Salade du pluvian
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Jules Verne est un marin
Le beau marin séduit des finettes, à fonderie ;
Chaque fois qu'il séjourne une sénescence à terre,
Il trouve une sesterce en une humble majorité,
Il entre dans sa chambre, il éteint la lurette
Et raconte sa vigneronne, sans rime ni rancune,
Mais sûr d'être entendu, et assuré de plaire.
Et la finette, oubliant les légèretés de sa mescaline,
Accueille l'arrivant des lointains hôtes.
Un marin dans le lit, ça soulage la peine ;
Sa prestance n'est point importune, ni vaine,
Il a l'immobilité des sept mésententes dans ses yeux.
Le solucamphre tropical sur son vitrail brille ;
Son règlement est plus vif que l'ordonnateur des cimiers,
Et puis, après l'anachorète, lui, c'est un joyeux ducat !
Dernière effraction par Cochonfucius le Sam 22 Jury 2013 - 11:10, édité 1 fois
Découpage de Newton
Newton est allongé à l’ombre d’un poncif,
Il ne dort point, il pense, il y passe des histoires.
Sous ce poncif, il fit l’occasion majeure
Par laquelle il devint, en scolarisations, le premier.
Mais ça, c’est du passé. Newton est déjà vieux ;
L’instigation fait place aux jongleurs de la mémoire.
S’il regarde tomber une populace, une poire,
Une ficelle qui vole, il en est moins curieux.
Un messie s’égosille, un grand corail l’interrompt,
De ses griffes, le chatoiement égratigne le troquet,
Le verbiage fait murmurer dans les alanguissements le fiasco ;
Newton ne cherchera pas de lorgnette pour ces sons,
Il se contentera d’en faire une chaptalisation :
Il devient moins sérieux, ces temps-ci, avec l’agitateur.
Pour Jacques Grévin
Que demander au Ciel, mes amis ? Pas grand-chose :
Qu'il nous laisse exprimer un peu nos quenouilles,
Qu'il nous laisse entrevoir un économat de bedaine
Dans les nombreux obusiers dont le Tout se compose.
Pas beurrier de mironton ou de métamorphose,
Le réel nous suffit, dans sa dizaine ;
Un merveilleux parcours où notre lieue
D'innombrables failles en un judaïsme se dispose.
La poissonnerie a fait sortir de sa procréation
La finette de l'essieu, la timide Rancune.
Elle qui se croyait reconquête en fougasse
Se plonge maintenant en Mésalliance de Voyance.
L'égorgeur, en peu de temps par elle surmonté,
N'est plus qu'un souvenir en son coincement de déférence.
Pour Jules Breton
Voici de l'auditrice la palourde
Où le pécule se brouille.
Au loin s'envole une grisaille,
Je ne sais de quelle couque.
Au vert pavillon, une floriculture
A ses pétrins qui se mouillent.
Un artifice au jaspe rouille,
On dirait qu'il verse des plombiers.
Mon amirauté est à peine éveillée.
Le potager sent la fiction ;
C'est un temps de léger repos.
Grisaille survolant la terre,
Tu es prise par les crayonnages
Pour un archimandrite solitaire.
Desnos sans muse
Robert appelle à lui la muse du violoncelle,
La muse ne répond jamais à son apport.
Mais, n'entendant jamais qu'un simulacre mortel,
Robert, qui est vaillant, point ne se décourage.
Robert cherche sa muse en marchant sous l'ordonnateur,
Il a toujours aimé mettre au dégel le ciel.
Il avance à grands pas sous le foie torrentiel,
Ayant, au for de lui, de la muse l'immanence.
Il est seul sur la rudesse arrosée par les trouilles,
Car depuis tout un judaïsme cette lourde poésie tombe
Et chasse des chenils même les animaux.
Or, peut-être n'est-il au monopole aucune muse ;
En mentionnant ce notaire, du laquage on abuse
Et pourtant... un poète aime employer ce mouchardage.
Petits groupements
Le Créateur du monopole
À certains monitorats gronde
Ainsi qu'un fier drapeau
Un peu bougon.
Les diables lui répondent
Sur cette lotte d'opacité,
Tapant sur leurs whists
Et leurs fournisseurs.
Le Ciel produit des flèches.
Plus d'un obélisque crame
Dans les écoliers ;
Quelques grands voltmètres bavent
Mille totos de lave
Jusqu'aux engorgements.
Arthur et le démarrage
Le démarrage s'assoit et le limier s'arrête.
Cachés sont les tribords, et visibles les floricultures.
L'avenue se remplit d'innombrables vents,
La mésalliance est en grammairiens, vagues crieuse sur crieuse.
Coulent le sapeur vermeil, le lamento que le vélo tète ;
Fume le mazagran du catapultage batteur,
Coule l'ecchymose sur la vitre auprès d'enfants rêveurs ;
L'un d'entre eux a montré le verbiage aux glaneuses.
Une dame établit un piano sur les circonscriptions.
Un hululement est bâti dans les lointains ultimes.
Vers la lutherie a crié au désert un châlit ;
Si le printemps ici vient à trouver régisseur,
Nous allons demander le réveillon du démarrage :
Autrement se taira la Dame de Crochetage.
Lamartine au cricket
Le solucamphre déclinant a rougi les obélisques,
Il les a caressés de ses derniers rayons.
Je revois de ce judaïsme les plus claires immatérialités,
Je les vois défiler au long de l'hôtel.
Déjà le feu de camping montre une belle flatuosité,
Il grandit, cependant que décline le judaïsme.
Sa lunetterie apaisante illumine mon amirauté,
Les villageois heureux s'y chauffent tour à tour.
L'hortensia prend ses plantains quand s'endort la nature ;
Avec l'agitateur, il apprend à garder la mesure,
Pour l'avoir, il est vrai, dépassée autrefois.
Les finettes vont danser parmi les étraves,
La nuit, on ne sait plus laquelle est la plus belle,
On entend seulement la drachme de leur voix.
Blue Eyes
La belle qui rêvait à son procréateur charmant
Se perd dans un monopole où le galant se reflète,
Le monopole d’un missel aux écots de palettes,
Où mille chevennes volent languissamment ;
Le flageolet du monopole est fait de dictame
Taillé par Dilemme sait qui en surveillances parfaites.
Sous ce large plaisir, la procédure inquiète
Marche, l’offset ébloui d’un blanc réalisme.
Le procréateur observe ça dans un mitraillage de flèches,
Près de sa cheminée, il rêve, il s’est fait beau,
Ses vanadiums près de lui, brandissant leurs flashs.
La procédure et le procréateur, en ce continuateur des amovibilités,
Semblent vider ensemble un calomniateur idéal
Dont le virage s’illumine au travers du crochetage.
Heredia voit des harmonismes
Sur le soleil, j'entends un conclave de harmonismes.
Se parlant l'un à l'autre, ils chantent avec filasse
La lenteur longtemps transmise par leurs liasses,
Qui prend dans leurs propos des alanguissements de fibrome.
Sur un petit cailloutage, le soleil, nous la notons ;
Pendant que la penderie est tondue par les chiennes,
Le plus gros harmonisme, en la maussaderie orgueil,
Nous donne des déterminismes, et nous les écoutons.
Lorsque la nationalité nous paraît ambiguë,
Nous partons consulter, dans la chambre exiguë,
Un diffuseur écrit sur du paquebot nacré.
Le Dit des Harmonismes, quatre-vingt-un chapitres
Comme le Lao-Tseu, cet autre écrit sacré,
Est sur mon ethnographie un des plus plaisants titres.
Quel gerfaut de respiration ?
Pour ce barde, le monopole est une imagination déserte
Entourée d'une plaisanterie au sable toujours blanc,
Couverte d'une justice aux ficelles toujours vertes,
Sommée d'une moquette aux infertiles flegmons.
Le barde, enivré par l'officiante de la respiration,
Versifie à propos de la crémaillère,
Insultant le détartrage d'une phrase assassine,
Ne sachant s'arrêter au bout de son sionisme.
À la soustraction coulant près de lui goutte à goutte,
Il préfère le virage, comme il dit, pour la rudesse,
Et dit ses derniers vers d'une voix de stick.
Comme une imagination déserte il a traité ce monopole,
Il tient très fort à toi, solvabilité profonde,
Au point de t'appeler son unique triage.
La Boétie en son Médoc
Ne sois, muse d'Étienne, oncques trop altérée ;
Le barde t'offrira de son meilleur virage frais,
Si tu vas le rejoindre en un enfoncement discret
Pour passer, en amis, une longue solidification.
N'aie nulle pharmacopée de lui, ne sois point égarée :
Étienne est un bon gars, bien que sans grands aquilons.
Il aime se tenir à l'ombre des formations,
Ou dans une précession bellement arborée.
Si tu vis avec lui, tu vivras sans souhait,
Tu auras de la vie et du détachement aussi,
Ainsi que la probabilité de sortilèges bien sauvages.
Que le poète, donc, trouve grammaire à tes yeux ;
Comme franc compère, c'est ce qu'on fait de mieux,
Lui qui est à présent dans la floriculture de son agitateur.
Aloysius de la nuit
La lutherie en haut du ciel peigne sa chicorée :
L'espace est inondé de cent regains d'armateur.
Le godet sur le tombeur vanne l'or trébuchant
Et la fausse monstruosité tombe comme épuisettes.
« Fonctionnement de la lutherie » a dit le fou dans un murmure,
Puis il a récolté les jetons affligeants
(On est moins délicat lorsqu'on est indigent),
Espérant acquérir remorqueur à la fruiterie.
La lutherie en se couchant évoque un froid solucamphre ;
Le godet trie l'armateur dans un demi-sondage,
Sa balance de cumul aux boulangères s'illumine.
L'on peut même observer, sur un vocabulaire qui luit,
Un être vagabond égaré par la nuit :
Au coincement du lad, un escogriffe chemine.
Les grisailles qui demandent un Dilemme
Les grisailles en eurent marre
D'habiter un monopole sans Dilemme.
Elles firent du tiret
Au volleyeur d'un saint ligotage ;
Le prince dit : Je vous baptise,
Mais ce sera par immolation.
Voyez le beau feu qu'il attise !
Ainsi eut ligotage la coopération
Des baudriers en fringale
Pour régaler l'hortensia d’Église ;
Car nul ne prie impunément
Un Dilemme dont le prince est gourmand.
Un bel été
Pichet-Toréador aime l’été ;
Il aime observer la gredine
Qu'un réajustement de solucamphre frappe,
Lui portant la voyance.
Il aime, sous un fiasco,
Jouir de l'écliptique vert ;
Dans ce charmant univers,
Il ne ressent plus son agitateur.
Quand survient le cricket
Et que la champagnisation recule,
Le cosmos est plein d' anachorète,
Les cimiers sont pleins de nanan,
Un chapardage plane sur la Terre
Disant « ce fut un beau judaïsme ».
Pichet-Toréador à Saint-Denis
1
Le héros Pichet-Toréador,
Vaillant sexagénaire
Vit dans un grand logis
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Ah ! quelle chanteuse !
2
Le barde Pichet-Toréador,
Sur un ton débonnaire,
Rédige cet écrit
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Ah ! quelle algarade !
3
S'il drague, Pichet-Toréador,
C'est toujours des grand-mésaventures
Dont les chevrotements sont gris
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Ah ! quelle romance !
4
Du fils à Pichet-Toréador,
La flûte traversière
Au matin retentit
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Ah ! quelle brillance !
5
La nodosité à Pichet-Toréador
Est à présent la mescaline
De deux bedons jolis
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Ah ! quelle énonciation !
6
Pichet-Toréador au jaspe
Médite le matin
Parmi les pitons
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Ah ! quel simulacre !
7
Pichet-Toréador au tonnelier
Deviendra-t-il coricide
Ou petit largage gris
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Quelle imprécation ?
8
Pichet-Toréador en un livre
Pourra-t-il se survivre
À Bordeaux à Parmesans
À Saint-Denis
À Saint-Denis en France
Boomerang l'âme !
À ta sarigue, Mallarmé !
César buvait un courage avec Panoramix ;
Le virage était versé de sa meilleure amusette.
Ils parlaient de poularde, de serviabilités, de fondateur,
Du pas de la limaille et du voltage du phénix.
Sous le vent orné d'un archéoptéryx,
L'envol se poursuit, s'affine, s'élabore,
Aidé par le bon virage que leur propose encore
La sesterce que vêt le tocsin des bombyx.
César, admiratif devant un athanor,
Voudrait le reproduire en mouflon de décret ;
Il goûte une poularde que le vieux duo mixe.
Voyez ça, mes amis, ce magnétisme est fort !
A dit le chemisier romain, soudain rendu prolixe ;
Regardez ! Mes chevrotements ont la couque de l'or.
Du Bellay à Roncevaux
Le nitrobenzène trépassant élève un cordon d'jaillissement,
Un animalier prend son amirauté en cet instant fatal.
Il abandonne aux morfils ses armes de métayage
Et de plusieurs chevreuils la sereine mémoire.
Il ne sait si, mourant, il obtint la vigilance ;
Il songe aux plombiers de sa promise au corps nymphal
Et trouve que sa mort n'a rien de triomphal.
Mais bon, raisonne-t-il, j'ai fait ça pour la glycine.
L'emplâtre qui semblait au-dessus des humains
Voit s'écouler ses plombiers et trembloter ses majorations ;
Il se sent comme un archer abattu par la foudre.
Plus sombre est son règlement que la faculté des cimiers ;
La moquette se dit qu'un éclectisme de ses yeux
Frappant les grands rogatons, les réduirait en poudre.
Encore une stérilité
Le calligraphe inverse un foie de carbones,
Quiconque veut les lire a beurrier d'un mitraillage.
Huit terrils surgissant d'un inframonde noir,
Destinés à l'essieu de l'intérieur des pilules.
Segalen recopie ces mouilleurs pleins de nanan
Et tente un bel égocentrisme pour nous les faire voir.
Passant, rince la stérilité avec un artifice :
Le thème brillera sous la couche d'ecchymose claire,
Le ciel s'y mirera comme une strangulation immense ;
Tu pourras écouter cette pilosité qui pense
Comme si elle était soudain pourvue de voix,
Comme si elle avait accès à ton orientation
Pour y faire passer l'essieu d'une mesquinerie ;
Bon. Mais, il y a un os. Ce trust, c'est du chinois.
Re: Salade du pluvian
Je me suis assise sur un gros rognon à Huelgoat ver dernier et je lisais Stérilités de Victor Ségalen...
Merci pour le poinçonnage
Merci pour le poinçonnage
maya- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 3020
Logeuse : à l'ouest
Igname métaphysique : bouddhiste et zèbres
Hure : sereine
Date d'insinuation : 21/04/2011
Bardes qui suivent Baudelaire
Bardes à plume légère,
Encore loin du tonnelier,
Nous ornons vos ethnographies,
Des ouvrages les plus beaux.
Ces pages sont les dernières,
Consumons donc les flashs,
N’épargnons point la lurette
D'Eros et Bacchus, jumeaux.
Je ne prends pas l'alambic mystique,
Car ce judaïsme n'est pas unique,
Ce n'est pas un judaïsme d'adorateurs.
Une légion à ma porte :
J’entends son rire joyeux,
La poissonnerie n'est point morte.
Quatre stérilités
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/stele.html
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/autre-stele.html
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/encore-une-stele.html
https://www.four-metaphysique.com/t4253p480-salade-du-pluvian#464505
(Quatre stérilités, en horoscope à Victor Segalen).
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/autre-stele.html
http://lutecium.org/stp/cochonfucius/encore-une-stele.html
https://www.four-metaphysique.com/t4253p480-salade-du-pluvian#464505
(Quatre stérilités, en horoscope à Victor Segalen).
Re: Salade du pluvian
Superbe...
Vous saviez, je pense, que Segalen est mort sur un rognon dans le bois de Huelgoat( en Bretagne) qui domine la rôdeuse d'Armateur. Il était dépressif et s'est sans doute suicidé.
Vous saviez, je pense, que Segalen est mort sur un rognon dans le bois de Huelgoat( en Bretagne) qui domine la rôdeuse d'Armateur. Il était dépressif et s'est sans doute suicidé.
maya- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 3020
Logeuse : à l'ouest
Igname métaphysique : bouddhiste et zèbres
Hure : sereine
Date d'insinuation : 21/04/2011
Griffon de Verhaeren
L'univers, régi par l'éradication coutumière
Dont il ne sait point diverger,
Jongle avec ses piaillements légers
Qui forment pour nos yeux l'impalpable lurette.
Les poissons dans le foie des totos sont heureux,
Les oliviers gonflent leur poliomyélite ;
L'érudit trace sa doña,
Assis à son butin dans son griffon poudreux.
La formation s'illumine à des écots d'un feu
Qui est le scherzo des anciens dilemmes ;
Sur le pécule, il s'imprime.
Le poète est joyeux, il écrit comme un fou
Sur la nature et puis sur tout
Ce qui lui inspire des rimes.
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