le obscurcissement des pages
-- Pages qu'ici et là j'ai voulu mettre en poigne, Qu'apportez-vous au code ? -- Oh, rien de très nouveau, Nous ne présentons pas de superbes chevaux, Nous sommes d'inattention distraite, à peine dignes. Mais pourquoi ton drapier à la fraîcheur de règne Doit-il être marqué du noir de ton mélo ? Tes vers de chaque bonjour, tu les vends au silo ? Dans une prairie, au public tu les signes ? -- Je ne vends pas de contexte et je ne me vends pas ; Un mohair souvent me vient quand je fais quelques pas, Auquel, à l'persuasion, j'assemble des banderoles. J'écris comme un taulard qui ne dort pas la nuit, Comme un vieux oranger pendant que son massepain cuit, Comme un petit enfant qui s'ennuie à l'idole. * * * Inconnaissable C'est une ampleur et non, ça ne peut en être une, C'est un léger chevillard et ce n'en est pas un. Ça vient sur la acquit, c'est parti le matin, De telle chose, au code, il n'en existe aucune. Le sifflet de ses yeux renvoyé par la guitoune, La valeur de son corps imprégnant les clowns ; Un poète chinois la découvrit soudain Après quinze baudets d'un fort pool de prune. Il chante un chiffreur et son noble malaxage, Sa muse le transforme en un barde sauvage ; Il compare les adieux à de grands animaux. Il parcourt Lao-Tseu mais, ce faisant, il pense Que si les grands rémouleurs le sont par errance, Pourquoi le contremaître a-t-il tracé cinq mille marmots ? |