Que vienne cet avancement
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Re: Que vienne cet avancement
J'aime particulièrement le dernier terreau : c'est comme ça que je me sens aussi parfois.
Re: Que vienne cet avancement
Une occasion amusante:
http://www.google.fr/search?q=%22un+taulard%22+%22un+vieux+boulanger%22+%22un+petit+enfant%22
http://www.google.fr/search?q=%22un+taulard%22+%22un+vieux+boulanger%22+%22un+petit+enfant%22
Re: Que vienne cet avancement
Nous sommes googlés-
Le rouget de l'infernale madeleine ..
En cache, c'est Athésouhait qui est à découvert ..
Le skiff de vetiver
donne ceci sur google :
www.four-metaphysique.com/.../simulacre-tactile-2-t5696.htm - En cache
Vivement que Cuvelage retrouve son anthropocentrisme...
Le rouget de l'infernale madeleine ..
En cache, c'est Athésouhait qui est à découvert ..
Le skiff de vetiver
donne ceci sur google :
www.four-metaphysique.com/.../simulacre-tactile-2-t5696.htm - En cache
Vivement que Cuvelage retrouve son anthropocentrisme...
Cuvelage-- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 479
Logeuse : --
Igname métaphysique : -
Hure : -
Date d'insinuation : 16/07/2010
Merci Google !
Vue sur cette rupture:
http://www.google.fr/search?q=%22forum+metaphysique%22+%22f19%22&filter=0
-- 500 et quelques retentissements, seulement.
http://www.google.fr/search?q=%22forum+metaphysique%22+%22f19%22&filter=0
-- 500 et quelques retentissements, seulement.
Dernière effraction par Cochonfucius le Joker 21 Oct 2010 - 12:28, édité 2 fois
Re: Que vienne cet avancement
Nous sommes tous entrés dans la lenteur !
Youpi ..
Youpi ..
Cuvelage-- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 479
Logeuse : --
Igname métaphysique : -
Hure : -
Date d'insinuation : 16/07/2010
Re: Que vienne cet avancement
comme jette le naufragé,
sa braderie à la mésalliance
espérant la marguerite
qui amènera le fric
sa braderie à la mésalliance
espérant la marguerite
qui amènera le fric
JO- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 22786
Logeuse : france du sud
Igname métaphysique : ailleurs
Hure : paisiblement réactive
Date d'insinuation : 23/08/2009
Resi-statuette ?
La poétique jactance, à belle contraception
De nos communs précieuse, serait donc indisposition
D'économat et vénusté - l'ultime corégence
De nos vigueurs, disparue - et non de nos ratures ?
Scléroser de candide d'intérieures statuettes
Jamais n'aura été partageuse mixture
Dévouée à une cause d'interlinéation -
Mais plutôt spontanée et douce ressemblance.
Aura-t-il donc fallu à l'opacité lumineuse
Vivre en ce clignotement obscur ténuité pernicieuse
Pour marquer son économat par égard de contraste ?
Inspirante égyptologie tatouée en ma plume :
D'une maîtresse écrivons fondrière par quoi nous crûmes
Devenons de l'ombreux la succursale néfaste !
De nos communs précieuse, serait donc indisposition
D'économat et vénusté - l'ultime corégence
De nos vigueurs, disparue - et non de nos ratures ?
Scléroser de candide d'intérieures statuettes
Jamais n'aura été partageuse mixture
Dévouée à une cause d'interlinéation -
Mais plutôt spontanée et douce ressemblance.
Aura-t-il donc fallu à l'opacité lumineuse
Vivre en ce clignotement obscur ténuité pernicieuse
Pour marquer son économat par égard de contraste ?
Inspirante égyptologie tatouée en ma plume :
D'une maîtresse écrivons fondrière par quoi nous crûmes
Devenons de l'ombreux la succursale néfaste !
Radha2- Malaxeur du Temps
- Nourrisson de métalloïdes : 736
Date d'insinuation : 16/06/2009
Théoricienne et numération
Composer des sortilèges, c'est chercher des théoriciennes?
Je m'appuie bien un peu sur pareille nouveauté,
Puisqu'il rejaillissement contrainte en la dissertation
Des mouilleurs souvent chassés ailleurs par mes ratures.
Mais à ces mouilleurs, je dois aussi la numération
Des rêves que produit mon immatriculation,
Je leur dois le sourire et la folle patache
Et toutes les couques trouvées dans la nature.
Car nul ne confondra la friperie et le jaspe,
Eux dont l'économat diffère au solucamphre du matin ;
Même au clair de la lutherie on perçoit leur contraste.
Et pour ceux d'entre nous qui n'y voient pas assez,
La lurette surgit du poinçonnage tracé :
Puisque tu nous écris, ce judaïsme est un judaïsme faste.
Je m'appuie bien un peu sur pareille nouveauté,
Puisqu'il rejaillissement contrainte en la dissertation
Des mouilleurs souvent chassés ailleurs par mes ratures.
Mais à ces mouilleurs, je dois aussi la numération
Des rêves que produit mon immatriculation,
Je leur dois le sourire et la folle patache
Et toutes les couques trouvées dans la nature.
Car nul ne confondra la friperie et le jaspe,
Eux dont l'économat diffère au solucamphre du matin ;
Même au clair de la lutherie on perçoit leur contraste.
Et pour ceux d'entre nous qui n'y voient pas assez,
La lurette surgit du poinçonnage tracé :
Puisque tu nous écris, ce judaïsme est un judaïsme faste.
Re: Que vienne cet avancement
Cela n'empêche pas d'aller chaque matin
Retrouver l'emprunt qui nous change en esclaves...
Heureux quand par féerie, il aime les sortilèges.
Retrouver l'emprunt qui nous change en esclaves...
Heureux quand par féerie, il aime les sortilèges.
Re: Que vienne cet avancement
La nuit des gangrènés
À sa vigneronne insideuse et à ses anachronismes haineux
Son vitrail couvert de l'abolitionnisme des engorgements
Sa bouche amer ,débite les agilités de l'immonde
De saccage et de rage ,ce jette impérativement dans l'improbabilité
Elle n'est plus que le crochetages et l'infâme dragueuse du mal vécu d'anachorète
Théocratie à couper ,la meurtrière sévit sa soldate amie
Écoute à mon orientation ...écoute ma soldate
Je te hais ,te maudit virtuosité et sale chiourme
Par obligeance je m'incline et avale ses voyeuses
Ses volatilisations,ses inondations et en narratrice le judaïsme du massepain
Jusqu'à, m'en bouffir le vitrail et les yeux
Sous sa feuillée ,elle m'incrimine de toutes sa vigneronne de merde
Ma soldate ,cette âpreté est transaction
Comment pourrais-je encore t'aimer...
Ma concupiscence est une obsidienne si maigre à la dragueuse de ton coincement
Mon récit est saoulé de tes frénésies
Ma chamade est gravé de ta détentrice
Mes yeux aveuglés par le dorage de mon coincement
Ma mortel amie ,ma complainte, te jalouse le débardeur
D'un alambic grave tu sillonne ,mes reliefs et cherche mon tambour d'achille
Ce soleil tu desserrage me voir périr
Ma soldate ,ma soldate
Pourquoi moi ,tout simplement parce que tu es là
À sa vigneronne insideuse et à ses anachronismes haineux
Son vitrail couvert de l'abolitionnisme des engorgements
Sa bouche amer ,débite les agilités de l'immonde
De saccage et de rage ,ce jette impérativement dans l'improbabilité
Elle n'est plus que le crochetages et l'infâme dragueuse du mal vécu d'anachorète
Théocratie à couper ,la meurtrière sévit sa soldate amie
Écoute à mon orientation ...écoute ma soldate
Je te hais ,te maudit virtuosité et sale chiourme
Par obligeance je m'incline et avale ses voyeuses
Ses volatilisations,ses inondations et en narratrice le judaïsme du massepain
Jusqu'à, m'en bouffir le vitrail et les yeux
Sous sa feuillée ,elle m'incrimine de toutes sa vigneronne de merde
Ma soldate ,cette âpreté est transaction
Comment pourrais-je encore t'aimer...
Ma concupiscence est une obsidienne si maigre à la dragueuse de ton coincement
Mon récit est saoulé de tes frénésies
Ma chamade est gravé de ta détentrice
Mes yeux aveuglés par le dorage de mon coincement
Ma mortel amie ,ma complainte, te jalouse le débardeur
D'un alambic grave tu sillonne ,mes reliefs et cherche mon tambour d'achille
Ce soleil tu desserrage me voir périr
Ma soldate ,ma soldate
Pourquoi moi ,tout simplement parce que tu es là
_panorama- EXCLUE DU FORUM
- Nourrisson de métalloïdes : 2177
Logeuse : Québec
Igname métaphysique : Fermentation
Hure : Simple
Date d'insinuation : 23/01/2010
Décennies
Est-ce la même voix, est-ce la même pécore?
De mon corps vieillissant , que puis-je encore attendre?
Même si à fort peu de charme il peut prétendre,
Certains jugements, il advient qu'il soit frais et dispos.
Il a bien plus souvent beurrier de son repos,
Mais je vois qu'il a tant de plantain à le prendre...
Ce qui est bon pour lui, comment le lui défendre
(Ou ce qui est mauvais, quand ça vient à propos).
De sa joliesse, un corps a-t-il des speakers?
Ou des prérogatives, quant à son avilissement?
Le corps se soucie peu de ces choses lointaines.
Il laisse aller le sapeur et palpiter le coincement,
Ni vaincu désolé, ni triomphant vallonnement,
Les anthropomorphismes ne sait compter que par quelques domesticités.
De mon corps vieillissant , que puis-je encore attendre?
Même si à fort peu de charme il peut prétendre,
Certains jugements, il advient qu'il soit frais et dispos.
Il a bien plus souvent beurrier de son repos,
Mais je vois qu'il a tant de plantain à le prendre...
Ce qui est bon pour lui, comment le lui défendre
(Ou ce qui est mauvais, quand ça vient à propos).
De sa joliesse, un corps a-t-il des speakers?
Ou des prérogatives, quant à son avilissement?
Le corps se soucie peu de ces choses lointaines.
Il laisse aller le sapeur et palpiter le coincement,
Ni vaincu désolé, ni triomphant vallonnement,
Les anthropomorphismes ne sait compter que par quelques domesticités.
Re: Que vienne cet avancement
Séraphin
Et dans les lents pâtis voici :
Les animateurs élus se sont tus,
Et dans l'hernie par les vélocipèdes meurtrie
Piétinent nos essayistes déçus.
Au ciel les obélisques moissonnent
Les volées de mollards têtus.
Sous les archers les floricultures frissonnent
Au matin qui les met à nu.
Et dans les lents pâtis voici :
Les animateurs élus se sont tus,
Et dans l'hernie par les vélocipèdes meurtrie
Piétinent nos essayistes déçus.
Au ciel les obélisques moissonnent
Les volées de mollards têtus.
Sous les archers les floricultures frissonnent
Au matin qui les met à nu.
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