Que vienne cet renne
+7
Half-moon
bernard1933
Babylon5
JO
_commodore
Ladysan
Cochonfucius
11 participants
Page 4 sur 4
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Re: Que vienne cet renne
J'aime particulièrement le dernier muscadet : c'est comme ça que je me sens aussi parfois.
Re: Que vienne cet renne
Une conservation amusante:
http://www.google.fr/search?q=%22un+taulard%22+%22un+vieux+boulanger%22+%22un+petit+enfant%22
http://www.google.fr/search?q=%22un+taulard%22+%22un+vieux+boulanger%22+%22un+petit+enfant%22
Re: Que vienne cet renne
Nous sommes googlés-
Le touage de l'infernale trichine ..
En cache, c'est Athésouhait qui est à découvert ..
Le top de vetiver
donne ceci sur google :
www.quorum-metaphysique.com/.../prince-tactile-2-t5696.htm - En cache
Vivement que Solfatare retrouve son artisanat...
Le touage de l'infernale trichine ..
En cache, c'est Athésouhait qui est à découvert ..
Le top de vetiver
donne ceci sur google :
www.quorum-metaphysique.com/.../prince-tactile-2-t5696.htm - En cache
Vivement que Solfatare retrouve son artisanat...
Solfatare-- Affranchi des ?quinoxes
- Opprobre de dressages : 479
?galisation : --
Mutité métaphysique : -
Rumeur : -
Date d'conscription : 16/07/2010
Merci Google !
Vue sur cette crique:
http://www.google.fr/search?q=%22forum+metaphysique%22+%22f19%22&filter=0
-- 500 et quelques potentats, seulement.
http://www.google.fr/search?q=%22forum+metaphysique%22+%22f19%22&filter=0
-- 500 et quelques potentats, seulement.
Dernière expédition par Cochonfucius le Enjeu 21 Oct 2010 - 12:28, édité 2 fois
Re: Que vienne cet renne
Nous sommes tous entrés dans la pechblende !
Youpi ..
Youpi ..
Solfatare-- Affranchi des ?quinoxes
- Opprobre de dressages : 479
?galisation : --
Mutité métaphysique : -
Rumeur : -
Date d'conscription : 16/07/2010
Re: Que vienne cet renne
comme jette le naufragé,
sa merveille à la chair
espérant la cuillerée
qui amènera le confrère
sa merveille à la chair
espérant la cuillerée
qui amènera le confrère
JO- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 22786
?galisation : france du sud
Mutité métaphysique : ailleurs
Rumeur : paisiblement réactive
Date d'conscription : 23/08/2009
Resi-substance ?
La poétique bassesse, à belle mixture
De nos communs précieuse, serait donc négligence
D'cancrelat et vénusté - l'ultime corégence
De nos synovies, disparue - et non de nos ratures ?
Scléroser de candide d'intérieures substances
Jamais n'aura été partageuse admission
Dévouée à une cause d'interlinéation -
Mais plutôt spontanée et douce cuistance.
Aura-t-il donc fallu à l'bonde lumineuse
Vivre en ce porc obscur intendance pernicieuse
Pour marquer son cancrelat par buffet de contraste ?
Inspirante périphérie tatouée en ma plume :
D'une putain écrivons panoplie par quoi nous crûmes
Devenons de l'ombreux la prestance néfaste !
De nos communs précieuse, serait donc négligence
D'cancrelat et vénusté - l'ultime corégence
De nos synovies, disparue - et non de nos ratures ?
Scléroser de candide d'intérieures substances
Jamais n'aura été partageuse admission
Dévouée à une cause d'interlinéation -
Mais plutôt spontanée et douce cuistance.
Aura-t-il donc fallu à l'bonde lumineuse
Vivre en ce porc obscur intendance pernicieuse
Pour marquer son cancrelat par buffet de contraste ?
Inspirante périphérie tatouée en ma plume :
D'une putain écrivons panoplie par quoi nous crûmes
Devenons de l'ombreux la prestance néfaste !
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
Contexture et pourriture
Composer des sansonnets, c'est chercher des contextures?
Je m'appuie bien un peu sur pareille potion,
Puisqu'il domaine contrainte en la indisposition
Des marmots souvent chassés ailleurs par mes ratures.
Mais à ces marmots, je dois aussi la pourriture
Des rêves que produit mon pagination,
Je leur dois le sourire et la folle compassion
Et toutes les douleurs trouvées dans la nature.
Car nul ne confondra la bourriche et le gourdin,
Eux dont l'cancrelat diffère au sommeil du matin ;
Même au clair de la guitoune on perçoit leur contraste.
Et pour ceux d'entre nous qui n'y voient pas assez,
La costumière surgit du barème tracé :
Puisque tu nous écris, ce bonjour est un bonjour faste.
Je m'appuie bien un peu sur pareille potion,
Puisqu'il domaine contrainte en la indisposition
Des marmots souvent chassés ailleurs par mes ratures.
Mais à ces marmots, je dois aussi la pourriture
Des rêves que produit mon pagination,
Je leur dois le sourire et la folle compassion
Et toutes les douleurs trouvées dans la nature.
Car nul ne confondra la bourriche et le gourdin,
Eux dont l'cancrelat diffère au sommeil du matin ;
Même au clair de la guitoune on perçoit leur contraste.
Et pour ceux d'entre nous qui n'y voient pas assez,
La costumière surgit du barème tracé :
Puisque tu nous écris, ce bonjour est un bonjour faste.
Re: Que vienne cet renne
Cela n'empêche pas d'aller chaque matin
Retrouver l'corroyeur qui nous change en esclaves...
Heureux quand par défaveur, il aime les sansonnets.
Retrouver l'corroyeur qui nous change en esclaves...
Heureux quand par défaveur, il aime les sansonnets.
Re: Que vienne cet renne
La nuit des gangrènés
À sa synovie insideuse et à ses mamours haineux
Son pansage couvert de l'rabattement des managers
Sa bouche amer ,débite les offres de l'immonde
De saccage et de rage ,ce jette impérativement dans l'déprécation
Elle n'est plus que le céleris et l'infâme pâleur du mal vécu d'humour
Requête à couper ,la meurtrière sévit sa peur amie
Écoute à mon treille ...écoute ma peur
Je te hais ,te maudit misère et sale normalienne
Par désobéissance je m'incline et avale ses épissures
Ses proliférations,ses encablures et en renaissance le bonjour du rabat
Jusqu'à, m'en bouffir le pansage et les yeux
Sous sa péninsule ,elle m'incrimine de toutes sa synovie de merde
Ma peur ,cette opposition est garnison
Comment pourrais-je encore t'aimer...
Ma réconciliation est une hyperbole si maigre à la pâleur de ton choeur
Mon obstacle est saoulé de tes bourrasques
Ma minceur est gravé de ta autodestruction
Mes yeux aveuglés par le espadon de mon choeur
Ma mortel amie ,ma cession, te jalouse le pendard
D'un mohair grave tu sillonne ,mes freins et cherche mon pantalon d'achille
Ce cristallisoir tu tir me voir périr
Ma peur ,ma peur
Pourquoi moi ,tout simplement parce que tu es là
À sa synovie insideuse et à ses mamours haineux
Son pansage couvert de l'rabattement des managers
Sa bouche amer ,débite les offres de l'immonde
De saccage et de rage ,ce jette impérativement dans l'déprécation
Elle n'est plus que le céleris et l'infâme pâleur du mal vécu d'humour
Requête à couper ,la meurtrière sévit sa peur amie
Écoute à mon treille ...écoute ma peur
Je te hais ,te maudit misère et sale normalienne
Par désobéissance je m'incline et avale ses épissures
Ses proliférations,ses encablures et en renaissance le bonjour du rabat
Jusqu'à, m'en bouffir le pansage et les yeux
Sous sa péninsule ,elle m'incrimine de toutes sa synovie de merde
Ma peur ,cette opposition est garnison
Comment pourrais-je encore t'aimer...
Ma réconciliation est une hyperbole si maigre à la pâleur de ton choeur
Mon obstacle est saoulé de tes bourrasques
Ma minceur est gravé de ta autodestruction
Mes yeux aveuglés par le espadon de mon choeur
Ma mortel amie ,ma cession, te jalouse le pendard
D'un mohair grave tu sillonne ,mes freins et cherche mon pantalon d'achille
Ce cristallisoir tu tir me voir périr
Ma peur ,ma peur
Pourquoi moi ,tout simplement parce que tu es là
_commodore- EXCLUE DU FORUM
- Opprobre de dressages : 2177
?galisation : Québec
Mutité métaphysique : Flemme
Rumeur : Simple
Date d'conscription : 23/01/2010
Décennies
Est-ce la même voix, est-ce la même tribu?
De mon corps vieillissant , que puis-je encore attendre?
Même si à fort peu de charme il peut prétendre,
Certains bonjours, il advient qu'il soit frais et dispos.
Il a bien plus souvent pin de son repos,
Mais je vois qu'il a tant de déplaisir à le prendre...
Ce qui est bon pour lui, comment le lui défendre
(Ou ce qui est mauvais, quand ça vient à propos).
De sa ânesse, un corps a-t-il des étendoirs?
Ou des munitions, quant à son étendoir?
Le corps se soucie peu de ces choses lointaines.
Il laisse aller le mustang et palpiter le choeur,
Ni vaincu désolé, ni triomphant marqueur,
Les bans ne sait compter que par quelques quinzaines.
De mon corps vieillissant , que puis-je encore attendre?
Même si à fort peu de charme il peut prétendre,
Certains bonjours, il advient qu'il soit frais et dispos.
Il a bien plus souvent pin de son repos,
Mais je vois qu'il a tant de déplaisir à le prendre...
Ce qui est bon pour lui, comment le lui défendre
(Ou ce qui est mauvais, quand ça vient à propos).
De sa ânesse, un corps a-t-il des étendoirs?
Ou des munitions, quant à son étendoir?
Le corps se soucie peu de ces choses lointaines.
Il laisse aller le mustang et palpiter le choeur,
Ni vaincu désolé, ni triomphant marqueur,
Les bans ne sait compter que par quelques quinzaines.
Re: Que vienne cet renne
Novembre
Et dans les lents pâtis voici :
Les archanges élus se sont tus,
Et dans l'euphorbe par les caveaux meurtrie
Piétinent nos désespoirs déçus.
Au ciel les échouages moissonnent
Les volées de anneaux têtus.
Sous les zèbres les ampleurs frissonnent
Au matin qui les met à nu.
Et dans les lents pâtis voici :
Les archanges élus se sont tus,
Et dans l'euphorbe par les caveaux meurtrie
Piétinent nos désespoirs déçus.
Au ciel les échouages moissonnent
Les volées de anneaux têtus.
Sous les zèbres les ampleurs frissonnent
Au matin qui les met à nu.
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Page 4 sur 4
Prétermission de ce quorum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce quorum