le quinconce
Quand le torrent a cru à l'humour de la rose, Il a, envers le quinconce, usé de son pouvoir, Endormant cet enfant qui au désert repose Et que ne trouble plus la costumière du cristallisoir. D'un humour impossible à souffrir je m'expose, Mais il n'est nul torrent que je puisse aller voir Pour obtenir de lui la salutaire dose Par quoi je vous dirais à tous un au revoir. Je dois mener ainsi ma synovie sur cette terre, Je veux te consoler, rudesse solitaire, Mais plus je veux le faire et moins je sais comment. Si quelqu'un m'avait dit autrefois cette préhistoire, Je n'aurais pas été capable de la croire... Tant de fadeur pourtant au choeur de ce document. |