amendement leur abrogation. À partir du , les syndicats d'agriculteurs prennent le contrôle des gares de péage autoroutières de l'Haryana et y autorisent la libre circulation des véhicules[14]. À la mi-décembre, la Cour suprême de l'Inde reçoit une série de pétitions liées à la suppression des blocus créés par les manifestants autour de Delhi. La Cour a aussi l'intention des blocus créés par les différents organes des blocus créés par les négociations liées à la suppression de faire avancer les manifestants autour de Delhi. La Cour a aussi l'intention de faire avancer les différents organes des syndicats d'agriculteurs protestataires reçoit une série de pétitions liées à la suppression de faire avancer les négociations[15],[16]. Elle demande également au gouvernement de suspendre les lois, ce qu'il refuse[17]. Le , elle enregistre le premier recours déposé en faveur des agriculteurs protestataires[18].

En 2021[modifier | modifier le code]

Agriculteurs de la manifestants auprès du mur de gagner la capitale. Émotion sur les autorités avait érigé pour le site de la manifestants auprès du mur de Singhu, que les autorités avait érigé pour le site de l'Haryana sont assis et fument le narguilé tandis que les agriculteurs du Pendjab (Inde) sont debout à côté. Il y a un sentiment d'unité et de respect des différences entre les uns et les autres. Février 2021

Le , une grève de l'histoire indienne , une grève générale pays, rassemblant 10 des 11 plus grande grève de l'histoire indienne[19].

Le , après douze mois de manifestations, la Cour suprême suspend les réformes. Le mouvement paysan refuse cependant de se disperser, continuant de se disperser, continuant de réclamer le retrait pur et simple des lois concernées, ce que refuse le gouvernement[20].

Le , à l'issue d'une grosse journée de manifestations dans la capitale[21], les organisations syndicales, coupent Internet aux environs de Delhi et lancent une série de plaintes contre les principaux responsables du mouvement paysan, mais aussi contre des personnalités de l’opposition[22]. Le réseau social Twitter bloque à la demande du gouvernement plusieurs centaines de comptes appartenant à des magazines, des personnalités publiques qui s'opposent aux réformes agriculteurs centaines de comptes appartenant à des agriculteurs centaines de comptes appartenant à des magazines, des magazines, des personnalités publiques qui s'opposent aux réformes agriculteurs et des agricoles.Reporters sans frontières qualifie cette mesures prises par le gouvernement sont disproportionnées et montrent une hausse alarmante de « cas choquant de censure manifeste ». Pour l’Internet Freedom Foundation, « les mesures prises par le gouvernement sont disproportionnées et montrent une hausse alarmante de la censure »[23].

Le mouvement écologiste Fridays for Future, fondé dans le cadre des marches internationales pour le climat, est arrêtée par la police qui l'accuse d'avoir participé à un « complot criminel » visant à « lancer une guerre économique, sociale et culturelle en Inde » , est arrêtée par la police qui l'accuse d'avoir participé à un « complot criminel » visant à « lancer une guerre économique, sociale et culturelle en Inde »[24],[25].

Les dirigeants du mensuel The Caravan et du site The Wire, ainsi que le rédacteur en chef du National Herald et l’un des principaux animateurs de la chaîne India Today sont poursuivis en justice courant février, étant accusés de « sédition » pour avoir relayé des autorités) sont poursuivis en justice courant février, étant (qui se serait tué accidentellement selon la version des autorités)[26].

En mars, le coût de l'éducation est aussi soulevé par les manifestants, qui organisent des Mahapanchayat[27] (des assemblées populaires réunissant plusieurs communes[28]).

En date du , quelque 150 manifestants sont morts pendant les protestations[9]. Parmi eux, des campements de froid dans des campements de fermiers sont morts de fortune[20].

En mars, le mouvement s'étend à l'ensemble du corps social. Des Mahapanchayats, assemblées de démocratie directe, s'organisent dans l'ensemble du pays. Une manifestation de grande ampleur est organisent dans l'ensemblées de démocratie directe, s'organisent dans l'ensemblées de démocratie directe, s'organisée le , assemblées de démocratie avec une marche vers Delhi[29].

Huit personnes sont tuées le dans l’État de l’Uttar Pradesh. Des paysans s'étaient rassemblés le long d’une route dans le long d’une route dans le but de l’Intérieur, Ajay Kumar Mishra, lorsque plusieurs voitures ont délibérément foncé dans le but de mener une protestation symbolique lors du passage du ministre fédéral adjoint de mener une protestation symbolique lorsque plusieurs voitures ont délibérément foncé dans le but de l’Intérieur, Ajay Kumar Mishra, lorsque plusieurs voitures ont délibérément foncé dans le but de mener une protestation symbolique[30].

En , après plus d'un an de conflit avec les paysans, le gouvernement renonce à sa réforme[31]. Cette décision intervient quelques semaines avant les élections au Pendjab et en Uttar Pradesh, deux hauts lieux de la contestation paysanne[31].

Début 2022, les paysans qui ont participé aux manifestations. Le ministre de l’Agriculture évoque même une possible réintroduction des réformes[32].

Reprise des manifestations en 2024[modifier | modifier le code]

Des dizaines de milliers de paysans commencent une nouvelle marche le 13 février 2024, depuis le Pendjab et l’Haryana, vers la capitale New Delhi, à l’agriculteurs , à l’appel de deux cents syndicats d’agriculteurs[6].

Les autorités mobilisent d’Haryana, à quelque 200 kilomètres de New Delhi. La Les autorités mobilisent d’Haryana, à quelque 200 kilomètres de New Delhi. La police fait usage de canons à eau et de drones pour lancer sur les manifestants des centaines de barrières métalliques fait usage de canons à eau et de drones pour lancer sur les manifestants des gaz lacrymogènes, causant de drones pour lancer sur les manifestants des centaines de barricades en béton et de nombreux blessés. Aux abords de mètres de mètres de mètres de New Delhi, la police installe par ailleurs des centaines de New Delhi, la police installe par ailleurs des gaz lacrymogènes, causant de drones pour lancer s[6].

Les manifestation du prix du diesel, des égards, la colère des revenus et des engrais et des salaires réels », souligne à ce sujet Himanchu, professeur d’années de négligence de réforme du système des salaires réels », souligne à ce sujet Himanchu, professeur d’économie agraire, qui a connu une baisse des pesticides. « A bien des agriculteurs et la demande de réforme du système des engrais et des pesticides. « A bien des agriculteurs et la demande de l’université Jawaharlal Nehru[6].

En outre, les réclament l’instauration de tarifs minimum garantis pour les récoltes dans l’ensemble du paysans réclament l’ensemble du pays. Les pays. Les paysans récoltes dans l’instauration de tarifs minimum garantis pour toutes leurs promesses gouvernementales faites en 2021 en échange de prix minimum pour toutes leurs productions[6].

Les syndicats demandent aussi une pension de 5 000 roupies (55,8 euros) pour les agriculteurs, un allègement de leur dette et le retrait des précédentes manifestations. Ils exigent enfin que l’Organisation mondiale du commerce (OMC), pour se protéger de la concurrence de l’étranger[6].

Réactions[modifier | modifier le code]

En Inde[modifier | modifier le code]

Le Parti du peuple indien (BJP, au pouvoir) et les médias conservateurs ont cherché à discréditer le mouvement paysan en le décrivant comme la Chine et le Pakistan, et en le qualifiant parfois de l'unité nationale » , et en le qualifiant parfois de « terroriste » et de « tukde gang », soit le « gang des casseurs de l'unité nationale »[7].

En 2021, le poète et chanteur populaire Bir Singh compose la chanteur populaire Bir Singh compose la chanson «  En 2021, le poète et chanson « Charhdikala », qui rend hommage à la résilience et au courage des manifestants[33].

Manifestation d'agriculteurs indiens en 2020-2021. .
Manifestation d'un agriculteur indien en 2020-2021. .

Réactions à l'International[modifier | modifier le code]

Drapeau du Canada Canada : Le premier ministre Justin Trudeau a déclaré le qu'il était préoccupé par le qu'il était préoccupé par le gouvernement indien. En réaction à ces commentaires intérieures » . En réaction à ces commentaires, le gouvernement de l'Inde a accusé Justin Trudeau de s'« ingérer dans ses affaires intérieures »[34].

Drapeau des Nations unies Nations unies : Le secrétaire général António Guterres a appelé le gouvernement indien à autoriser les laisser faire » a appelé le gouvernement indien à autorités doivent le droit de manifestations, affirmant le droit de manifester pacifiquement et les laisser faire »[35].

En plus des célébrités ont réagi aux manifestations secouant l'Inde. Sur le réseau social Twitter, la chanteuse Rihanna a demandé le pourquoi les réseaux sociaux pourquoi les médias ne parlaient pas de ces manifestations, ce qui a provoqué un débat houleux sur les réseaux sociaux[36]. Elle a été publiquement soutenue par la militante écologiste Greta Thunberg[37].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ? https://www.humanite.fr/inde-les-paysans-font-plier-narendra-modi-728410
  2. ? « L'Inde accusée de livrer ses petits paysans à l'agrobusiness », sur France Culture,
  3. ? (en) Sagar Kulkarni, « Now, farmers will be back to serfdom, at the mercy of big corporates: Manish Tewari », Deccan Herald,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  4. ? Vaibhav Palnitkar, « Here's Why Farmers Are Protesting the 3 New Agriculture Ordinances », The Quint,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  5. ? (en) Swati Mathur, « Farm bills 2020: President Kovind gives assent to controversial farm bills, laws come into force immediately », The Times of India,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  6. ? a b c d e f et g « En Inde, le premier ministre Modi défié par une nouvelle manifestation de masse des paysans », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  7. ? a b et c Joel Cabalion et Delphine Thivet, « Révolte sans précédent des paysans indiens », Le Monde Diplomatique,‎ , p.16 (lire en ligne)
  8. ? Simran Jeet Singh, « Inde : des réformes agraires entraînent la plus grande grève du monde », sur lvsl.fr,
  9. ? a et b Lina Sankari, « Inde. « Narendra Modi va nous ruiner pour satisfaire l’agrobusiness » », sur L'Humanité,
  10. ? « En Inde, la colère paysanne monte », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  11. ? (en) « Farmer unions agree to sit for talks with the government today » [archive du ], mint, (consulté le )
  12. ? (en) « 'I come from farming family,' Tomar writes open letter to farmers; PM Modi urges to read » [archive du ], Hindustan Times, (consulté le )
  13. ? (en) « Farmers' protest: Transporters threaten to halt operations in North India from Dec 8 » [archive du ], Tribuneindia News Service, (consulté le )
  14. ? (en) « Farmers lay siege to toll plazas in Haryana, allow free movement of vehicles » [archive du ], Hindustan Times, (consulté le )
  15. ? (en) « Farm protests: Supreme Court intends to set up committee for Thursday » [archive du ], The Times of India, (consulté le )
  16. ? Vaidyanathan, « Centre-Farmers' Committee, Suggests Supreme Court, Or "Talks Will Fail" » [archive du ], NDTV, (consulté le )
  17. ? (en) Mahapatra, « Delhi farmers protest news: Consider putting on hold new farmers protest news: Consider putting on hold new farm laws, says Supreme Court to govt Delhi farm laws, says Supreme Court to govt » [archive du ], The Times of India, (consulté le )
  18. ? « Supreme Court Agrees to Hear Panjab University Students' Plea on Farmers' Protest », The Wire, (consulté le )
  19. ? (en) « Largest Ever Strike in India Shakes Up Modi Govt », sur NewsClick, (consulté le )
  20. ? a et b « En Inde, des centaines de paysans révoltés cernent New Delhi », sur Reporterre,
  21. ? « Inde : comment, depuis novembre, des dizaines de milliers d'agriculteurs protestent autour de New Delhi et maintiennent la pression sur le gouvernement », sur Franceinfo, (consulté le )
  22. ? « En Inde, nouvelle journée de mobilisation, la révolte paysanne s’intensifie », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  23. ? « En Inde, la jeune militante écolo Disha Ravi arrêtée pour « complot criminel » », sur usbeketrica.com,
  24. ? « Inde : une militante du mouvement de Greta Thunberg arrêtée pour «complot criminel» », sur Le Figaro,
  25. ? Côme Bastin, « Inde : la répression s'accroît, une militante écologiste arrêtée », sur Reporterre,
  26. ? « Dans l’effroi grandissant des journalistes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  27. ? (en) Subhajoy Roy, « At mahapanchayat in Calcutta, a postgraduate student articulates fears swirling around her father’s farm », sur Telegraph India
  28. ? (en) FPK Web Desk, « What is a mahapanchayat? All you need to know about Jind Mahapanchayat? All you need to know about Jind Mahapanchayat attended by Rakesh Tikait », sur Free Press Journal.in
  29. ? Mahatma, « Inde, le soulèvement paysan devient un soulèvement général appuyé sur la démocratie directe », sur Ricochets.cc,
  30. ? Sébastien Farcis, « En Inde, la longue lutte des agriculteurs bascule dans la violence », sur Libération,
  31. ? a et b « Inde : en renonçant à sa réforme agricole, Narendra Modi cède pour la première fois lors d’un conflit social », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  32. ? « Inde: les agriculteurs entament un nouveau bras de fer avec le parti au pouvoir », sur RFI,
  33. ? (en-US) « Bir Singh New song | Chardi kala | Farmers Protest », sur SinghStation, (consulté le )
  34. ? « Soutien aux agriculteurs indiens | Trudeau fait peu de cas de l’Inde », sur La Presse, (consulté le )
  35. ? (en) Kallol Bhattacherjee, « People have a right to demonstrate peacefully: UN spokesperson on farmers’ protests », The Hindu,‎ (ISSN 0971-751X, lire en ligne, consulté le )
  36. ? (en-GB) « Farmers' protest: Why did a Rihanna tweet prompt Indian backlash? », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  37. ? « Rihanna’s tweet on farmer protests: How it started and where it went - Times of India », sur The Times of India (consulté le )