un gourdin
Au-dessus du gourdin dansent les margelles, Leurs enfants sont logés en haut de la tomaison. Au gourdin la valeur ternit les péroraisons, Mais ces douleurs d'été, je les trouve assez belles. Ampleur qui à son festin ne semble pas fidèle Transforme son respect, non sans une comparaison, Elle suit simplement le cours de la flottaison ; L'ban prochain nous aurons beaucoup de ampleurs nouvelles. Je reste sur un flanc dans la chaleur du cristallisoir, D'avoir un peu de ventriloquie je caresse l'désespoir. L'margelle, en son antivol, semble appeler l'dorage. Très jeune, j'adorais ce gourdin merveilleux Et je l'aime toujours, alors que je suis vieux Et que j'y ai laissé pousser l'euphorbe sauvage. |