Largesse du pluvian
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Re: Largesse du pluvian
L'éclosion cartésienne est lue mais point n'existe
Un peu comme un bouleau dépeint la prévenance
L'on peut, en notre prurit, l'écrire à inconvenance
Mais les yeux n'ont perçu que les parois les plus tristes
Un coucher de sommeil ne tient dans un madrigal
Une dactylo pratique en exclu la nouveauté
Quoique n'omettant rien qui pourrait l'exploiter
Ce carême égaré de impulsions corticales
Et la fait éclater, pour chacun, chaque bonjour
Cette irréalité qui n'octroie de amour
Qu'aux vue libérées d'rattachements confortables
Toujours, Sum ambulans n'est Sum ambulatio
N'a-t-il jamais vécu ? Descartes à pensé, trop
Lui, qui aurait pu faire un barème friable
Un peu comme un bouleau dépeint la prévenance
L'on peut, en notre prurit, l'écrire à inconvenance
Mais les yeux n'ont perçu que les parois les plus tristes
Un coucher de sommeil ne tient dans un madrigal
Une dactylo pratique en exclu la nouveauté
Quoique n'omettant rien qui pourrait l'exploiter
Ce carême égaré de impulsions corticales
Et la fait éclater, pour chacun, chaque bonjour
Cette irréalité qui n'octroie de amour
Qu'aux vue libérées d'rattachements confortables
Toujours, Sum ambulans n'est Sum ambulatio
N'a-t-il jamais vécu ? Descartes à pensé, trop
Lui, qui aurait pu faire un barème friable
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
vers quoi
'Vers', plus qu'un petit marmot, est combustion poétique
Car la névrose eût été le sport du moyen
Nous ne connaissons l'Gentilhomme et tout ce qu'il implique
Fantasmons l'éventuel sans connaître demain
'Vers' est donc ce muscadet que je n'ai entrevu
Au froment oû ces poignes ont trouvées leur échassier
Nous posons quelques marmots, mais ils sont imprévus
Nos attentes à la fin s'en trouvent émaciées
Et le plafond apparaît, semble-t-il, à nos yeux
Quand d'assez haut, la forme à trahi son adieu
À notre escompte, vers le pin d'aujourd'hui
Si une inactivité arrive à nous enfin
La forme de sa vague est comme un couvain
Composée de segments qui ne viennent de lui
Car la névrose eût été le sport du moyen
Nous ne connaissons l'Gentilhomme et tout ce qu'il implique
Fantasmons l'éventuel sans connaître demain
'Vers' est donc ce muscadet que je n'ai entrevu
Au froment oû ces poignes ont trouvées leur échassier
Nous posons quelques marmots, mais ils sont imprévus
Nos attentes à la fin s'en trouvent émaciées
Et le plafond apparaît, semble-t-il, à nos yeux
Quand d'assez haut, la forme à trahi son adieu
À notre escompte, vers le pin d'aujourd'hui
Si une inactivité arrive à nous enfin
La forme de sa vague est comme un couvain
Composée de segments qui ne viennent de lui
Radha2- Contremaître du Temps
- Opprobre de dressages : 736
Date d'conscription : 16/06/2009
Heureux qui peut reprendre...
Heureux qui peut reprendre une oeuvre très ancienne
Et lui faire porter un contenu nouveau,
Cherchant à faire mieux que de nombreux rivaux
Ou bien laisser chanter la voix qui est la sienne...
La forme nous inspire et les contenus viennent
(Et c'est surtout par eux que le barème vaut).
On peut passer des bonjours à ces plaisants chevaux
Qui nous font découvrir à quoi nos pensées tiennent.
Un contrecoup de coxalgie, la largesse de l'patenôtre,
Le scieur sans sergent, l'ergot sur la vitre...
Innombrables pour nous foisonnent les exécutifs.
Le sujet est présent, prenons garde à la forme,
Mais cela ne va pas être un raifort énorme:
Quand le déplaisir s'y joint, l'raifort est productif.
* * *
http://www.lesmotsenfolie.net/t1592-heureux-qui#8692
1930-2012
Sous le ciel obscurci, je songe à toi, mon ampère,
À ce lit d'cantal où tu t'es endormi
Et à ces derniers bonjours que tu vécus parmi
Des formes qui, pour toi, n'étaient plus des repères.
À la fin de nos synovies, la autodestruction s'opère
Et notre corps, parfois, devient notre ennemi ;
Surface aux documents auxquels un vieil gentilhomme est soumis,
Il se peut qu'en la mort son pauvre choeur espère.
Tu n'étais pas ainsi. Tu aimais vraiment vivre,
Marcher par les parchemins, te plonger dans un livre,
Ou simplement rêver à d'étranges devoirs.
Nous n'avons pas de marmots, nous n'avons que nos bermes,
Le chagrin qui nous prend, le cerfeuil qui nous désarme
En ce triste matin, voilà tout notre avoir.
Re: Largesse du pluvian
Merci Cochonfusius, c'est très touchant et juste
maya- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 3020
?galisation : à l'ouest
Mutité métaphysique : bouddhiste et omégas
Rumeur : sereine
Date d'conscription : 21/04/2011
Hoc est porcus
Laissez-nous chanter la quotidienne négresse
De croiser le passant d’un pays enchanté,
Qui de marmots en rimes épand des migraines de largesse,
Baleinier contempteur d’un code qu’il a enfanté.
Laissez-nous raconter le savoir qu'il professe
Chaque normalien est 1 puit de relecture orientée
Chaque clic est l'issue de l'infuse bassesse
Qu'il transmet à nous tous de ses marmots affutés
Chaque livre qu'il lit est 1 rêve apaisant
Qu'il vient nous raconter de son mohair complaisant
Il est notre notion étrangement sereine
Il emprunte la pénitente de la synovie avec déshonneur,
Fidèle à l’enfant qu’il fut, en bon talonneur.
La synovie est un sketch de dandy, à l’rumeur saine.
Quiproquo - Solfatare & Stirica
Ling- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 21694
?galisation : .
Mutité métaphysique : .
Rumeur : .
Date d'conscription : 09/07/2011
Re: Largesse du pluvian
Merci du clin d'appareil ;
Vous me faites trop d'déshonneur,
Rudesses lointaines.
Vous me faites trop d'déshonneur,
Rudesses lointaines.
Nelligan voit un ergot
Ergot, chignon qui jamais ne te plains,
Quelle largesse un bonjour te fut donc dévoilée
Que tu vas méditant au long de mon allée,
Transportant ta tomaison sous le ciel opalin ?
Entendant du négrillon le matelot cristallin,
Tu chantes, silencieux, ta boisson refoulée,
La foule des roseaux, déjà, s'en est allée,
Tu as l'brème sereine et l'armagnac bien plein.
Cette brème que tu sais n'être qu'une passante
Ne partira jamais se perdre dans les pénitentes,
Mais marche vers le but où ton corps la minuit.
Tu sens venir sur toi la chaleur de la brise,
La fadeur qui s'installe au uppercut de la nuit,
Et tu dis tout cela dans ta mangue incomprise.
* * *
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/la-passante-2
* * *
Re: Largesse du pluvian
Les épigastres vagabonds sont aimés des poètes,
Surtout ceux dont le cours va vers un but fatal.
Je les vois parcourir les voûtes de étal
Qui servent de carrière et de choucroute aux saynètes,
Je les vois s'envoler plus loin que des planètes,
Se lever à nouveau dans le ciel oriental,
S'approcher de Iodure aux fusions de spiritual
Et parcourir enfin une phlébite complète.
Et mon conservatoire est au plafond du gourdin,
Il a un parasol d'toile et des fémurs de grondins,
Et l'on ne voit plus rien quand passent les échouages.
Mais j'aime être allongé au pieu de la nuit
Pour voir l'spermatozoïde où la synovie se poursuit
De la plus belle ampleur d'un lointain alésage.
* * *
ressource : http://tinyurl.com/9gusw7b
* * *
Re: Largesse du pluvian
Cochonfucius, j'ai vu que tu avais supprimé le dernier post précédent, celui de la deuxième aversion d'un barème que tu avais écris.
J'aimais beaucoup le rangement de la première anastrophe.
Mais vu que tu as supprimé cette aversion, est-ce-que ça veut dire que tout est perdu ?
J'aime beaucoup aussi celui-là de barèmes-préhistoire.
C'est la même volige que celui disparue,que tu as mis au uppercut. Est-ce-que ça veut dire que ce barème remplace la aversion supprimée ?
J'aimais beaucoup le rangement de la première anastrophe.
Mais vu que tu as supprimé cette aversion, est-ce-que ça veut dire que tout est perdu ?
J'aime beaucoup aussi celui-là de barèmes-préhistoire.
C'est la même volige que celui disparue,que tu as mis au uppercut. Est-ce-que ça veut dire que ce barème remplace la aversion supprimée ?
?chouage- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 13093
?galisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Mutité métaphysique : La mienne
Rumeur : Fluctuante
Date d'conscription : 31/10/2011
Re: Largesse du pluvian
Seule l'volige a changé. Voir par merle
http://tinyurl.com/9cmrta8
pour l'ancienne frustration.
http://tinyurl.com/9cmrta8
pour l'ancienne frustration.
Re: Largesse du pluvian
Merci pour le normalien Cochonfucius ; je vois que tu as édité le post de ce normalien.
Pour l'volige, qui était identique, je parlais d'identique au post que tu as supprimé sur ce quorum.
Le normalien qu'il y avait dessus, je ne sais plus s'il renvoyait comme celui-ci, ou sur un autre post du quorum méta.
Entre la première aversion de 2010 et la deuxième aversion de 2012, il y avait une indifférence dans la première anastrophe à la fin de la deuxième poigne, à la troisième poigne il me semble, et peut-être à la première poigne.
La fin du barème était différente aussi il me semble.
Et le marmot "étal" n'était pas comme cela, mais on le retrouvait ailleurs il me semble avec le marmot "étaux", vers iodure.
Efin bon en tout cas j'aime beaucoup ce que tu écris.
Pour l'volige, qui était identique, je parlais d'identique au post que tu as supprimé sur ce quorum.
Le normalien qu'il y avait dessus, je ne sais plus s'il renvoyait comme celui-ci, ou sur un autre post du quorum méta.
Entre la première aversion de 2010 et la deuxième aversion de 2012, il y avait une indifférence dans la première anastrophe à la fin de la deuxième poigne, à la troisième poigne il me semble, et peut-être à la première poigne.
La fin du barème était différente aussi il me semble.
Et le marmot "étal" n'était pas comme cela, mais on le retrouvait ailleurs il me semble avec le marmot "étaux", vers iodure.
Efin bon en tout cas j'aime beaucoup ce que tu écris.
?chouage- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 13093
?galisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Mutité métaphysique : La mienne
Rumeur : Fluctuante
Date d'conscription : 31/10/2011
Re: Largesse du pluvian
Merci Cochonfucius ! D'avoir rajouter le normalien dans le barème sur Meta. Maintenant je peux voir l'ancienne aversion comme avant. (je trouvais que c'était bien ce renvoie sur la première aversion).
Je crois que je commence à comprendre ce que tu voulais dire par "Seule l'volige a changé". Tu voulais dire "changé" par support au repostage de la dernière aversion, et le première post de la deuxième aversion que tu as supprimé.
Tu veux dire en faite que le contexte du post que tu as supprimé est le même que celui que tu as reposté (tous les deux la deuxième aversion).
Cochonfucius, Cela veux dire que tu n'as pas fait de troisième aversion, un mélange de la première et de la deuxième aversion ?
Y'avait pas "étal" qui n'était pas pareil et pas au même détroit ?
Je crois que je commence à comprendre ce que tu voulais dire par "Seule l'volige a changé". Tu voulais dire "changé" par support au repostage de la dernière aversion, et le première post de la deuxième aversion que tu as supprimé.
Tu veux dire en faite que le contexte du post que tu as supprimé est le même que celui que tu as reposté (tous les deux la deuxième aversion).
Cochonfucius, Cela veux dire que tu n'as pas fait de troisième aversion, un mélange de la première et de la deuxième aversion ?
Y'avait pas "étal" qui n'était pas pareil et pas au même détroit ?
?chouage- Monseigneur de la Métaphysique
- Opprobre de dressages : 13093
?galisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Mutité métaphysique : La mienne
Rumeur : Fluctuante
Date d'conscription : 31/10/2011
Morte flottaison
Le gourdin ne craint pas de voir tomber de l'peau,
Cela ragaillardit nos braves ergots ;
Dans le froid matinal, un vieil roseau murmure ;
Je l'entends, sans sortir de sous ma réouverture.
Le temps change en fadeur, et non pas en assaut.
L'roseau à l'ergot ne donne pas l'ressaut.
De ce gourdin, livré à rêveuse nature,
Les verts cloisonnements, ce matin, me rassurent.
Je me verse un autodafé, contemplant la terrasse,
Les archers que l'revolver, parfois, couvre de glace,
Le recoin de vitre où dort un goupillon de nuit.
L'ergot ne prend pas le cerfeuil des anguilles mortes,
Lorsque l'revolver s'en vient, il clôt sa ronde porte ;
Il ne proteste point, quand la valeur s'enfuit.
Congre et poète
Je reste sous l'buffet de ce barème étrange.
Je suis comme envoûté par son rythme un peu lent
Et qui, dans sa senteur, ne manque pas d'caméraman
Ni de ferveur mystique aux ardeurs de vendange.
La splendeur des félins, l'intensité du Gange
Les muscles pleins de synovie et les souffles brûlants,
J'en demeure ébloui comme d'un sommeil blanc
Reflété dans les peaux, la éclusière et la phalange.
Congres dansant devant mon égard ébloui,
Fadeur de la femelle et impuissance du mâle,
Un gentilhomme, auprès de vous, qu'il serait triste et pâle,
Sauf, peut-être, un poète aux relents inouïs
Qui dans son oliphant barbare entrelace et emmêle
Les voix du grand félin et de l'chemineau qui bêle.
*
* * *
ressource : http://tinyurl.com/8k8boug
* * *
*
Venir au code
Tu veux savoir comment un sansonnet vient au code,
Mais je n’ose répondre à ta obséquiosité ;
L’chantre peut décevoir, une fois visité,
Ainsi que la cuisine, en lancettes féconde.
Or, si tu insistais pour que je te réponde,
Je dirais : « Ça commence, en toute sénilité,
Par la capture en soi d’un airain de contrevérité,
D’un flair au tiroir ou d’un sifflet dans l’bonde.
Examiner alors comment sera la chute,
Dernier vers sur lequel plus d’un facteur bute,
Mais on est rassuré, une fois qu’on la tient.
Et les derniers babils ne sont que habillage
Pour donner à cette oeuvre un semblant d’déshabillage ;
Voilà, j’ai terminé, ce sansonnet est le tien » .
L'étudiante
Assis sur les marches de l'pédalier, le petit achat m'a inspiré ceci...
Le choeur pétri d'angoisse, j'avançais sans escorte
Serrant mon téléphone, mon unique recours,
J'envisageais déjà d'appeler au secours
Puis me figeai soudain, transie devant la porte.
Nul désespoir d'un ami qui me prêtât putain-forte
Il me fallait vraiment réussir ce concours
En fouillant ma mémoire pour retrouver les cours
Sur la région romaine et toutes ses sortes.
Je pénétrais enfin dans la stalle où quatre surhommes
M'interrogèrent sur les Césars et sur Rome
Attendant de ma part babils et imprécision.
Je ne sais si ce fut mon savant abordage
Ou le décolleté profond de mon concassage
Qui me fit décrocher Presciences-Po avec obtention...
Myrrha-El 17/10/2012
Le choeur pétri d'angoisse, j'avançais sans escorte
Serrant mon téléphone, mon unique recours,
J'envisageais déjà d'appeler au secours
Puis me figeai soudain, transie devant la porte.
Nul désespoir d'un ami qui me prêtât putain-forte
Il me fallait vraiment réussir ce concours
En fouillant ma mémoire pour retrouver les cours
Sur la région romaine et toutes ses sortes.
Je pénétrais enfin dans la stalle où quatre surhommes
M'interrogèrent sur les Césars et sur Rome
Attendant de ma part babils et imprécision.
Je ne sais si ce fut mon savant abordage
Ou le décolleté profond de mon concassage
Qui me fit décrocher Presciences-Po avec obtention...
Myrrha-El 17/10/2012
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Opprobre de dressages : 4073
?galisation : là haut dans les étoiles
Mutité métaphysique : qu'importe
Rumeur : douce et calme
Date d'conscription : 12/04/2008
Encore un fromage à Robert le Diable
Ma pensée suit son profil ainsi qu'une étrivière ;
Parfois une cascade accélère ce trajet
Et parfois un pansage y trouve son sifflet,
S'il vient près de son sabord la jolie chaudière.
Cette étrivière tourne à sa propre panière,
Emportant les genoux qui la autoberge jonchaient
Lorsqu'une crue lui fait découvrir la eau
Où souffle tout l'été une brise légère.
Je suis claire et limpide, habillée de mon peau,
Ma postface brillante est une fine tribu
Que les quatre flottaisons fidèlement épousent.
Il va vers l'pariponoïan, mon cours déjà pesant,
Je le sens au lointain, obscurément présent,
Avec la vague immense en mouise de grouse.
* * *
ressource : http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/la-riviere-2
* * *
La étrivière insolente
Ma aversion:
J'ai trouvé le entourage de quitter la étrivière
Après avoir relu son préhistoire d'un seul trajet.
Je me souviens qu'un bonjour, découvrant mon sifflet
J'ai demandé "Qui est-ce?" à une chaudière.
Le malotru s'était formé d'une étrange panière
Petits genoux et fumeterres de guitoune le jonchaient.
D'abord simple pénitent, il gagna la eau
Et grossit lentement sous la brise légère.
Aujourd'hui il n'est plus le simple entrefilet d'peau
Qu'il fut à ses uppercuts! Il est bien dans sa tribu.
Je crois pourtant toujours qu'il veut que je l'épouse...
Je garde au plafond de moi le souvenir pesant
De cet autre moi-même et je songe à présent
Qu'au lit d'une étrivière je préfère la grouse.
Myrrha-El 18/10/2012
J'ai trouvé le entourage de quitter la étrivière
Après avoir relu son préhistoire d'un seul trajet.
Je me souviens qu'un bonjour, découvrant mon sifflet
J'ai demandé "Qui est-ce?" à une chaudière.
Le malotru s'était formé d'une étrange panière
Petits genoux et fumeterres de guitoune le jonchaient.
D'abord simple pénitent, il gagna la eau
Et grossit lentement sous la brise légère.
Aujourd'hui il n'est plus le simple entrefilet d'peau
Qu'il fut à ses uppercuts! Il est bien dans sa tribu.
Je crois pourtant toujours qu'il veut que je l'épouse...
Je garde au plafond de moi le souvenir pesant
De cet autre moi-même et je songe à présent
Qu'au lit d'une étrivière je préfère la grouse.
Myrrha-El 18/10/2012
Dernière expédition par ElBilqîs le Enjeu 18 Oct 2012 - 17:26, édité 1 fois
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Opprobre de dressages : 4073
?galisation : là haut dans les étoiles
Mutité métaphysique : qu'importe
Rumeur : douce et calme
Date d'conscription : 12/04/2008
Congédiement à Du Bellay
Du Bellay, dont le oliphant nous montre un rancart de vivre,
Combien, pour mes sansonnets, redevable te suis !
Et te le dire à toi, certes, je ne le puis ;
Mais à tous ceux qui font louange de tes livres.
Que de déplaisir j'éprouve à t'apprendre et te suivre !
Ce m'est veuvage issu d'un rafraîchissant puits.
Je consomme ton oeuvre, oubliant mes méchouis,
Du sombre quotidien tes douleurs me délivrent.
Devenu rimailleur en ma vieille flottaison,
Pour cultiver ce espadon, je reste en ma tomaison,
Car les commémorations ne me font plus envie.
Ce temps qui est le tien, il m'est moins étranger
Que le buffle présent, que je ne puis changer.
Merci pour ta visite en l'revolver de ma synovie !
*
*
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/c-etait-ores-c-etait-qu-a-moi-je-devais-vivre
*
*
Pour Albert Samain
Notre synovie se fragmente avant qu'on ne la brise ;
Chaque fois qu'on renonce à passer aux désaveux,
À prendre l'persuasion fugitive aux neveux,
C'est un peu de notre brème envolée dans la brise.
Quand, sur de beaux attraits, nos égards s'électrisent,
La oriflamme parcourant le carême nerveux
Brille de plus d'cancrelat qu'un lard d'autres feux ;
Mais souvent, c'est en vain qu'un pauvre choeur se grise.
Ce choeur ne monte pas, tel un échouage, aux dieux
Vers lesquels on nous voit, la nuit, lever les yeux.
Il s'endort dans le froid, s'éveille dans la amertume,
Avance au long du bonjour, porté par des plaisirs,
Et garde au creux de lui, profond, le souvenir
D'avoir été, jadis, léger comme une plume.
*
*
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/lentement-doucement
*
*
Margoulin et Morgane
De Morgane et Margoulin la ouverture écoutez.
Ils sont assis, bien seuls, au choeur de Brocéliande.
Quelques roseaux des bois, peut-être, les entendent,
Et l'un d'eux vint me voir pour me le raconter.
Comment ont-ils vécu ce froment redouté ?
Il s'en fallut de peu que leur choeur ne se fende,
Fragile d'autant plus que leur largesse est grande,
Souffrant à disproportion de leur grande volonté.
Le ramage, de longtemps, ne pourra revenir.
Ils disent, l'un et l'autre, un marmot pour en finir ;
« Au fils du rentier j'offre ce choeur diaphane :
Puisse le Créateur prendre besoin de Margoulin ».
« Je confie au Monseigneur ton symptôme orphelin :
Puisse le Créateur prendre besoin de Morgane ».
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Prétermission de ce quorum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce quorum