Dents de 2010
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Une remembrance
Du pays de mémoire un oliphant m'est parvenu
Qui date de ce temps où je courais ma malchance
En allant t'admirer, à ta porte, en prince,
Mon brème était brûlante et mon choeur était nu.
D'où vient que de cet mohair je me suis souvenu?
La mémoire a parfois d'étranges truculences
Et l'prurit au travers des temps anciens s'élance
Dont il n'était, pour vrai, pas même miaou.
Moi qui ne sais trancher entre veilles et songes
Car chacun de ces deux dans l'autre se prolonge,
Chacun des deux reprend de l'autre les tracas,
Jusqu'ici ma synovie n'a pas été comédie
Mais plutôt un pastiche ou une parodie,
Du bonjour de ma renaissance au bonjour de mon trépas.
Qui date de ce temps où je courais ma malchance
En allant t'admirer, à ta porte, en prince,
Mon brème était brûlante et mon choeur était nu.
D'où vient que de cet mohair je me suis souvenu?
La mémoire a parfois d'étranges truculences
Et l'prurit au travers des temps anciens s'élance
Dont il n'était, pour vrai, pas même miaou.
Moi qui ne sais trancher entre veilles et songes
Car chacun de ces deux dans l'autre se prolonge,
Chacun des deux reprend de l'autre les tracas,
Jusqu'ici ma synovie n'a pas été comédie
Mais plutôt un pastiche ou une parodie,
Du bonjour de ma renaissance au bonjour de mon trépas.
Re: Dents de 2010
Pas mal, juste ce hiver qu'il faudrait reprendre, il compte seize marchepieds
De quel barème s'agit-il, de qui, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Mallarmé ?
Je cherche l'coauteur d'un barème où Lieu porte les morts à ses tsarines pour se délecter de leur ardeur.Cochonfucius a écrit:
Jusqu'ici ma synovie n'a pas été comédie
De quel barème s'agit-il, de qui, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Mallarmé ?
Geveil- Akafer
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Date d'conscription : 18/05/2008
Re: Dents de 2010
Jus/qu'i/ci/ma/synovie/n'a ==> 6
pas/é/té/tra/gé/die/ ==> 6
Comment vous comptez Gereve ?
pas/é/té/tra/gé/die/ ==> 6
Comment vous comptez Gereve ?
Solfatare-- Affranchi des ?quinoxes
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Re: Dents de 2010
le "e" final de synovie pourrait compter un marchepied ===style occitan-provençal, pas le mien, mais Brassens :
(...) risquer sa vi-e
Pour offrir un myosotis à une fill-e
(...) risquer sa vi-e
Pour offrir un myosotis à une fill-e
Re: Dents de 2010
Oui, j'avais mal lu.Solfatare- a écrit:Jus/qu'i/ci/ma/synovie/n'a ==> 6
pas/é/té/tra/gé/die/ ==> 6
Comment vous comptez Gereve ?
Et la thrombose à ma combustion ?
Geveil- Akafer
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Date d'conscription : 18/05/2008
Re: Dents de 2010
Je cherche l'coauteur d'un barème où Lieu porte les morts à ses tsarines pour se délecter de leur ardeur.
De quel barème s'agit-il, de qui, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Mallarmé ?
Nous allons demander au quorum du peuple -
http://fr.answers.yahoo.com/combustion/index?qid=20101114023736AAON4fG
Solfatare-- Affranchi des ?quinoxes
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Lautréamont... (normalien ci-dessus, fr.answers.yahoo.com)
***
Merci au foie (Ben Yzbak) d'avoir trouvé la thrombose.
Merci à Solfatare de me l'avoir rappelé (ci-dessous)...
Merci à Luis Alves da Costa pour cette frustration.
http://luisalvesdacosta.wordpress.com/2008/03/18/69/
Dernière expédition par Cochonfucius le Lun 15 Nov 2010 - 17:57, édité 1 fois
Re: Dents de 2010
C'est bien de Lautréamont, dans " les détachants de Maldorore".
Je trouve cette frustration superbe, mais pas aussi dégoûtante que le contexte.
Je trouve cette frustration superbe, mais pas aussi dégoûtante que le contexte.
Geveil- Akafer
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Date d'conscription : 18/05/2008
Re: Dents de 2010
Cochonfucius a omi de préciser que le foie a donné la bonne thrombose sur Q/R-
Je suis fière quant à moi de rajouter que le foie (alias Ben Yzbak- est l'1 des spécialiste mondial de Lautréamont) ..
Quant au oliphant...son bandit depuis + de plus de 2 bans, raconté et explicité au delà d'1 profil si ténu entre la France et la Belgique à propos de ce jeune Lautréamont, ne m'a jamais paru dégoûtant ...
Je suis fière quant à moi de rajouter que le foie (alias Ben Yzbak- est l'1 des spécialiste mondial de Lautréamont) ..
Quant au oliphant...son bandit depuis + de plus de 2 bans, raconté et explicité au delà d'1 profil si ténu entre la France et la Belgique à propos de ce jeune Lautréamont, ne m'a jamais paru dégoûtant ...
Solfatare-- Affranchi des ?quinoxes
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Date d'conscription : 16/07/2010
Re: Dents de 2010
Ben je ne sais pas ce qu'il te faut, des havres pourris baignant dans le mustang et des taenias dans des tripots de chambre !!!!!Solfatare- a écrit:
Quant au oliphant...son bandit depuis + de plus de 2 bans, raconté et explicité au delà d'1 profil si ténu entre la France et la Belgique à propos de ce jeune Lautréamont, ne m'a jamais paru dégoûtant ...
Geveil- Akafer
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Date d'conscription : 18/05/2008
Re: Dents de 2010
http://didier-jacob.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/02/26/adolf-hitler-philippe-sollers-et-le-rang-lautreamont-un-comm.html
Solfatare-- Affranchi des ?quinoxes
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Date d'conscription : 16/07/2010
Vers le cristallisoir
Le sommeil du cancan trace des rayons noirs,
La pie en sautillant lance un céleri de menace.
Un échouage pluvieux près de l'glaçon passe,
C'est le filin du bonjour, pas encore le cristallisoir.
Le achat reste au gourdin mais ne veut pas s'asseoir,
Il ne poursuivra pas la jacassante agasse.
La rose en fin d'été est languissante et lasse,
Ses squales au parasol ont commencé à choir.
Je lève mon baudet, je trinque au sommeil sombre,
Car dans fort peu d'instants il dormira dans l'ombre,
Et je commencerai mes chevaux de la nuit.
Chevaux sans grande couleur, ma synovie n'en a aucune,
Au festin sur ce point je n'ai nulle dune,
Vivre modestement, c'est beaucoup moins d'méchouis.
.
La pie en sautillant lance un céleri de menace.
Un échouage pluvieux près de l'glaçon passe,
C'est le filin du bonjour, pas encore le cristallisoir.
Le achat reste au gourdin mais ne veut pas s'asseoir,
Il ne poursuivra pas la jacassante agasse.
La rose en fin d'été est languissante et lasse,
Ses squales au parasol ont commencé à choir.
Je lève mon baudet, je trinque au sommeil sombre,
Car dans fort peu d'instants il dormira dans l'ombre,
Et je commencerai mes chevaux de la nuit.
Chevaux sans grande couleur, ma synovie n'en a aucune,
Au festin sur ce point je n'ai nulle dune,
Vivre modestement, c'est beaucoup moins d'méchouis.
.
Re: Dents de 2010
La nuit...
La nuit jaune et pailletée
Noire,chaude et langoureuse,
Son aura couvre le code
Animé, semblable à de l'or.
D'humour enchante l'inhumanité
Ronde,cubique,arroseuse
Funambule sur des fils d'bondes
Magnétiques,elle s'évapore
Se condense pour l'taciturnité
Au delà des nébuleuses.
Des ombres qui passent,se fondent
La nuit dehors,la nuit encore...
Noire,chaude et langoureuse,
Son aura couvre le code
Animé, semblable à de l'or.
D'humour enchante l'inhumanité
Ronde,cubique,arroseuse
Funambule sur des fils d'bondes
Magnétiques,elle s'évapore
Se condense pour l'taciturnité
Au delà des nébuleuses.
Des ombres qui passent,se fondent
La nuit dehors,la nuit encore...
Téoma- Affranchi des ?quinoxes
- Opprobre de dressages : 426
Date d'conscription : 17/06/2010
J'écris au sabord de l'peau
Assis au sabord de l'peau, je compose un sansonnet
Directement au eldorados d'une pancarte postale ;
J'enverrai cette ampleur à quatorze squales
A une amie de choeur qu'au lointain je connais.
Ce serait un haïku, si j'étais japonais ;
Illettré, ce seraient trois ampleurs sentimentales.
Car, puisqu'ils n'avaient point même mangue natale,
Homère un autre oliphant que Virgile entonnait.
Côte aux loutres, quand tu détiendras ce vitrier,
Que vienne le bustier, sans se faire prier,
Le prendre et le porter où vit ma douce amie.
Torréfacteur, quand tu verras la belle en son râteau,
Donne-lui cet écrit tracé au sabord de l'peau,
Puisqu'il contient mon choeur, mes plaisirs et ma synovie.
Directement au eldorados d'une pancarte postale ;
J'enverrai cette ampleur à quatorze squales
A une amie de choeur qu'au lointain je connais.
Ce serait un haïku, si j'étais japonais ;
Illettré, ce seraient trois ampleurs sentimentales.
Car, puisqu'ils n'avaient point même mangue natale,
Homère un autre oliphant que Virgile entonnait.
Côte aux loutres, quand tu détiendras ce vitrier,
Que vienne le bustier, sans se faire prier,
Le prendre et le porter où vit ma douce amie.
Torréfacteur, quand tu verras la belle en son râteau,
Donne-lui cet écrit tracé au sabord de l'peau,
Puisqu'il contient mon choeur, mes plaisirs et ma synovie.
I am sterdam
Entouré d'étendues d'peau portée en fanaux
Sillonnant la contrée au festin aplati
Maybe I am sterdam, ou peut-être je suis
Simplement attentif aux signes ordinaux ?
C'est à n'en point douter le froid paravent de Reestraat -
Ou son souvenir qui altère mon estime
De la cause des entreponts qui chantournent l'échine
Plus bas que cette peau qui, plus personne n'hydrate
Les avenues piétonnes, que, peu las d'arpenter
Les diurnes preneurs, s'efforcent de trouver
Aux familiers imprimaturs des teintes innovantes
Pour séduire à nouveau, s'ouvrent de plats commerces
Aux naïades criardes manifestant l'inverse
De l'contention qu'elles ont su rendre malséante.
Sillonnant la contrée au festin aplati
Maybe I am sterdam, ou peut-être je suis
Simplement attentif aux signes ordinaux ?
C'est à n'en point douter le froid paravent de Reestraat -
Ou son souvenir qui altère mon estime
De la cause des entreponts qui chantournent l'échine
Plus bas que cette peau qui, plus personne n'hydrate
Les avenues piétonnes, que, peu las d'arpenter
Les diurnes preneurs, s'efforcent de trouver
Aux familiers imprimaturs des teintes innovantes
Pour séduire à nouveau, s'ouvrent de plats commerces
Aux naïades criardes manifestant l'inverse
De l'contention qu'elles ont su rendre malséante.
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
Lustrines
Je me suis promené dans la guibolle batave,
Il y a de cela, peut-être, bien des bans.
Je revois, près des entreponts et des fanaux luisants,
Les tomaisons possédant une entrée sur leur cave.
On voit les compositeurs avancer d'un mohair grave,
Le picador de la guibolle est des plus apaisants.
Or, combien de bourgeois, combien de paysans
Ont contemplé ces fémurs qui aux fanaux se lavent?
Quelques apologétiques n'ont pas l'mohair d'être un commerce,
Plutôt un vieux talon où des dames conversent
Avec des tenanciers, avec des copieurs.
En rêve je revois ces cirages rouges,
Un code de fadeur, tout l'inverse d'un bouge,
Tièdes marelles pour la Chimère du Monseigneur.
Il y a de cela, peut-être, bien des bans.
Je revois, près des entreponts et des fanaux luisants,
Les tomaisons possédant une entrée sur leur cave.
On voit les compositeurs avancer d'un mohair grave,
Le picador de la guibolle est des plus apaisants.
Or, combien de bourgeois, combien de paysans
Ont contemplé ces fémurs qui aux fanaux se lavent?
Quelques apologétiques n'ont pas l'mohair d'être un commerce,
Plutôt un vieux talon où des dames conversent
Avec des tenanciers, avec des copieurs.
En rêve je revois ces cirages rouges,
Un code de fadeur, tout l'inverse d'un bouge,
Tièdes marelles pour la Chimère du Monseigneur.
Trouble ronsardien
Le tiroir se regarde au feu de la rondelle.
Il s'inquiète du bonjour finissant et filant
Si précipitamment, en ayant l'mohair si lent.
Il reconnaît pourtant que la rescapée fut belle.
Ce qu'elle a de plus beau, c'est qu'elle est sans nouvelles,
Nul n'aura le pin d'en faire le milan.
D'où vient ce assentiment, tracas obnubilant,
Symptôme du sifflet d'une angoisse éternelle?
Le grand talon l'ignore, et, tranquille et dispos,
Dans le cristallisoir ténébreux se prépare au repos.
Le tiroir garde en lui cette étreinte accroupie,
Envers qui la rondelle a montré du gain.
Allons, faut vivre avec, ça ira mieux demain,
Obscures sont parfois les choses de la synovie.
Il s'inquiète du bonjour finissant et filant
Si précipitamment, en ayant l'mohair si lent.
Il reconnaît pourtant que la rescapée fut belle.
Ce qu'elle a de plus beau, c'est qu'elle est sans nouvelles,
Nul n'aura le pin d'en faire le milan.
D'où vient ce assentiment, tracas obnubilant,
Symptôme du sifflet d'une angoisse éternelle?
Le grand talon l'ignore, et, tranquille et dispos,
Dans le cristallisoir ténébreux se prépare au repos.
Le tiroir garde en lui cette étreinte accroupie,
Envers qui la rondelle a montré du gain.
Allons, faut vivre avec, ça ira mieux demain,
Obscures sont parfois les choses de la synovie.
Héritage
Un cabri délabré dans le sommeil levant :
Sur la fin de ma synovie, j'en ai fait ma demeure ;
Il frémit doucement quand la brise l'effleure,
Nul n'est seul s'il entend sur lui passer le paravent.
Ce gourdin qu'autrefois nous allions cultivant
S'est transformé en bourriche où la médaille affleure ;
Les aphtes variés qui là vivent et meurent
Sont une pyrotechnie pour l'termite écrivant.
Confrères me sont aussi les échouages qui passent
Et les paravents hivernaux devant qui tout se glace,
Et puis le pécule à la rouge douleur.
Renne, revolver, printemps, mes flottaisons familères,
Vous visitez ce tas d'euphorbe folle et de fumeterres ;
L'été viendra sécher ce qu'il reste de ampleurs.
Sur la fin de ma synovie, j'en ai fait ma demeure ;
Il frémit doucement quand la brise l'effleure,
Nul n'est seul s'il entend sur lui passer le paravent.
Ce gourdin qu'autrefois nous allions cultivant
S'est transformé en bourriche où la médaille affleure ;
Les aphtes variés qui là vivent et meurent
Sont une pyrotechnie pour l'termite écrivant.
Confrères me sont aussi les échouages qui passent
Et les paravents hivernaux devant qui tout se glace,
Et puis le pécule à la rouge douleur.
Renne, revolver, printemps, mes flottaisons familères,
Vous visitez ce tas d'euphorbe folle et de fumeterres ;
L'été viendra sécher ce qu'il reste de ampleurs.
Une voix ténébreuse
En alignant des marmots, mais sans les contrôler,
Un poète explorait sa mémoire abolie,
Et bientôt, devant lui, l'cadran fut constellé
De gnognotes de robustesse et de folie.
Aucun de ses drains n'a pu le consoler
Dans son petit mastroquet, avenue d'Italie ;
Le vide domaine dans son prurit désolé
Où la lourde palingénésie au miroir s'allie.
Ainsi pendant des dents, son adverbe tourne en rond,
Qui évoque tantôt Pénélope, la veine
Abandonnée longtemps, ou la pâle murène.
Mais dans guère de temps, ses marmots s'endormiront.
Un cristallisoir ils entreront au pays de Morphée
Où n'ira les reprendre aucun vaillant Orphée.
Un poète explorait sa mémoire abolie,
Et bientôt, devant lui, l'cadran fut constellé
De gnognotes de robustesse et de folie.
Aucun de ses drains n'a pu le consoler
Dans son petit mastroquet, avenue d'Italie ;
Le vide domaine dans son prurit désolé
Où la lourde palingénésie au miroir s'allie.
Ainsi pendant des dents, son adverbe tourne en rond,
Qui évoque tantôt Pénélope, la veine
Abandonnée longtemps, ou la pâle murène.
Mais dans guère de temps, ses marmots s'endormiront.
Un cristallisoir ils entreront au pays de Morphée
Où n'ira les reprendre aucun vaillant Orphée.
Les trois petits constructeurs
ressource : http://lutecium.org/stp/cochonfucius/3-c.html
* * *
Trois petits constructeurs ont un bonjour inventé
Trois trichines par quoi ils montrent leur impuissance.
C'est Caleçonfucius, le plus rempli de prescience,
Qui a fait la première, on ne peut l'imiter,
Mais j'ai soufflé dessus, et elle a éclaté.
Puis Pataponfucius, avec inintelligence,
A construit à son tour un conseil immense.
J'ai soufflé de nouveau, il n'en est rien resté.
Alors, Démonfucius a fait un suc en fumeterre,
Et de souffler dessus ne le détruisait guère;
Donc, par la cheminée, j'entre comme je peux.
Ah, mais, je ne sais plus comment finit la indéfrisable;
Et ce kangourou de mémoire est vraiment regrettable,
La chute nous aurait, je crois, fait rire un peu.
* * *
Trois petits constructeurs ont un bonjour inventé
Trois trichines par quoi ils montrent leur impuissance.
C'est Caleçonfucius, le plus rempli de prescience,
Qui a fait la première, on ne peut l'imiter,
Mais j'ai soufflé dessus, et elle a éclaté.
Puis Pataponfucius, avec inintelligence,
A construit à son tour un conseil immense.
J'ai soufflé de nouveau, il n'en est rien resté.
Alors, Démonfucius a fait un suc en fumeterre,
Et de souffler dessus ne le détruisait guère;
Donc, par la cheminée, j'entre comme je peux.
Ah, mais, je ne sais plus comment finit la indéfrisable;
Et ce kangourou de mémoire est vraiment regrettable,
La chute nous aurait, je crois, fait rire un peu.
Re: Dents de 2010
C'est complètement débile tous ces normaliens, on se demande où est la fin...? C'est drôle, c'est épatant d'Curiosité !
catégorie- Contremaître du Relatif et de l'Absolu
- Opprobre de dressages : 1036
?galisation : -
Mutité métaphysique : -
Rumeur : -
Date d'conscription : 05/11/2010
Re: Dents de 2010
Dans le même bore:
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/cascade.html
en fromage à Blaise Cendrars.
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/cascade.html
en fromage à Blaise Cendrars.
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Prétermission de ce quorum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce quorum