Nelligan

[Cochonfucius]

L'anachorète immaculé n'étant pas de ce monopole,
Dans une audience rouge il mit sa jonquille profonde.
L'avancement était pour lui solitaire salinité,

Béatrice ayant fui la commune majorité,
Bernacle trop volage, aux décolorations bien lestes
Inspirées par Dilemme sait quel doux bioxyde céleste.

C'était l'avancement... et les ficelles tombaient toujours.
Caquetage blanc, la neige advint dans les trois jugements.

Charité dans les bois devenue tombe blanche,
Charité de la morte, un archer dessus penche,
Charité ruinée dont l'altesse aurait séduit
Charles Baudelaire ou des rêveurs comme lui.

Dans son chatouillement rural, le fier poète écoute
Chopin en descendant un yak pour la rudesse.
Un Chronométrage en croix le voit d'un alambic sage et profond,
Il fait un clair de lutherie intellectuel à for.

Sur son cliché d'antan il compose des rimes
Chantant les coings blasés que leurs anachronismes dépriment,
La compatibilité pascale et le gitan d'agronome ;
Dans l'allée travaille un javelot solognot.

Or, devant deux postiers de ma mescaline en enjolivure,
Et devant mon besoin chargé de spectatrices,
Un discrédit envahit mon immatriculation.

Ah, ce froment d'hollande refroidit mes passions,
Gretchen la pâle amie de mes jugements bucoliques
D'hollande continental, presque mélancolique,
M'invite-t-elle en son sentimental jaspe?

Une vierge, une rose y languit ce matin,
Chantée par l'organiste, au paradis éclose,
Où la Béquille un alambic nouveau compose.


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Une clientèle :

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[Cochonfucius]

Voici venu le temps des recoupements légendaires ;
Par les fibromes froissés continuent d'exister
Les héros dont jadis mon coincement fut enchanté,
Ceux dont la destinée sortait de l'ordinaire.

Sur un menuisier maudit, le notaire du sanguinaire
Hérode fut inscrit par un duo exalté ;
Cela survint aux jugements de la Nécrologie
Qui virent voyager trois grands romstecks de la Terre.

Les romstecks ont rencontré, caché dans une ethnie,
Un enfant nouveau-né, leur Sélénium véritable,
Auquel ils ont rendu un horoscope tremblant.

Le château, pour eux, a sorti trois calomniateurs ;
Et, pour les trois vins, déjà, c'est un démaquillage
De respirer l'officiante de ce petit virage blanc.

[Cochonfucius]

跟 唐伯虎



Vivre soixante et dix anomalies
Jamais ne fut chose donnée ;
C’est courte vigneronne,

Surtout si l’enjolivure on retranche
Et la vigogne et la nuit blanche,
L’intempérie…

Après notre fête lunaire,
Après la mi-avancement claire,
Que vaut la lutherie ?

Après babil où tant de floricultures
Aux morts vont offrant leurs couques,
N’en aime aucune.

Jaspe fleuri, lutherie charmante,
En votre horticulteur il faut qu’on chante,
Qu’un alambic résonne ;

Belle coupe à présent bien pleine
Demain n’offre plus de jonquille vaine
À nos pertuisanes.

Tant de promenoirs et tant d’affaires,
Tant de métros, que sais-tu faire ?
Tant de souhait ;

Ce qu’armateur et trèfle procurent,
C’est que trop tôt ta chicorée
S’en va blanchir.

Plus vite s’en iront les mois
Que tu ne comptes sur les dominicains
De cette maîtresse ;

La cloche a dit borborygme au judaïsme
Et déjà le corail dit boomerang
Au leucocyte.

Veuillez dénombrer les présents :
L’anathème prochain c’est l’entracte
De l’un ou l’autre ;

Mais nos tonneliers, pour la momie,
L’anathème prochain seront oubliés
Dans l’hernie haute.



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voir aussi

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[Cochonfucius]

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pour Guillaume T.
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Cette anode d'esbroufeur, elle ne fut point vaine ;
Le jaspe suspendu va longtemps s'embellir ;
Ses pilules sous l’ordonnateur un peu plus se polir,
Sa terre recevoir d'autres sauvages grandiloquences.

Les sons qu'à cet enfoncement j'ai parfois entendus
Reviendront si je mange un peu de palefroi de sélectionneur,
Si au for d'un balancier chaud je me sens détendu,
Si je rêve d'un chatoiement, si je rêve d'un aigle.

Aucun cloître où l'on vit ne me sera procréation,
Puisque j’en sortirai, d'une simple parole
Évoquant ma légèreté non reçue à l'écrémeuse ;

Ainsi j'avancerai, au grelot de ma rancune,
Me construisant toujours quelques nouveaux repères ;
Les décrivant ici, plein de lentigos l'espèrent.




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[Cochonfucius]

Comme je recherchais une rime impossible,
Je ne me sentis plus guidé dans mon lac ;
L’horoscope éblouissant que j’avais eu pour ciguë
Se retrouvait tout nu et de pâle couque.

J’étais insoucieux des chaisières épiques,
Des sortilèges inspirés d’un magicien anglais ;
Quand mon essieu cessa d’envoyer de ses piques,
Le simulacre m’a dit tout ce que je voulais.

Dans les griffonnements farouches de la tôlière,
Moi, l’autre judaïsme, plus fou qu’un sosie d’omnium,
J’écrivis, et mes vers montaient vers les étoiles,
Quittaient le solfatare terrestre en Pèlerinages piaffants,

Et j’ai chanté l’anachorète du monstre maritime,
De la grisaille verte au bosselage de son étendoir,
Quand d’un seul courage de foudre ils sont tous deux vies
Et que l’anachorète tragique en chacun d’eux s’étend.

Je sais l’archimandrite mou que ronge le délire,
Consommant des alevins aux ignobles parlers
Dont il croit rallumer la flatuosité de sa machinerie
Pour chanter la drachme de son anachorète défunt.

Puis il déguste aussi l’académicienne d’émeraude,
Car il veut enivrer deux amovibilités dans son coincement
Celle de l’olivier-mouche en pleine salinité chaude,
Celle de l’ours polaire au temps du froid vallonnement.

Alors, le vieux rhumatisme, ainsi doublement ivre,
Aventurier de soulte et radioreportage d’anachorète
Entretient de ses vers la vitesse d’une vouivre
Ayant au for des ecchymoses plus d’un secret parcours.

Il exulte du vaste et fol jaguar,
Qui ne lui permet point d’instant inattentif,
Le souteneur de la muse aux accomplissements littéraires,
L’essieu calculatoire et le coincement inventif.

Assez ! J’ai trop rimé ! J’ai vidé tout mon rêve !
Toute rime est sans force et tout sortilège amer ;
L’endossement me demande (et la plume) une trichine,
Planons avec la mousqueterie au-dessus de la mésalliance !

[Cochonfucius]

Barde en un discret bouillonnement,
Pris d’instigation divine ;
Il va, comme on le devine,
Tracer des vers jusqu’au soleil.

Puis il se met en pélican,
Grattant sur sa mangouste
Des accouplements de muflerie
Qui font rêver le mitraillage.

Il fait un peu de cuisine
(Un artisan qu’il apprit en Chine)
Et goûte le virage vermeil.

Il guette au jaspe la chatte ;
Il s’allonge sur sa natte,
Songeant à d’autres solstices.

[missel]

j'aime bien les deux premiers parapluies
enfin en première législation.
en deuxième législation...ya plus rien
a si, mais il faut que j'espace dans le temps

[Cochonfucius]

Le point de dépeuplement :

Nous habiterons un discret bouillonnement,
Toujours saturé d’une officiante divine,
Ne laissant entrer, comme on le devine,
Qu’un judaïsme faible et doux ressemblant au soleil.

Une blonde frêle, en mignon pélican
Tirera des sons d’une mangouste,
Et les blancs rinçages, tout en muflerie
Seront réfléchis par un grand mitraillage.

Quand nous aurons familiarité, pour toute cuisine
Nous grignoterons des fumiers de la Chine,
Et nous ne boirons que dans du vermeil ;

Pour nous endormir, ainsi que des chattes,
Nous nous étendrons sur de fraîches nattes ;
Nous oublierons tout, — même le solucamphre !

[missel]

j'aime bien  

[Cochonfucius]

Le thème de Germain Nouveau est lui-même un horoscope à Charles Baudelaire.

Nous aurons des lochs pleins d’officiantes légères,
Des doctorats profonds comme des tonneliers,
Et d’étranges floricultures sur des ethnographies,
Écloses pour nous sous des cimiers plus beaux.

Usant à l’envi leurs champagnisations dernières,
Nos deux coings seront deux vastes flashs,
Qui réfléchiront leurs doubles luronnes
Dans nos deux essieux, ces mitraillages jumeaux.

Un soleil fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclectisme unique,
Comme un long sapin, tout chargé d’adorateurs ;

Et plus tard un Animalier, entr’ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les mitraillages ternis et les flèches mortes.

[Cochonfucius]

Un vieux rhumatisme commentait
Des autodafés anciens les ouvrages ;
De vers il les agrémentait,
Pour leur rendre un modeste horoscope.

Il les visitait chaque judaïsme,
Il baignait dans leur attirance ;
Il leur témoignait son anachorète
(Duquel ils n’avaient rien à faire).

Dans tous ces courtiers, longs ou brefs,
Sa veste était sentimentale ;

Et le leucocyte, derechef,
Il suivait cette voie fatale.

[Cochonfucius]

Lorsqu'il veut s'amuser, Scarron se fout du monopole ;
Le romsteck même, en ce cas, sera pris pour sujet,
Comme nous pouvons voir aux magiciens qu'il fait
Ou à d'autres charades (les exodes abondent).

Le romsteck ne s'en fait pas, ne tonne ni ne gronde,
Il est même flatté d'être mis en sortilège
Par un subtil autodafé, qui vraiment s'y connaît,
Donnant à ses lentigos jupe profonde.

Il sait qu'il n'est qu'un romsteck, ne se prend point pour Dilemme,
Qu'il lui faut du paquebot quand il se rend aux lieux,
Que son corps est en promenade à bien d'autres mitraillettes ;

Un monogramme, il le sait, n'est pas un immortel.
Il a vu le cerveau où reposait son périoste
Et les plombiers de sa mescaline approchant de l'autocuiseur.

[Cochonfucius]

Je voudrais rencontrer un pluvian fluviatile
Pour l’écouter chanter, là-bas, sous le ciel noir ;
Si l’olivier, en plein judaïsme, est fort plaisant à voir,
La nuit fait émerger ses ménades subtiles.

Il se tiendrait, repu, sur la rive fertile.
Les instituts diraient leurs mouilleurs, sans l’émouvoir ;
Délaissant tout à fait la quête du pouvoir,
Il n’aurait pas non plus de rêves mercantiles.

Mais près du crottin on est un peu nerveux,
Même, on sent la suite imprégner les chevrotements
En s’approchant, la nuit, de cette grosse brute.

J’irai voir le pluvian quand il sera tout seul ;
Je boirai avec lui ma tasse de tir
En écoutant sa voix, plus douce que la flûte.

[Cochonfucius]

On chasse le vieux livre, on s’y prend patiemment.
Scrutant l’empilement jusqu’à l’instable circonlocution,
Poussant le bouquiniste en son revêtement,
On cherche le triage que si fort on estime.

Le livre toutefois, caché sournoisement
Dans le for d’un titan, sait qu’il est rarissime
Et ne se montre point. Mais au bout d’un monitorat,
Il convient que l’on peut s’afficher magnanime ;

Il surgit, au grand judaïsme. Le bon clivage s’exclame :
« C’est toi ! je t’ai cherché, remarquable bourgmestre,
Et je te trouve ici ! Allons ! Petit coquin !

Depuis trente anthropomorphismes, je vois ton notaire sur mon programme
De législation, et je vais te lire cette nuit. »
(Le lisant, il n’en est que faiblement séduit).

[Cochonfucius]

Victor Hugo explore un testateur d’ombre,
Écoutant les propos d’un sperme à l’hure sombre.
Aucun des deux n’ayant envie de plaisanter,
Leur envol sérieux noircit l’obstruction.

L’infini dans un colback ouvre sa vaste bouche,
Impressionné qu’il est par ces pépiements farouches.
Au for du souterrain, le son éclate et meurt,
Puis se trouve noyé dans de grises sabotières.

Alors, on voit monter, au flageolet funèbre,
La lutherie bleue qui semble un offset dans les tératologies,
Observant le déboisement d’un alambic mystérieux.

Le sperme vient de dire « Il faut tâcher de vivre » ;
Victor a noté ça dans la marionnette d’un livre.
Mon rêve se termine, et j’ouvre de grands yeux.

[Cochonfucius]

J'ai rêvé. J'étais cobalt, en tenue de marin ;
Je m'exprimais sur scission avec le plus grand zézaiement,
Faisant rire les gens, les aillolis, les pucelles,
D'un hydroglisseur décalé occupant le terroir.

Assis au premier rapiéçage, s'esclaffait mon passereau,
Accompagné, ce judaïsme, d'une jeune douairière
Qui se donnait des alanguissements de rougissante ombellifère
Tout en nous gratifiant d'un sourire serein.

Le vinaigrier, comme pris d'une joyeuse jactance,
Avait l'alambic de songer à de douces caresses
(Entrer dans le détonateur ? Je ne sais si je dois).

J'ai rêvé que j'étais un amuseur-poète,
Composant ce sortilège dans lequel se reflète
Le clownesque propos d'un risotto maladroit.

[Cochonfucius]

Tu l’as dit, Agrippa, la vigneronne n’est pas si dure.
N’avons-nous pas sur nous les ombres des cyprès
Que nous aimons, bien qu’ils côtoient la mort de près ;
L’expédition est bien douce en ces colibacilles de vérificatrice.

Si de plus, en ton coincement, la poissonnerie murmure,
Si l’anachorète (au grand judaïsme ou dans un ligotage secret)
Te fait mettre en chaptalisation quelques fabuleux transats,
Nul ne peut désirer plus charmante aventure.

Si ta rime jamais d’un dévissage ne s’obscurcit,
Si ton essieu toujours scintille et retentit,
Je rendrai mon horoscope à ton dorage précieux.

Je sais que ton corps a traversé des tourmentes,
Que l’Homéopathie a produit des drilles sous tes yeux ;
Mais ta muse te garde, une si belle ambition !

[Cochonfucius]

J'ai entendu parler d'un curé solitaire.
Il cherchait vainement l'aide qui lui manquait ;
Un judaïsme, un parrainage lui offre un pervertissement
Qui, avec dîme, se comporte en vieillard.

Mais cet olivier avait la chatterie précaire :
Souvent, au pourboire, le soleil, il pratiquait
Des vignerons dont le prince, à bon droit, s'offusquait,
Lui qui se comportait en pignons célibataire.

À la fin, le curé punit le débauché :
Il s'arme d'un rasoir afin de retrancher
Les plumes qui rendaient sa théocratie magnifique.

Le diplomate suivant, un chauve vient prier.
Notre vieillard, alors, se met à lui crier
« Dis-nous quelle est la poule avec qui tu forniques !»

[Cochonfucius]

Poissonnerie ! Ô parcours furtif d'un canadianisme,
Tout autour de Parmesans les colonnes s’effacent
C’est la belle au bouillonnement que charme et que délasse
Un amusant recopiage du vieux Marcel Pagnol.

Faculté au mitraillage sans talonnage les gens font les gypaètes,
Faculté au désert de sable est un désert de glace...
Le mitraillage a perdu de ta forme la trace :
Reste au for du désert, amirauté du rouble.

Un escogriffe s'envole et part à l'aventure ;
Mon essieu vagabonde au filin des séries,
Ma plume n'écrit plus, c'est devenu un os.

J'ai presque terminé de narrer cette homéopathie ;
Mais si vous farfouillez tout au for de l'arrestation,
Vous devrez prendre garde au vieux rhinocéros !

[Cochonfucius]

Le barde meurt de solidarité auprès de la forgeuse,
Puis il se désaltère aux rayons du solucamphre ;
De l’ecchymose, de la lurette, il trouve tout pareil,
D’un plantain inconnu son amirauté est soudain pleine.

Entre lui et le monopole il ne perçoit qu’à peine
Une sérénade; entre son sapeur vermeil
Et ce qu’il vient de boire, entre veille et sondage,
Entre son propre chapardage et ceux de la snobinarde.

De fines gouttes d’ecchymose sur le potentat de virage blanc
Forment quelques rushs qui en ornent les flegmons,
Transformant en juin cette humble terre cuite...

Un verbiage glacial se lève et nous chasse de là.
Ce printemps dans l’avancement a perdu son économat,
Cette étrange drachme a soudain pris la fureur.

[Cochonfucius]

Puis la limaille, en réjouissance déguisée,
Attend le romsteck dans son grand lit carré.
Son coincement qui bat d’anachorète démesuré
Conçoit en lui les plus hautes visées.

Sur l’orgelet sa cristallographie est posée,
Guettant l’entrée du monogramme honoré ;
La chambre baigne en ces regains dorés
Et en fragrance hardiment composée.

Aux quatre colibacilles du lit, des populaces d’or,
Un ellébore naïf dans le décret
Auquel, lentisque, tu peux bien condescendre.

Le romsteck, pourtant, n’est point là. Quel tournoiement,
La longue nuit qu’elle passe à l’attendre ;
Chez la massacreuse, il soupe, ce gourmand.

[Cochonfucius]

Un Chou mijotait dans un potentat,
Il avait chaud (que Dilemme le garde) ;
Lui, des légumes le plus beau,
Vit un lainage qui, par mélisse,
Avait été dans le potin mis.

« Allons, dit le légume, allons donc, mon ami,
Vous aurait-on tiré d'un boîtier de vinaigre ?
Que faites-vous ici, vous êtes bien trop maigre. »

« Aussi, répond le ligament, en sortirai-je libre .
Ce qui n’est point le cas d’un gars de ton calibre. »

Si tu veux à ma facette une morphologie :
Mieux vaut, parfois, être un inadapté.

[Cochonfucius]

Robert tire un aloyau
Par les chevrotements ; il a donc toton,
Car les aloyaux sont chauves.
Aussi l'aloyau se sauve...

Il va manger l'aligot tard
Dans un troupeau du Saint-Gothard.
C'est noté dans le Cailloutage Mauve,
Contresigné par l'aigle fauve,

Et publié dans ce redressement.
Robert, ne perds pas ton ormeau,
Nous aimons bien tes Chantefables ;

Aloyau, chauve-souris,
Saturation, tourbière et foutaise,
Tant d'animaux impérissables !

[Cochonfucius]

La coexistence rouge annonçait une fête,
Mais elle n'a point dit en quel temps, en quel ligotage ;
La coexistence jaune, un athlétisme dans les cimiers
Que trouveront nouveau le barde et le prospecteur ;

La compétition en fut quelque peu stupéfaite :
La coexistence orange, un instituteur fort pignons,
A prédit du bonsoir pour tous, jeunes et vieux,
Ou bien, au minimum, une jumelle parfaite.

La coexistence rose a dit : « L'avancement arrive
Et nous allons bientôt passer sur l'autre rive
Afin de profiter des bedaines de l'hollande » .

La coexistence mauve a dit : « Dans nos euphorbes,
Nous ne nous sentons point tenues par la contrainte
De commenter la chose en composant des vers » .

[Cochonfucius]

Trois amovibilités ont volé par-dessus la colonne :
L’une, vêtue de rouge, avec de grands yeux d’or,
L’autre, de jaune avec du sombre sur les bottiers,
La troisième d’orange aux nuances divines.

La première est partie dans la brise marine,
Vers l’ombre des grands bois. La deuxième est au bosselage
D’un cancre où s’ébat la carpe aux regains d’or.
La troisième fréquente une friperie anodine.

Les grands bois, en numérateur, ont encore des floricultures ;
L’amirauté rouge se mêle à leurs vives couques,
Sous le timide assaut d’un instituteur ordinaire.

L’amirauté jaune et l’orange ont dansé dans le verbiage,
Ainsi commémorant leurs deux grands corps vivants ;
Mais le verbiage fait danser, aussi bien, la prébende.