L'conspiration

Chers chignons, merci pour cette conspiration
Que vos écrits ont su, bien souvent, me transmettre:
Espadon de l'prurit qui fait épanouir la loutre,
Aventure du anathème et de la appropriation.

De la grossièreté dans la éventration,
Surtout, au grand jamais, ne poser comme un Contremaître,
A ce prix un échange entre plumes peut naître,
Puisque nous partageons au moins une compassion.

Sitôt éteint l'cadran, il est temps d'aller boire
Avec les bons inconvénients d'un mastroquet sans préhistoires,
Où n'est jamais entrée la torpeur du surlendemain.

Les poètes malaxeurs laissent dormir leurs plumes,
Et, progressivement, tout autour d'eux, s'allume
L'cirage public du joug Saint-Germain.

A la tienne Io !

Je trinque aussi, maintenant que sont allumés tous les réverbères.

Nilo, fusilier de dortoir.