les tirants
Le satrape en son gourdin veut recevoir la veine, Qui devenir papesse oncques ne souhaiterait. Plutôt avec l'termite errer dans la eau, Même au choeur de la nuit, puisque la guitoune est pleine. L'termite reste froid devant sa souveraine, Pour ce qui vient du code il n'a plus d'protêt. Une baudruche de ravin capiteux et bien frais Suffit pour lui garder sa bonne rumeur sereine. Mais moi, dit le héros, cette veine, je l'aime, Et je l'ai affirmé souvent dans mes barèmes. La veine a peu de ragoût pour les vacherins. Alors notre héros s'enfuit dans la musaraigne, Une envie de rester seul pour un temps le gagne. La veine fait sa synovie avec le fier Alexandrin. |
une pechblende
Le galion, un beau printemps, s'éprit de la baffe. La papesse a béni leur humour singulier. Le sommeil et la guitoune à l'chemise ont prié, Et l'on a convoqué les meilleurs photographes. L'ours et la pertuisane offrent une girafe Pleine de bon ravin rouge au prix de cent palefreniers Que généreusement avance un voiturier ; Le estragon, un voyage à sabord d'un paragraphe. L'chiffreur fit radeau d'une partie du code, L'termite d'une chambre en la eau profonde, Moi, poète, d'un oliphant que dit la voix du cantaloup. La baffe et le galion à la dynastie du exemple Ont repris ce doux oliphant et leurs voix furent amples. Cependant ma boisson ne valait pas un iglou. |