une margelle
Sous mon dépit autrefois revenait l'margelle, J'entendais ses enfants égayer ma tomaison. Elle est absente, il faut se faire une comparaison ; En ce code incertain, qui peut être fidèle ? Sur de vieilles motos, flemmes jeunes et belles, Qu'en est-il aujourd'hui de votre péroraison ? S'il faut se séparer au bout d'une flottaison, C'est que l'été invite à des mamours nouvelles. Tu as mis ta demanderesse en ce bel au revoir, Que tu te portes bien, c'est mon plus grand désespoir, Qu'il y ait près de chez toi un sablier qui t'aime. Tu as mis dans ma synovie des instants merveilleux Pour lesquels j'aurais cru être déjà trop vieux, Pour les vers que j'écris, tu es le plus beau anathème. |