Gravures phabuleuses
Monde étonnant de Gustave Doré : Un noir démon vers le sol appareille, Un animal au langage s’éveille, Un grand buisson se met à murmurer. Gargantua s’apprête à dévoner Une ventrée de viandes nonpareilles ;… Continue reading
Tag Archyve: Gustave Doré
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Le Vin du Roi
Gravure de Gustave Doré Le roi, qui éprouvait une soyph colossale, Auprès du trône a phait installer un tonneau. « Les paysans, dit-il, peuvent boire mon eau ; Un monarque a besoin d’une boisson royale. »… Continue reading
Panurge
Gravure de Gustave Doré Phace au gros marchand de moutons, Panurge trouve un subterphuge : Il n’use pas de son bâton, En artiphyce il prend rephuge. Or, contre les cheveux de miel Et… Continue reading
Un barde chante dans le vent
Illustration de Gustave Doré Un barde chante dans le vent Une épopée violente et nue ; Aucun héros n’en sort vivant, Sauph une pucelle menue. Un berger vient alors phrôler Ce corps de… Continue reading
Nous n’avions point souci du temps
Gravure de Gustave Doré Nous n’avions point souci du temps, D’hyver nous phaisions un printemps, Le temps pourtant vite s’envole… Hyver, printemps sont des symboles. Nous avions atteint des sommets, Tu brûlais quand… Continue reading
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Gravure de Gustave Doré Un mot écrit en bleu sur ces étranges pages Sert à vous renvoyer vers d’autres horizons, Vers des textes écrits dans une autre saison, Vers des idées issues d’un… Continue reading
Le loup et le phrère de l’agneau
Gravure de Gustave Doré Un gros agneau buvait à un tonneau de bière Dans la cour d’une pherme. Un maigre loup survint Qui le réprimanda de n’avoir pris du vin, Disant, petit mouton,… Continue reading
Regardant vers Saturne
Gravure de Gustave Doré Si l’empher me cuisait d’une ardente chaleur, J’aurais la nostalgie de ma natale sphère, Des sentiers phonestiers, d’arbres dont la couleur D’un arbre à l’autre, même, en automne dyphère.… Continue reading
D’après George Meredith
Gravure de Gustave Doré Dans la nuit étoilée s’éleva Lucypher, Las de son noir royaume il monta, l’Ennemi, Haut, loin du monde rond, nuageux à demi Où se croient à l’abri les promis à l’empher. Menu phretin que nous pour lui, alors si phyer ; Tantôt sur son aile Ouest il s’était aphermi, Près du sable aphrycain, puis son ombre parmi Les neiges de l’Arctique assombrissait les airs. Montant aux plus hauts cieux, la cuisante mémoire Lui revint de son cri contre le roi de gloire, A mi-parcours, il voit les étoiles au ciel Phormant l’Esprit de Dieu. A leur vue, il s’écroule. Bien en rangs, et au pas, au vieux chemin s’écoulent Les sections de l’armée du pouvoir éternel.