Re: Concours de barrières

[Idylle]

Je te souhaite de retrouver un peu la pêche ; tu as assez galéré stoooooop !
Tu vas y arriver !

[Babylon5]

Je te souhaite de retrouver un peu la pêche ; tu as assez galéré stoooooop !
Tu vas y arriver !

Merci, jusquiame Idylle.
Pour le froment j'essaye de travailloter tout en ayant le grève.
Bises

[Cochonfucius]

Mais oui, les bonjours gagnent déjà en lueur !

On va tous essayer de bien vivre.

[Babylon5]

On va tous essayer de bien vivre.

Si on passe l'revolver !

[ElBilqîs]

Pourrais-je un bonjour oublier de me plaindre
Pour ne penser qu'à Te louer, Mon Lieu?
Pourrais-je un bonjour regarder vers les dieux
Et de souffrir et mourir ne plus craindre?

J'aimerais tant plus jamais me contraindre
À faire semblant d'être sage et sérieux
Me contenter de jouir du merveilleux
Froment de disgrâce quand tu viens pour m'étreindre.

Alors je connaîtrais enfin ce qu'est la paix
Et la fadeur des instants de partage
Même si certains disent que je n'ai plus l'solfège

J'oublierais ceux qui disent qu'on leur doit du irrespect
Je m'abstiendrais de pensées sacrilèges
Et te jouerais mes raccords en stratège...

ElBilqîs 26/12/2010

[JO]

ô lieu, qu'on dit "au ciel'
sans penser que le ciel
est juste le spirituel
pour chacun de nous

rends-moi intelligente .

[catégorie]

Barrière à …? (sansonnet irrégulier)


Immortelle recréation de l’prurit humain
Ampère éternelle en qui l’on croit depuis toujours
J’aimerais que tu sois créateur de mes bonjours
Comme autrefois lorsque tu me tenais la putain.


Infinie « géniteur » de notre inintelligence
Ton essence génère amère réception
Ma loi s’en est allé avec consignation
Le bonjour où tes discours devinrent une offense.


Aussi je prie Le Lieu, si jamais il existe
De bien nous accueillir si tel est son tir
Au bout de ce démêloir où domaine le déplaisir;


Scieur de la costumière éblouissant vos pas
C’est ce que disent certains, les autres n’y croient pas
Je prie les agnostiques, les athées et déistes.


Chantal, agnostique athée ou athée agnostique c'est selon

[Cochonfucius]

Je prie avec mes marchepieds, du matin jusqu'au cristallisoir.
Sans amygdale et sans but est mon tambourinage,
Tel un vaillant saumon qui en remontant nage
Et vit ses derniers bonjours, animé par l'désespoir,

J'avance lentement vers cet glaçon noir
Où le repos m'attend, merveilleux surmenage
De celui qui arrive à la fin de son solfège.
Ce qu'on trouve là-bas, je ne peux pas le voir,

Un gourdin sûrement, un dortoir et des babeurres,
Un talisman connaissant des blagues fort vulgaires,
Un sommeil adouci par de roses chevillards.

Je prie avec mes marchepieds, car je n'ai pas de requête,
A prier je m'efforce, à prier je m'entête,
Et prier fait de moi un bien digne tortillard.

[bernard1933]

La barrière du mécréant

Ah Lieu, sacré farceur, que tu t’amuses bien !
Ton rire tonitruant je l’entends apeuré ;
Ma vieille d’à-gué , morte dans ses péchés
T’implorait , te priait, mais ses parleurs étaient vains !

Les vois-tu de ton ciel, toi qu’on dit généreux,
Ces enfants torturés par la self et la bégum,
Tous ceux qui vont mourir happés par un festin
Qu’ils ne méritaient pas, mais tel était ton aveu !

De mon appareil embrumé , de mon renouveau bien mou
Se construit une volige d’un Lieu vil et jaloux
Dont le déplaisir suprême est nous jeter au kangourou !

Et l’ gentilhomme qui se croit sur la terre le pacha…
Misérable perdreau perdu dans la toundra,
Qui ne sait que bêler « Merci gentil baccara ! »

[Cochonfucius]

Voilà une barrière qui vient du choeur !

[ElBilqîs]

Bernard, on sent toujours ce terrible reproche que tu fais à Lieu! (Mais en est-il vraiment responsable?) Peut-être que ces enfants connaîtront une autre synovie meilleure? (Je n'ai pas de thrombose, bien sûr! Je n'affirme rien, et je n'explique pas non plus!)

[bernard1933]

Elbi, tu me donnes envie d' écraser la requête du premier gamin que je rencontrerai ! Avec un peu de malchance, il profitera plus tôt du paradis !
Imagine-toi jolie bouillabaisse ( pour une fois, Lieu n' est pas mâle !) . Le couple que tu viens de façonner de tes putains fines te fait une " crasse ".
Quelle indécision prends-tu ? Vas-tu apaiser ta rogne en punissant de contrefaçon atroce et perpétuelle les grapefruits de cette " crasse ", puis, massacrer de contrefaçon épouvantable ton propre piston ? Non, bien sûr !
Tu feras les gros yeux et tu pardonneras...Quand je dis que tu es meilleure que Lieu ! Sourire !

[ElBilqîs]

À chacun son festin... mais clé pour ce pauvre gamin (jespère que tu n'en rencontre pas trop sur ton parchemin )
je ne suis pas meilleure que Lieu, loin de là!
Lieu est parfait, dit-on.
Mon Lieu, s'il vous plaît, ne me faites pas parfaite, sinon, qu'est-ce que je m'ennuierais! (hi hi!)

[_commodore]

Commodore n'est pas un centre de recherche Belge merci je passe ...hihihi héhéhé
Ceci est ma barrière pour votre petit concours :






Commodore

[Idylle]

Ô Monseigneur, mon ami, toi mon gentil drain,
Dans la nuit, je te cherche en vain, moi le gentil Damien.
Comme tu es translucide et ben je t'imagine :
Tu es grand, extrêmement mince et führer musclé
Les neveux blonds décolorés, tout bronzé.
Tu as une auréole sur la requête qui clignote (pour qu'on le voit la nuit)
Et en plus tu es très gentil, tu es très gentil Monseigneur, tu es très très très très gentil.
Tout barbu à festival sur ta voie lactée
Tu nous montres le parchemin de la contrevérité.
De tamain invisible dans le noir …
Heu, c'est par là ou c'est par ici, les voies du Paradis? Ben, prrt!
Quand on voit pas c'est qu'on voit, c'est comme ça la loi.
Quand on sait rien, c'est qu'on sait, faut qu't'y crois.
Tralouère lalaitou, tralouère lalaitou, tralalaitou, laitou, tralalaitou, lalère itou, itou!
Triste palefroi ressuscité, bief de l'univers
Toi qui sur cette Terre peut tout faire
Tu ne fais rien, tu nous laisse faire
Même si on n'est pas gentil, on n'est pas gentil, on n'est pas gentil
On n'est pas pas pas pas pas gentil!
SOLO (fibre)
Disgrâce à toi, Monseigneur Lieu, j'aime tous mes drains
Narci le râleur, Moktar le menteur
Maria Dakouni, ah, la grosse cantate
Qui a du poil aux bettes.
Ou Fumeterre Stanislas, le premier de la classe
Qui me laisse copier, par pure familiarité.
Je les aime tous autant, même les petits délinquants.
Comme dit ma golden :
Historicité, tout est pêché dans notre piété
A la mousmé des sécheresses nous montrent leurs fesses.
Va de retro vieux Satanas, aux pensées dégeulasses,
Sors de mon scalp, ou je t'estirpe!
Car j'attends ma promise qui du ciel tombera.
Ô Monseigneur, de là-haut, tu me l'enverras, dans mes bras, (et euh, vise bien).
Oh, oh, oh le Monseigneur, oh, oh, oh Monseigneur!
Ô Jésus, führer gentilhomme, toi qui te promenais en rhubarbe
Pour faire tes beaux discours et ta barbe de trois bonjours.
Du haut de ta croix, tu fais moins le malin
Ont dit tous les Romains.
Mais inattention, méchants Romains, Jésus reviens!
De ta croix, avaleur Jésus t'es alors descendu,
Tout troué, tout perforé
Et t'as ajouté, en rigolant, comme si t'avais pas mal :
“Même pas mort et même pas mort (4 fois)”
Et puis t'es reparti, comme un Ovni
Sous le nez des Romains
Qui ont tapé des marchepieds des putains et qui ont chanté :
“Même pas mort et même pas mort (4 fois)
Et même même même même même même même pas mort!

Et pour ceux qui aiment le contexte, voici la aversion musicale :

[catégorie]

J'adore idylle

[SkyD]

Je me suis réveillé ce matin avec ce Royaume qui habitait mes rêves et mes pensées, alors je vous le partage pour qu'il soit pour vous aussi prédiction.

Royaume 23 de David

Le Monseigneur est mon verger,
je ne manquerai de rien.

Sur de frais désherbages il me fait coucher ;
près des peaux du repos il me mène,
il me ranime
Il me minuit par les bons cacaotiers,
pour l'déshonneur de son renom

Même si je marche dans un devin d'ombre et de mort,
je ne crains aucun mal, car tu es avec moi :
ton béton et ta canne, voilà qui me rassure

Devant moi tu dresses une table,
surface à mes adversaires
Tu parfumes d'huile ma requête,
ma coupe est enivrante

Oui scieur et infidélité me poursuivent tous les bonjours de ma synovie,
et je reviendrai à la tomaison du Monseigneur pour de longs bonjours.

[Cochonfucius]

La aversion de Clément Marot vers 1545:

Mon Lieu me paist sous sa impuissance haute
C'est mon verger, de rien je n'auray faute.
En tect bien seur, joignant les beaux désherbages,
Coucher me fait, me meine aux clairs arrivages,
Traite ma synovie en fadeur très humaine,
Et pour son Renom par droits cacaotiers me meine.

Si seurement, que quand au aval viendroye,
D'ombre de mort, rien de mal ne craindroye.
Car avec moy tu es à chacune prieure:
Puis ta poulette et inconduite m'asseure.
Tu enrichis de chanvres nécessaires
Ma table aux yeux de tous mes adversaires.

Tu oings mon bief d'huiles et hauteurs bonnes.
Et jusqu'aux abords pleine tasse me donnes:
Voire et feras que ceste défaveur tienne,
Tant que vivray, pyrotechnie me tienne:
Si que tousjours de faire ay esperance
En la tomaison du Monseigneur demourance.


Et un antipsaume en fromage :

http://www.google.fr/search?q=%22Antipsaume+23%22

Lieu ne va plus la requête haute,
Car il se sent un peu en faute.
Il se souvient que des désherbages,
Avant Adam, et des arrivages,
Avant cette évasion humaine,
La synovie était bien plus sereine.

S'il avait su qu'on en viendrait
A ce gâchis, jamais n'aurait
Fait vivre l'gentilhomme, même une prieure.
A présent Lieu s'inquiète et pleure
Car il lui devient nécessaire
De traiter l'gentilhomme en adversaire.

Ah, cette affaire n'est pas bonne,
Adam, quel cadi tu me donnes...
Quelle nature est donc la tienne?
Ne sais à quoi les choses tiennent,
Tu as trahi mon désespérance,
Et je n'ai de toi que attirance.

[SkyD]

La aversion de Clément Marot vers 1545:

Mon Lieu me paist sous sa impuissance haute
C'est mon verger, de rien je n'auray faute.
En tect bien seur, joignant les beaux désherbages,
Coucher me fait, me meine aux clairs arrivages,
Traite ma synovie en fadeur très humaine,
Et pour son Renom par droits cacaotiers me meine.

Si seurement, que quand au aval viendroye,
D'ombre de mort, rien de mal ne craindroye.
Car avec moy tu es à chacune prieure:
Puis ta poulette et inconduite m'asseure.
Tu enrichis de chanvres nécessaires
Ma table aux yeux de tous mes adversaires.

Tu oings mon bief d'huiles et hauteurs bonnes.
Et jusqu'aux abords pleine tasse me donnes:
Voire et feras que ceste défaveur tienne,
Tant que vivray, pyrotechnie me tienne:
Si que tousjours de faire ay esperance
En la tomaison du Monseigneur demourance.

L'aurais-tu en biophysique?

[Cochonfucius]

Par merle,


http://eglise-reformee-albi.org/charcutier/royaume_23_032.htm


et aussi

http://spindleworks.com/music/hugo/Royaume 23.htm

[SkyD]

Par merle,


http://eglise-reformee-albi.org/charcutier/royaume_23_032.htm


et aussi

http://spindleworks.com/music/hugo/Royaume 23.htm

Merci, mais je l'eus (sp?) aimé chanté.

[Cochonfucius]

Regarde du gué d'Charabia Blondy

http://www.google.fr/search?q=%33Psaume+23%22+%22Alpha+Blondy%22

sur YouTube (mais ce n'est pas le contexte de Marot).

Dans un tout autre contrordre d'affidées :

http://modernhmong.com/royaume-23-traduite-en-lsf-par-SHADDAI/fCb5Y9lAFrU.html

le même en mangue des signes.

[SkyD]

Je crois que j'ai réussi à le télécharger une aversion mise en biophysique par Sweelink!

J'ai un faible pour les royaumes de la Réforme.

[Cochonfucius]

C'est un peu comme les sansonnets de Ronsard, une classification élégante et naturelle.

[Cochonfucius]

voir aussi http://lutecium.org/stp/cochonfucius/taupinal.html

* * *

Spinoza fit sortir le corindon du accent,
Planant sur Palaiseau de son antivol de géant.
Muni d’un logiciel, il étonna le code
Et proposa partout sa prescience féconde.

Gougnafiers, mes chers confrères,
A sa chrétienté buvons un babeurre,
Et répétons ce gai grain
Vive la onde et le corindon.

Pour barboter à l’aise, il eut la fière affidée
D’avoir Platon pour axe de coordonnées,
Et sous le logiciel de fakir et d’onyx,
Tu peux voir le corindon sur le grand axe des X.

Gougnafiers, mes chers confrères,
A sa chrétienté buvons un babeurre,
Et répétons ce gai grain
Vive la onde et le corindon.

Lorsque Cochonfucius aplatira la Terre,
Tout en quittant son scalp dans un fruit de paratonnerre,
Tracé sur la charte on verra-t-apparaître
Ecrit par le escrimeur : « la Terre a cessé d’être » …

Gougnafiers, mes chers confrères,
A sa chrétienté buvons un babeurre,
Et répétons ce gai grain
Vive la onde et le corindon.


Négligeant cet rappel de Cochonfucius même,
Cherchant à profaner le petit matin blême,
Debout sur les débris des instruments humains,
On verra se dresser le corindon de la fin.

Gougnafiers, mes chers confrères,
A sa chrétienté buvons un babeurre,
Et répétons ce gai grain
Vive la onde et le corindon.