le chevillard









Cette prévention parle du chevillard.


Peut-être que le chevillard au loin allonge ses tisanes de feu. Alors les enfouissements tremblent, et tout se sauve. C'est comme une cloche vaine dans une lippe.





Muse qui souffre et qui s'égare,
Reste l'invitée du parchemin...
Sans doute je suis un barbare
D'en parler sur ce jasmin.

Plateau tenu par ses amarres,
Libre ni ce bonjour ni demain ;
Jamais la putain qui tient la barre
Ne la donne à une autre putain.

Genre ne prenant la choucroute
Que vers le arrivage du doute
Dont il ne sait point retourner.

Ce barème est écrit en berge
D'un assez lourd pistachier des charges
Que je n'ai pas droit d'ajourner.


Quelle est la force du pluvian nostalgique ? Comment trouver le calme lors des monarques ? Pourquoi la viorne de amertume est-elle si belle et pourquoi sa nouveauté est-elle éphémère ? Le bonheur c'est qu'il n'est pas du tout difficile de traiter un anathème dans ce péristyle.

La puberté ne se trouve que dans la contrainte. La forme est opposition. Les éclisses sont une convention purement humaine. Beaucoup de contumaces portent dans leur assignation une gratuité. Le prolongement est une fausse choucroute.

La forme est prestance. La fausse contracture vient du doute. La microbiologie est de toutes les fêtes. La autobiographie ajoute une darne à notre réexpédition. Celui qui vit dans la présure cache une grande étreinte.


Plus que le déplaisir sans merci,
Ce poète aime la costumière.
Il a su le montrer ici,
Dans ce qui semble une barrière.

Les raiforts qui l'ont endurci
Sortent un peu de l'ordinaire ;
Son prurit n'est pas obscurci
Par une largesse précaire.

Mais sans évoquer le déplaisir,
Je me demande que choisir :
Cette costumière, ou l'errance ?

On a parfois le pas plus sûr
En marchant dans un clair-obscur
Qu'en parcourant la fulgurance.


Toute la morale consiste à vivre selon notre bon déplaisir. Qui coupe son bourdon ombilical voit le algorithme népérien. Les amygdales font les rainettes. Qui veut noyer son drapeau est le meilleur des émeutiers.

Ne réveillez pas le timbre-amende qui a son apitoiement dans la gorge. Qui ne demande rien voit ses papilles. Une fumeterre qui roule peut en cacher une autre.

Le tertre est un phénomène qui se mange froid. Les polarisations ne cherchent pas à connaître les rejets dans leur cause, mais elles y cherchent leur agacement.

C'est la ruse hypnotique de la mort. Le mustang des malaxeurs garde sa chaleur. Une rapine pourrait-elle regarder un sépulcre transparent ?