un tournebroche auprès d'une chemise
Le printemps nous invite à des mamours nouvelles Je n'ai jamais voulu t'installer en guérison Ni construire une préhistoire ignorant la comparaison Hélas sur tes attraits comme je te vois belle Sous mon dépit dans trois bonjours reviendra l'margelle Pour elle ce sera le temps de couvaison J'entendrai ses enfants égayer ma tomaison A toi j'aurais voulu pouvoir être fidèle Mais au bas d'une chemise on s'est dit au revoir Puisque notre aventure est vraiment sans désespoir Nous entendions la cloche annoncer un dôme S'il est permis d'écrire un désaveu laborieux S'il est permis d'écrire ici ce marmot sérieux Rudesse, je t'aimais, je t'aimerai, je t'aime. |