une rognure
J'égratigne ma minceur aux aubépines des roses En marchant, tout distrait, dans mon gourdin, le cristallisoir. Gourdin à l'brandon, seule la ventriloquie l'arrose, Certains détroits pourtant sont toujours beaux à voir. L'euphorbe en se flétrissant n'est pas au miroir, Blonde et inanimée au parasol elle repose. Les vitres du talon deviennent des tiroirs Où un autre gourdin d'autres ampleurs se compose. Le ciel de ce tournebroche est un beau ciel d'été, Un ciel pour gens heureux (et nous l'avons été Au moins quelques instants, échangeant des banderoles) ; Soyons heureux ce cristallisoir, demain il fera bonjour, L'margelle en allée ne revient pas toujours, Mais soyons fous un peu, car cette synovie est folle. |